Cinema, Cinémaaaaaaaaaaaaaaaa

bon film mais valeur ajoutée a la BD proche du néant, voir meme négative

déjà que la BD est un pensum...

denis quillard a écrit:

déjà que la BD est un pensum...

vieux débat éculé

denis quillard a écrit:

déjà que la BD est un pensum...

je ne suis pas d'accord. La BD de Satrapi a une force d'évocation qui ne fonctionne pas dans le film.

putain hier soir il y avait je t'aime moi non plus sur arte, à cagar

dubarne a écrit:

putain hier soir il y avait je t'aime moi non plus sur arte, à cagar

et juste avant, le festival de Wight 2007, avec Keane, kasabian, Stones et autres, présenté par Manoeuvre. Merci la chaîne de la culture.

hpg a écrit:

denis quillard a écrit:

déjà que la BD est un pensum...

je ne suis pas d'accord. La BD de Satrapi a une force d'évocation qui ne fonctionne pas dans le film.

TAFHPG

dubarne a écrit:

putain hier soir il y avait je t'aime moi non plus sur arte, à cagar

à caguer c'est le mot

hpg a écrit:

denis quillard a écrit:

déjà que la BD est un pensum...

je ne suis pas d'accord. La BD de Satrapi a une force d'évocation qui ne fonctionne pas dans le film.

génial jeffard

grand film sexuel

skip mccoy a écrit:

grand film sexuel

génial jeffard

DEATH PROOF



Très bien, bonne publicité pour la Chartreuse. On est content dans le Voironnais.

c'est bien bon et je n'en suis qu'au 10ème épisode

http://theplaylist.blogspot.com/2007/07/cate-blanchett-as-dylan-david-cross-as.html

zero de conduite, vigo (1933)

en intégralité ICI

bubulle a écrit:

zero de conduite, vigo (1933)

J'ai vu récemment "Shortbus" en DVD, 8 mois après tout le monde, un film new-yorkais sur plutôt que le sexe, " la vie affective" (un peu snob mais avec de bons dialogues, sorte de comédie sexuelle recyclant le thème de la course à l'orgasme, entre Woody Allen et Houellebecq).
Il m'a à la fois touché et prodigieusement énervé personnage attachants bons dialogues (je ne regarde aps de séries), mise en scène élégante et personnelle, respectueuse des personnages. Mais la représentation de la sexualité, particulièrement féminine ne tient à mon sens pas la route: le discours de la sexologue-psy au début du film sur le "mythe" de l'orgasme féminin est infiniment plus riche, singulier et altruiste que l'hédonisme mou de la partouze, en fait le film aurait été superbe sur elle avait réussi à infiltrer le club en ne changeant pas de discours, montrant qu'il n'affecte en fait pas le corps lui-même).
En plus le film se mort la queue (tout le mode parle totu le monde pratique, les cris et soupirs sont mixés en bruut de fond, mais il n'y en tout et pour tout qu'un seul orgasme, celui de Shanti Carson (-une cracheuse de feu qui a une ligne de vêtement à Bali- un corps parfait vivant en couple avec la réplique de Joe d'Allessandro - une super bobo en somme), mais cette scène est il est vrai filmé de manière très troublante - la seule incarnation, silencieuse et boulversante, du "Long regard" dont parlait Ernst Bloch au cinéman rien que pour celà le film n'est par pornographique.
Mais d'un autre côté tout celà se contredit (plus le film avance vers l'orgasme plus les scènes sexuellrs sont esquivées et hamiltonisées, la quête sexuelle de la psy, paradoxalement conformiste, la mène à la solitude -je pense qu'à la fin son mari part avec Séverine - symétriquement à l'éclatemement du coupe James-Jamie, le film réhabilite complètement la notion de couple au détriment de celle de séduction. Enfin chose horrible, on voit dans la making-of que les acteurs de la grande scène de partouze centrale prennent en fait des anphétamines pour tenir el coups. A quoi rime le discours sur le sexe décomplexé et positif, poliment collectif s'il faut être faut être bourré comme un coureur du tour de France sur un col des Alpes pour niquer?
Quelque chose dans le film m'a mis mal à l'aise: la comparaison permanente du point de vu actuel sur la sexualité actuelles avec la révolution sexuelle des années 60, finalement à la fois prise comme un modèle et dénoncée pour sa naïveté politique - comme si; les années 60 n'avaient pas été non plus mélancoliques- ("aujourd'hui nous somme décomplexés et libres comme dans les années 60 mais l'espoir en moins") . Impression d'assister à l'instauration de ce que dénonçait dénonçait plus ou moins Michel Foucault: la msie en place d'une vision du monde où le clivage entre gauche et droite est remplacé par le clivage entre "preméable" et "imperméables", déshinnibés et frustré, ce qui ne viutualise pas du tout la culpabilité judéo-chrétienne, simplement l'identifie au contexte de la sexualité plutôt qu'à la jouissance (et la met à la place de l'idéologie).
Ceci dit le film prend acte plutôt qu'il ne défend en fait (la fin du couple est mise sur la même plan que le renoncement à la prétention aubiographique, en fait le film punit ses protagonistes ).

Le film contient malgré tout de belles idées, la double identité jeckylienne Séverine (lou reedienne)/Jennifer Anniston (l'éternelle débutante dans la vie bourgeoise), les scènes de consultations chez la sexologue assez hilarantes.

Au passage le film a déclenché une polémique d'envergure au Canada: Sook-Yin Lee, qui jouait aussi dans 'Hedwig and the Angry Inch', est une ex chanteuse indie et est actuellement présentatrice d'emission musicale sur la télé publique, elle a été menacée d'être virée si elle tournait le film (Michael Stipe, Yoko Ono et Francis Ford Coppola se sont mobilisés pour la défendre).

Gontrand Lachance a écrit:

J'ai vu récemment "Shortbus" en DVD, 8 mois après tout le monde, un film new-yorkais sur plutôt que le sexe, " la vie affective" (un peu snob mais avec de bons dialogues, sorte de comédie sexuelle recyclant le thème de la course à l'orgasme, entre Woody Allen et Houellebecq).
Il m'a à la fois touché et prodigieusement énervé personnage attachants bons dialogues (je ne regarde aps de séries), mise en scène élégante et personnelle, respectueuse des personnages. Mais la représentation de la sexualité, particulièrement féminine ne tient à mon sens pas la route: le discours de la sexologue-psy au début du film sur le "mythe" de l'orgasme féminin est infiniment plus riche, singulier et altruiste que l'hédonisme mou de la partouze, en fait le film aurait été superbe sur elle avait réussi à infiltrer le club en ne changeant pas de discours, montrant qu'il n'affecte en fait pas le corps lui-même).
En plus le film se mort la queue (tout le mode parle totu le monde pratique, les cris et soupirs sont mixés en bruut de fond, mais il n'y en tout et pour tout qu'un seul orgasme, celui de Shanti Carson (-une cracheuse de feu qui a une ligne de vêtement à Bali- un corps parfait vivant en couple avec la réplique de Joe d'Allessandro - une super bobo en somme), mais cette scène est il est vrai filmé de manière très troublante - la seule incarnation, silencieuse et boulversante, du "Long regard" dont parlait Ernst Bloch au cinéman rien que pour celà le film n'est par pornographique.
Mais d'un autre côté tout celà se contredit (plus le film avance vers l'orgasme plus les scènes sexuellrs sont esquivées et hamiltonisées, la quête sexuelle de la psy, paradoxalement conformiste, la mène à la solitude -je pense qu'à la fin son mari part avec Séverine - symétriquement à l'éclatemement du coupe James-Jamie, le film réhabilite complètement la notion de couple au détriment de celle de séduction. Enfin chose horrible, on voit dans la making-of que les acteurs de la grande scène de partouze centrale prennent en fait des anphétamines pour tenir el coups. A quoi rime le discours sur le sexe décomplexé et positif, poliment collectif s'il faut être faut être bourré comme un coureur du tour de France sur un col des Alpes pour niquer?
Quelque chose dans le film m'a mis mal à l'aise: la comparaison permanente du point de vu actuel sur la sexualité actuelles avec la révolution sexuelle des années 60, finalement à la fois prise comme un modèle et dénoncée pour sa naïveté politique - comme si; les années 60 n'avaient pas été non plus mélancoliques- ("aujourd'hui nous somme décomplexés et libres comme dans les années 60 mais l'espoir en moins") . Impression d'assister à l'instauration de ce que dénonçait dénonçait plus ou moins Michel Foucault: la msie en place d'une vision du monde où le clivage entre gauche et droite est remplacé par le clivage entre "preméable" et "imperméables", déshinnibés et frustré, ce qui ne viutualise pas du tout la culpabilité judéo-chrétienne, simplement l'identifie au contexte de la sexualité plutôt qu'à la jouissance (et la met à la place de l'idéologie).
Ceci dit le film prend acte plutôt qu'il ne défend en fait (la fin du couple est mise sur la même plan que le renoncement à la prétention aubiographique, en fait le film punit ses protagonistes ).

Le film contient malgré tout de belles idées, la double identité jeckylienne Séverine (lou reedienne)/Jennifer Anniston (l'éternelle débutante dans la vie bourgeoise), les scènes de consultations chez la sexologue assez hilarantes.

génial pépita!!

hamish a écrit:

DEATH PROOF



Très bien, bonne publicité pour la Chartreuse. On est content dans le Voironnais.

tiago san a écrit:

En voilà un film qu'il est bon !

Herbert Léonard jr a écrit:

tiago san a écrit:

En voilà un film qu'il est bon !

culte s'il en est. paye ta pose covy!

bébébébé... ça calme ! des frissons pour les deux

John Mellor a écrit:

bébébébé... ça calme ! des frissons pour les deux

Pignon ?