Cinema, Cinémaaaaaaaaaaaaaaaa

P/Z a écrit:

Le film de ce vieux facho de Milius était excellent, sec comme un coup de trique.

tu m'as pas répondu sur la "profondeur" face de P/Z

denis quillard a écrit:

P/Z a écrit:

Le film de ce vieux facho de Milius était excellent, sec comme un coup de trique.

tu m'as pas répondu sur la "profondeur" face de P/Z

A voui, c'est vrai.
Pour faire simple disons que "la modernité" se caractérise par son souci de la transparence, un art qui ne voudrait que art. Avec pour conséquence que tout doit être rabattu sur le présent. Le cinéma de M.Mann est donc un cinéma qui ne conjugue qu'au présent, tout doit se jouer dans le présent de la représentation qui ne renvoie qu'à elle même. Esthétiquement Mann privilégie les effets de surface (la dv écrase la profondeur et donne une image plate). C'est du cinéma a-historique.
Je ne sais toujours pas si je suis très claire...

P/Z a écrit:

denis quillard a écrit:

P/Z a écrit:

Le film de ce vieux facho de Milius était excellent, sec comme un coup de trique.

tu m'as pas répondu sur la "profondeur" face de P/Z

A voui, c'est vrai.
Pour faire simple disons que "la modernité" se caractérise par son souci de la transparence, un art qui ne voudrait que art. Avec pour conséquence que tout doit être rabattu sur le présent. Le cinéma de M.Mann est donc un cinéma qui ne conjugue qu'au présent, tout doit se jouer dans le présent de la représentation qui ne renvoie qu'à elle même. Esthétiquement Mann privilégie les effets de surface (la dv écrase la profondeur et donne une image plate). C'est du cinéma a-historique.
Je ne sais toujours pas si je suis très claire...

ce qui me dérange, tout P/Z que tu sois, c'est que tu parles en termes quasi moraux. Une fois de plus je te questionne sur la pertinence de ton opposition "surface/profondeur" qui me paraît totalement intellectuelle, abstraite

Un sopalin pour PZ svp.

TAFT a écrit:

Un sopalin pour PZ svp.

et pour une serviette éponge pour J-Claude qui a quand meme réussi à disserter avec jeffarde pendant trois pages du dernier film de...Michael Mann !

P/Z a écrit:

denis quillard a écrit:

P/Z a écrit:

Le film de ce vieux facho de Milius était excellent, sec comme un coup de trique.

tu m'as pas répondu sur la "profondeur" face de P/Z

A voui, c'est vrai.
Pour faire simple disons que "la modernité" se caractérise par son souci de la transparence, un art qui ne voudrait que art. Avec pour conséquence que tout doit être rabattu sur le présent. Le cinéma de M.Mann est donc un cinéma qui ne conjugue qu'au présent, tout doit se jouer dans le présent de la représentation qui ne renvoie qu'à elle même. Esthétiquement Mann privilégie les effets de surface (la dv écrase la profondeur et donne une image plate). C'est du cinéma a-historique.
Je ne sais toujours pas si je suis très claire...

Pozt-Zcriptum est une fendue ??

denis quillard a écrit:

P/Z a écrit:

denis quillard a écrit:

P/Z a écrit:

Le film de ce vieux facho de Milius était excellent, sec comme un coup de trique.

tu m'as pas répondu sur la "profondeur" face de P/Z

A voui, c'est vrai.
Pour faire simple disons que "la modernité" se caractérise par son souci de la transparence, un art qui ne voudrait que art. Avec pour conséquence que tout doit être rabattu sur le présent. Le cinéma de M.Mann est donc un cinéma qui ne conjugue qu'au présent, tout doit se jouer dans le présent de la représentation qui ne renvoie qu'à elle même. Esthétiquement Mann privilégie les effets de surface (la dv écrase la profondeur et donne une image plate). C'est du cinéma a-historique.
Je ne sais toujours pas si je suis très claire...

ce qui me dérange, tout P/Z que tu sois, c'est que tu parles en termes quasi moraux. Une fois de plus je te questionne sur la pertinence de ton opposition "surface/profondeur" qui me paraît totalement intellectuelle, abstraite

En termes moraux ?
Je ne sais pas. J'essaye de comprendre une esthétique (celle de Mann en l'occurrence), son origine, la conception "philosophique"qu'elle induit. En gros, on voit bien que Mann ne traite pas l'espace comme Renoir ou Mizoguchi(je choisis sciemment ces deux cinéastes qui sont à l'opposé) que d'un point de vue strictement de mise en scène le traitement de la profondeur de champ n'est pas la même. Que la manière de filmer la ville, n'est pas la même que dans le cinéma "noir" américain...je crois l'avoir déjà dit mais il me semble que le cinéma pense, que s'y deploie des concepts.
Ceci dit, Mann me semble cinéaste important, il a une pensée, même si je n'adhère pas à son esthétique et peut même la combattre. Bref, je préfère la profondeur à la surface.

skip mccoy a écrit:

TAFT a écrit:

Un sopalin pour PZ svp.

et pour une serviette éponge pour J-Claude qui a quand meme réussi à disserter avec jeffarde pendant trois pages du dernier film de...Michael Mann !

J'en reviens pas moi-même, ils ne méritent pas ça, ces deux pétasses. je m'étais déjà bien pris la gueule avec un pote qui adorait "Miami Vice" qui est le pire film toc et ennuyeux qu'il m'ait été donné de voir.

skip mccoy a écrit:

TAFT a écrit:

Un sopalin pour PZ svp.

et pour une serviette éponge pour J-Claude qui a quand meme réussi à disserter avec jeffarde pendant trois pages du dernier film de...Michael Mann !

Comme déjà écrit, Mann est un cinéaste important !

P/Z a écrit:

denis quillard a écrit:

P/Z a écrit:

denis quillard a écrit:

P/Z a écrit:

Le film de ce vieux facho de Milius était excellent, sec comme un coup de trique.

tu m'as pas répondu sur la "profondeur" face de P/Z

A voui, c'est vrai.
Pour faire simple disons que "la modernité" se caractérise par son souci de la transparence, un art qui ne voudrait que art. Avec pour conséquence que tout doit être rabattu sur le présent. Le cinéma de M.Mann est donc un cinéma qui ne conjugue qu'au présent, tout doit se jouer dans le présent de la représentation qui ne renvoie qu'à elle même. Esthétiquement Mann privilégie les effets de surface (la dv écrase la profondeur et donne une image plate). C'est du cinéma a-historique.
Je ne sais toujours pas si je suis très claire...

ce qui me dérange, tout P/Z que tu sois, c'est que tu parles en termes quasi moraux. Une fois de plus je te questionne sur la pertinence de ton opposition "surface/profondeur" qui me paraît totalement intellectuelle, abstraite

En termes moraux ?
Je ne sais pas. J'essaye de comprendre une esthétique (celle de Mann en l'occurrence), son origine, la conception "philosophique"qu'elle induit. En gros, on voit bien que Mann ne traite pas l'espace comme Renoir ou Mizoguchi(je choisis sciemment ces deux cinéastes qui sont à l'opposé) que d'un point de vue strictement de mise en scène le traitement de la profondeur de champ n'est pas la même. Que la manière de filmer la ville, n'est pas la même que dans le cinéma "noir" américain...je crois l'avoir déjà dit mais il me semble que le cinéma pense, que s'y deploie des concepts.
Ceci dit, Mann me semble cinéaste important, il a une pensée, même si je n'adhère pas à son esthétique et peut même la combattre. Bref, je préfère la profondeur à la surface.

Tous les queutards et chagasses de ce forum itou.

jeffard est Immortels a écrit:

je m'étais déjà bien pris la gueule avec un pote qui adorait "Miami Vice" qui est le pire film toc et ennuyeux qu'il m'ait été donné de voir.

tu rigoles c'est génial

jeffard est Immortels a écrit:

P/Z a écrit:

denis quillard a écrit:

P/Z a écrit:

Le film de ce vieux facho de Milius était excellent, sec comme un coup de trique.

tu m'as pas répondu sur la "profondeur" face de P/Z

A voui, c'est vrai.
Pour faire simple disons que "la modernité" se caractérise par son souci de la transparence, un art qui ne voudrait que art. Avec pour conséquence que tout doit être rabattu sur le présent. Le cinéma de M.Mann est donc un cinéma qui ne conjugue qu'au présent, tout doit se jouer dans le présent de la représentation qui ne renvoie qu'à elle même. Esthétiquement Mann privilégie les effets de surface (la dv écrase la profondeur et donne une image plate). C'est du cinéma a-historique.
Je ne sais toujours pas si je suis très claire...

Pozt-Zcriptum est une fendue ??

Petit Zob mais pas fendu(e)

P/Z a écrit:

denis quillard a écrit:

P/Z a écrit:

denis quillard a écrit:

P/Z a écrit:

Le film de ce vieux facho de Milius était excellent, sec comme un coup de trique.

tu m'as pas répondu sur la "profondeur" face de P/Z

A voui, c'est vrai.
Pour faire simple disons que "la modernité" se caractérise par son souci de la transparence, un art qui ne voudrait que art. Avec pour conséquence que tout doit être rabattu sur le présent. Le cinéma de M.Mann est donc un cinéma qui ne conjugue qu'au présent, tout doit se jouer dans le présent de la représentation qui ne renvoie qu'à elle même. Esthétiquement Mann privilégie les effets de surface (la dv écrase la profondeur et donne une image plate). C'est du cinéma a-historique.
Je ne sais toujours pas si je suis très claire...

ce qui me dérange, tout P/Z que tu sois, c'est que tu parles en termes quasi moraux. Une fois de plus je te questionne sur la pertinence de ton opposition "surface/profondeur" qui me paraît totalement intellectuelle, abstraite

En termes moraux ?
Je ne sais pas. J'essaye de comprendre une esthétique (celle de Mann en l'occurrence), son origine, la conception "philosophique"qu'elle induit. En gros, on voit bien que Mann ne traite pas l'espace comme Renoir ou Mizoguchi(je choisis sciemment ces deux cinéastes qui sont à l'opposé) que d'un point de vue strictement de mise en scène le traitement de la profondeur de champ n'est pas la même. Que la manière de filmer la ville, n'est pas la même que dans le cinéma "noir" américain...je crois l'avoir déjà dit mais il me semble que le cinéma pense, que s'y deploie des concepts.
Ceci dit, Mann me semble cinéaste important, il a une pensée, même si je n'adhère pas à son esthétique et peut même la combattre. Bref, je préfère la profondeur à la surface.

last of the mohicans, heat, the insider, collateral, miami vice... 5 films, 5 merdes... c'est ça "un cinéaste important" chez toi ?

P/Z a écrit:

Bref, je préfère la profondeur à la surface

moi je préfère la BD à la psychanalyse

denis quillard a écrit:

jeffard est Immortels a écrit:

je m'étais déjà bien pris la gueule avec un pote qui adorait "Miami Vice" qui est le pire film toc et ennuyeux qu'il m'ait été donné de voir.

tu rigoles c'est génial

Génial, des hors-bords en travelling, des palmiers fluorescents, Liu qui se demande ce qu'elle fout là, une intrigue inepte, des scènes longues CMB, Farrell en limande blanche, au secours.

maxine a écrit:

P/Z a écrit:

denis quillard a écrit:

P/Z a écrit:

denis quillard a écrit:

P/Z a écrit:

Le film de ce vieux facho de Milius était excellent, sec comme un coup de trique.

tu m'as pas répondu sur la "profondeur" face de P/Z

A voui, c'est vrai.
Pour faire simple disons que "la modernité" se caractérise par son souci de la transparence, un art qui ne voudrait que art. Avec pour conséquence que tout doit être rabattu sur le présent. Le cinéma de M.Mann est donc un cinéma qui ne conjugue qu'au présent, tout doit se jouer dans le présent de la représentation qui ne renvoie qu'à elle même. Esthétiquement Mann privilégie les effets de surface (la dv écrase la profondeur et donne une image plate). C'est du cinéma a-historique.
Je ne sais toujours pas si je suis très claire...

ce qui me dérange, tout P/Z que tu sois, c'est que tu parles en termes quasi moraux. Une fois de plus je te questionne sur la pertinence de ton opposition "surface/profondeur" qui me paraît totalement intellectuelle, abstraite

En termes moraux ?
Je ne sais pas. J'essaye de comprendre une esthétique (celle de Mann en l'occurrence), son origine, la conception "philosophique"qu'elle induit. En gros, on voit bien que Mann ne traite pas l'espace comme Renoir ou Mizoguchi(je choisis sciemment ces deux cinéastes qui sont à l'opposé) que d'un point de vue strictement de mise en scène le traitement de la profondeur de champ n'est pas la même. Que la manière de filmer la ville, n'est pas la même que dans le cinéma "noir" américain...je crois l'avoir déjà dit mais il me semble que le cinéma pense, que s'y deploie des concepts.
Ceci dit, Mann me semble cinéaste important, il a une pensée, même si je n'adhère pas à son esthétique et peut même la combattre. Bref, je préfère la profondeur à la surface.

last of the mohicans, heat, the insider, collateral, miami vice... 5 films, 5 merdes... c'est ça "un cinéaste important" chez toi ?

dans mes bras, Ma Milf adorée. (Collateral est pas merdique non plus quand même)

P/Z a écrit:

skip mccoy a écrit:

TAFT a écrit:

Un sopalin pour PZ svp.

et pour une serviette éponge pour J-Claude qui a quand meme réussi à disserter avec jeffarde pendant trois pages du dernier film de...Michael Mann !

Comme déjà écrit, Mann est un cinéaste important !

certes mais ses derniers films sont creux comme le cab (crâne à bro)

Heat et Révélations sont deux CO.

jeffard est Immortels a écrit:

denis quillard a écrit:

jeffard est Immortels a écrit:

je m'étais déjà bien pris la gueule avec un pote qui adorait "Miami Vice" qui est le pire film toc et ennuyeux qu'il m'ait été donné de voir.

tu rigoles c'est génial

Génial, des hors-bords en travelling, des palmiers fluorescents, Liu qui se demande ce qu'elle fout là, une intrigue inepte, des scènes longues CMB, Farrell en limande blanche, au secours.

c'est le meilleur film

maxine a écrit:

P/Z a écrit:

denis quillard a écrit:

P/Z a écrit:

denis quillard a écrit:

P/Z a écrit:

Le film de ce vieux facho de Milius était excellent, sec comme un coup de trique.

tu m'as pas répondu sur la "profondeur" face de P/Z

A voui, c'est vrai.
Pour faire simple disons que "la modernité" se caractérise par son souci de la transparence, un art qui ne voudrait que art. Avec pour conséquence que tout doit être rabattu sur le présent. Le cinéma de M.Mann est donc un cinéma qui ne conjugue qu'au présent, tout doit se jouer dans le présent de la représentation qui ne renvoie qu'à elle même. Esthétiquement Mann privilégie les effets de surface (la dv écrase la profondeur et donne une image plate). C'est du cinéma a-historique.
Je ne sais toujours pas si je suis très claire...

ce qui me dérange, tout P/Z que tu sois, c'est que tu parles en termes quasi moraux. Une fois de plus je te questionne sur la pertinence de ton opposition "surface/profondeur" qui me paraît totalement intellectuelle, abstraite

En termes moraux ?
Je ne sais pas. J'essaye de comprendre une esthétique (celle de Mann en l'occurrence), son origine, la conception "philosophique"qu'elle induit. En gros, on voit bien que Mann ne traite pas l'espace comme Renoir ou Mizoguchi(je choisis sciemment ces deux cinéastes qui sont à l'opposé) que d'un point de vue strictement de mise en scène le traitement de la profondeur de champ n'est pas la même. Que la manière de filmer la ville, n'est pas la même que dans le cinéma "noir" américain...je crois l'avoir déjà dit mais il me semble que le cinéma pense, que s'y deploie des concepts.
Ceci dit, Mann me semble cinéaste important, il a une pensée, même si je n'adhère pas à son esthétique et peut même la combattre. Bref, je préfère la profondeur à la surface.

last of the mohicans, heat, the insider, collateral, miami vice... 5 films, 5 merdes... c'est ça "un cinéaste important" chez toi ?

Important, ça ne veut pas dire qu'il n'a pas fait de la merde.
Warhol (ce n'est pas un hasard si le cite), n'a, de mon point de vue, fait que de la merde, il n'en reste pas moins un peintre important !

skip mccoy a écrit:

Heat et Révélations sont deux CO.

ah oui tiens j'ai oublié celui-là. le moins maniéré de tous je pense, mais enfin un grand merci à Pacino.

jeffard est Immortels a écrit:

(Collateral est pas merdique non plus quand même)

idéal pour une baise au ciné-parc, ça oui.

denis quillard a écrit:

jeffard est Immortels a écrit:

denis quillard a écrit:

jeffard est Immortels a écrit:

je m'étais déjà bien pris la gueule avec un pote qui adorait "Miami Vice" qui est le pire film toc et ennuyeux qu'il m'ait été donné de voir.

tu rigoles c'est génial

Génial, des hors-bords en travelling, des palmiers fluorescents, Liu qui se demande ce qu'elle fout là, une intrigue inepte, des scènes longues CMB, Farrell en limande blanche, au secours.

c'est le meilleur film

forcément, un vrai hommage à la putasserie 80's, m'étonne pas que tu kiffes

maxine a écrit:

jeffard est Immortels a écrit:

(Collateral est pas merdique non plus quand même)

idéal pour une baise au ciné-parc, ça oui.

Mmmm...