Cinema, Cinémaaaaaaaaaaaaaaaa

toujours aussi bon

zufman a écrit:

toujours aussi bon

mouais... ça vaut pas Le vélo de Ghislain Lambert

denis quillard a écrit:

zufman a écrit:

toujours aussi bon

mouais... ça vaut pas Le vélo de Ghislain Lambert

ni la Bicyclette bleu avec machine

carlos a écrit:

denis quillard a écrit:

zufman a écrit:

toujours aussi bon

mouais... ça vaut pas Le vélo de Ghislain Lambert

ni la Bicyclette bleu avec machine

la Casta

Citation :

alors pourquoi aimes-tu les Soprano ?

Pas trop le temps aujourd'hui alors un peu rapidement.

1) le concept de "cinéma filmé" a été élaboré par Skorecki dans les années 80. Comme toujours chez ce critique c'est assez flou, but on pourrait traduire par un cinéma qui se regarde filmer (je ne fais pas vraiment de différence en cinéma et série mais il faudrait creuser ce point). C'est vraiment ce que je ressens en regardant 6FU. Au fond un truc de petit malin...

2) Les Soprano c'est pour moi, une sorte de quintessence de l'Amérique (les rapports entre la communauté et l'individu, thème que l'on retrouve de Ford à Gray) et ce que je trouve remarquable dans cette série c'est que l'on pourrait appeler un nonchalance mélancolique. Un étirement du tissu narratif au point de provoquer des déchirures dans lesquelles vient s'engoufrer la mélancolie (A l'inverse de 6FU qui est, qui me semble, vraiment du coté d'un dispositif complètement clos).

P/Z a écrit:

Citation :

alors pourquoi aimes-tu les Soprano ?

Pas trop le temps aujourd'hui alors un peu rapidement.

1) le concept de "cinéma filmé" a été élaboré par Skorecki dans les années 80. Comme toujours chez ce critique c'est assez flou, but on pourrait traduire par un cinéma qui se regarde filmer (je ne fais pas vraiment de différence en cinéma et série mais il faudrait creuser ce point). C'est vraiment ce que je ressens en regardant 6FU. Au fond un truc de petit malin...

en fait, c'est de Biette, d'abord à propos de Wenders.

Citation :

en fait, c'est de Biette, d'abord à propos de Wenders.

Ah oui, c'est vrai...rendons à César...etc.

P/Z a écrit:

Citation :

alors pourquoi aimes-tu les Soprano ?

Pas trop le temps aujourd'hui alors un peu rapidement.

1) le concept de "cinéma filmé" a été élaboré par Skorecki dans les années 80. Comme toujours chez ce critique c'est assez flou, but on pourrait traduire par un cinéma qui se regarde filmer (je ne fais pas vraiment de différence en cinéma et série mais il faudrait creuser ce point). C'est vraiment ce que je ressens en regardant 6FU. Au fond un truc de petit malin...

2) Les Soprano c'est pour moi, une sorte de quintessence de l'Amérique (les rapports entre la communauté et l'individu, thème que l'on retrouve de Ford à Gray) et ce que je trouve remarquable dans cette série c'est que l'on pourrait appeler un nonchalance mélancolique. Un étirement du tissu narratif au point de provoquer des déchirures dans lesquelles vient s'engoufrer la mélancolie (A l'inverse de 6FU qui est, qui me semble, vraiment du coté d'un dispositif complètement clos).

cher Poil au Zob, est ce qu'il t'es, techniquement possible, d'écrire un message sans utiliser 1) et 2). cette rigueur méthodique m'émeut au plus haut point.

Bro' a écrit:

P/Z a écrit:

Citation :

alors pourquoi aimes-tu les Soprano ?

Pas trop le temps aujourd'hui alors un peu rapidement.

1) le concept de "cinéma filmé" a été élaboré par Skorecki dans les années 80. Comme toujours chez ce critique c'est assez flou, but on pourrait traduire par un cinéma qui se regarde filmer (je ne fais pas vraiment de différence en cinéma et série mais il faudrait creuser ce point). C'est vraiment ce que je ressens en regardant 6FU. Au fond un truc de petit malin...

2) Les Soprano c'est pour moi, une sorte de quintessence de l'Amérique (les rapports entre la communauté et l'individu, thème que l'on retrouve de Ford à Gray) et ce que je trouve remarquable dans cette série c'est que l'on pourrait appeler un nonchalance mélancolique. Un étirement du tissu narratif au point de provoquer des déchirures dans lesquelles vient s'engoufrer la mélancolie (A l'inverse de 6FU qui est, qui me semble, vraiment du coté d'un dispositif complètement clos).

cher Poil au Zob, est ce qu'il t'es, techniquement possible, d'écrire un message sans utiliser 1) et 2). cette rigueur méthodique m'émeut au plus haut point.

ptdr

denis quillard a écrit:

Bro' a écrit:

P/Z a écrit:

Citation :

alors pourquoi aimes-tu les Soprano ?

Pas trop le temps aujourd'hui alors un peu rapidement.

1) le concept de "cinéma filmé" a été élaboré par Skorecki dans les années 80. Comme toujours chez ce critique c'est assez flou, but on pourrait traduire par un cinéma qui se regarde filmer (je ne fais pas vraiment de différence en cinéma et série mais il faudrait creuser ce point). C'est vraiment ce que je ressens en regardant 6FU. Au fond un truc de petit malin...

2) Les Soprano c'est pour moi, une sorte de quintessence de l'Amérique (les rapports entre la communauté et l'individu, thème que l'on retrouve de Ford à Gray) et ce que je trouve remarquable dans cette série c'est que l'on pourrait appeler un nonchalance mélancolique. Un étirement du tissu narratif au point de provoquer des déchirures dans lesquelles vient s'engoufrer la mélancolie (A l'inverse de 6FU qui est, qui me semble, vraiment du coté d'un dispositif complètement clos).

cher Poil au Zob, est ce qu'il t'es, techniquement possible, d'écrire un message sans utiliser 1) et 2). cette rigueur méthodique m'émeut au plus haut point.

ptdr

faut toujours que bro invente des prétextes pour faire sa pleureuse.

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

Bro' a écrit:

P/Z a écrit:

Citation :

alors pourquoi aimes-tu les Soprano ?

Pas trop le temps aujourd'hui alors un peu rapidement.

1) le concept de "cinéma filmé" a été élaboré par Skorecki dans les années 80. Comme toujours chez ce critique c'est assez flou, but on pourrait traduire par un cinéma qui se regarde filmer (je ne fais pas vraiment de différence en cinéma et série mais il faudrait creuser ce point). C'est vraiment ce que je ressens en regardant 6FU. Au fond un truc de petit malin...

2) Les Soprano c'est pour moi, une sorte de quintessence de l'Amérique (les rapports entre la communauté et l'individu, thème que l'on retrouve de Ford à Gray) et ce que je trouve remarquable dans cette série c'est que l'on pourrait appeler un nonchalance mélancolique. Un étirement du tissu narratif au point de provoquer des déchirures dans lesquelles vient s'engoufrer la mélancolie (A l'inverse de 6FU qui est, qui me semble, vraiment du coté d'un dispositif complètement clos).

cher Poil au Zob, est ce qu'il t'es, techniquement possible, d'écrire un message sans utiliser 1) et 2). cette rigueur méthodique m'émeut au plus haut point.

ptdr

faut toujours que bro invente des prétextes pour faire sa pleureuse.

c'est pour ca qu'on l'aime

carlos a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

Bro' a écrit:

P/Z a écrit:

Citation :

alors pourquoi aimes-tu les Soprano ?

Pas trop le temps aujourd'hui alors un peu rapidement.

1) le concept de "cinéma filmé" a été élaboré par Skorecki dans les années 80. Comme toujours chez ce critique c'est assez flou, but on pourrait traduire par un cinéma qui se regarde filmer (je ne fais pas vraiment de différence en cinéma et série mais il faudrait creuser ce point). C'est vraiment ce que je ressens en regardant 6FU. Au fond un truc de petit malin...

2) Les Soprano c'est pour moi, une sorte de quintessence de l'Amérique (les rapports entre la communauté et l'individu, thème que l'on retrouve de Ford à Gray) et ce que je trouve remarquable dans cette série c'est que l'on pourrait appeler un nonchalance mélancolique. Un étirement du tissu narratif au point de provoquer des déchirures dans lesquelles vient s'engoufrer la mélancolie (A l'inverse de 6FU qui est, qui me semble, vraiment du coté d'un dispositif complètement clos).

cher Poil au Zob, est ce qu'il t'es, techniquement possible, d'écrire un message sans utiliser 1) et 2). cette rigueur méthodique m'émeut au plus haut point.

ptdr

faut toujours que bro invente des prétextes pour faire sa pleureuse.

c'est pour ca qu'on l'aime

chacun son crédo : certain c'est la chiantitude absolue, d'autres le mépris et la méchanceté gratuite, moi, j'ai choisi la sensiblerie. ô chienne de vie, pourquoi ne m'épargnes tu pas les posts plein de haine de mes congénères ?!!!???

Bro' a écrit:

carlos a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

Bro' a écrit:

P/Z a écrit:

Citation :

alors pourquoi aimes-tu les Soprano ?

Pas trop le temps aujourd'hui alors un peu rapidement.

1) le concept de "cinéma filmé" a été élaboré par Skorecki dans les années 80. Comme toujours chez ce critique c'est assez flou, but on pourrait traduire par un cinéma qui se regarde filmer (je ne fais pas vraiment de différence en cinéma et série mais il faudrait creuser ce point). C'est vraiment ce que je ressens en regardant 6FU. Au fond un truc de petit malin...

2) Les Soprano c'est pour moi, une sorte de quintessence de l'Amérique (les rapports entre la communauté et l'individu, thème que l'on retrouve de Ford à Gray) et ce que je trouve remarquable dans cette série c'est que l'on pourrait appeler un nonchalance mélancolique. Un étirement du tissu narratif au point de provoquer des déchirures dans lesquelles vient s'engoufrer la mélancolie (A l'inverse de 6FU qui est, qui me semble, vraiment du coté d'un dispositif complètement clos).

cher Poil au Zob, est ce qu'il t'es, techniquement possible, d'écrire un message sans utiliser 1) et 2). cette rigueur méthodique m'émeut au plus haut point.

ptdr

faut toujours que bro invente des prétextes pour faire sa pleureuse.

c'est pour ca qu'on l'aime

chacun son crédo : certain c'est la chiantitude absolue, d'autres le mépris et la méchanceté gratuite, moi, j'ai choisi la sensiblerie. ô chienne de vie, pourquoi ne m'épargnes tu pas les posts plein de haine de mes congénères ?!!!???

dis-moi que tu le fais exprès steuplé

denis quillard a écrit:

Bro' a écrit:

carlos a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

Bro' a écrit:

P/Z a écrit:

Citation :

alors pourquoi aimes-tu les Soprano ?

Pas trop le temps aujourd'hui alors un peu rapidement.

1) le concept de "cinéma filmé" a été élaboré par Skorecki dans les années 80. Comme toujours chez ce critique c'est assez flou, but on pourrait traduire par un cinéma qui se regarde filmer (je ne fais pas vraiment de différence en cinéma et série mais il faudrait creuser ce point). C'est vraiment ce que je ressens en regardant 6FU. Au fond un truc de petit malin...

2) Les Soprano c'est pour moi, une sorte de quintessence de l'Amérique (les rapports entre la communauté et l'individu, thème que l'on retrouve de Ford à Gray) et ce que je trouve remarquable dans cette série c'est que l'on pourrait appeler un nonchalance mélancolique. Un étirement du tissu narratif au point de provoquer des déchirures dans lesquelles vient s'engoufrer la mélancolie (A l'inverse de 6FU qui est, qui me semble, vraiment du coté d'un dispositif complètement clos).

cher Poil au Zob, est ce qu'il t'es, techniquement possible, d'écrire un message sans utiliser 1) et 2). cette rigueur méthodique m'émeut au plus haut point.

ptdr

faut toujours que bro invente des prétextes pour faire sa pleureuse.

c'est pour ca qu'on l'aime

chacun son crédo : certain c'est la chiantitude absolue, d'autres le mépris et la méchanceté gratuite, moi, j'ai choisi la sensiblerie. ô chienne de vie, pourquoi ne m'épargnes tu pas les posts plein de haine de mes congénères ?!!!???

dis-moi que tu le fais exprès steuplé

non, non, je suis extrêmement sérieux gross könass !

Bro' a écrit:

denis quillard a écrit:

Bro' a écrit:

carlos a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

Bro' a écrit:

P/Z a écrit:

Citation :

alors pourquoi aimes-tu les Soprano ?

Pas trop le temps aujourd'hui alors un peu rapidement.

1) le concept de "cinéma filmé" a été élaboré par Skorecki dans les années 80. Comme toujours chez ce critique c'est assez flou, but on pourrait traduire par un cinéma qui se regarde filmer (je ne fais pas vraiment de différence en cinéma et série mais il faudrait creuser ce point). C'est vraiment ce que je ressens en regardant 6FU. Au fond un truc de petit malin...

2) Les Soprano c'est pour moi, une sorte de quintessence de l'Amérique (les rapports entre la communauté et l'individu, thème que l'on retrouve de Ford à Gray) et ce que je trouve remarquable dans cette série c'est que l'on pourrait appeler un nonchalance mélancolique. Un étirement du tissu narratif au point de provoquer des déchirures dans lesquelles vient s'engoufrer la mélancolie (A l'inverse de 6FU qui est, qui me semble, vraiment du coté d'un dispositif complètement clos).

cher Poil au Zob, est ce qu'il t'es, techniquement possible, d'écrire un message sans utiliser 1) et 2). cette rigueur méthodique m'émeut au plus haut point.

ptdr

faut toujours que bro invente des prétextes pour faire sa pleureuse.

c'est pour ca qu'on l'aime

chacun son crédo : certain c'est la chiantitude absolue, d'autres le mépris et la méchanceté gratuite, moi, j'ai choisi la sensiblerie. ô chienne de vie, pourquoi ne m'épargnes tu pas les posts plein de haine de mes congénères ?!!!???

dis-moi que tu le fais exprès steuplé

non, non, je suis extrêmement sérieux gross könass !

je connais un gus qui vend du second degré pour pas cher si ça t'intéresse

denis quillard a écrit:

Bro' a écrit:

denis quillard a écrit:

Bro' a écrit:

carlos a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

Bro' a écrit:

P/Z a écrit:

Citation :

alors pourquoi aimes-tu les Soprano ?

Pas trop le temps aujourd'hui alors un peu rapidement.

1) le concept de "cinéma filmé" a été élaboré par Skorecki dans les années 80. Comme toujours chez ce critique c'est assez flou, but on pourrait traduire par un cinéma qui se regarde filmer (je ne fais pas vraiment de différence en cinéma et série mais il faudrait creuser ce point). C'est vraiment ce que je ressens en regardant 6FU. Au fond un truc de petit malin...

2) Les Soprano c'est pour moi, une sorte de quintessence de l'Amérique (les rapports entre la communauté et l'individu, thème que l'on retrouve de Ford à Gray) et ce que je trouve remarquable dans cette série c'est que l'on pourrait appeler un nonchalance mélancolique. Un étirement du tissu narratif au point de provoquer des déchirures dans lesquelles vient s'engoufrer la mélancolie (A l'inverse de 6FU qui est, qui me semble, vraiment du coté d'un dispositif complètement clos).

cher Poil au Zob, est ce qu'il t'es, techniquement possible, d'écrire un message sans utiliser 1) et 2). cette rigueur méthodique m'émeut au plus haut point.

ptdr

faut toujours que bro invente des prétextes pour faire sa pleureuse.

c'est pour ca qu'on l'aime

chacun son crédo : certain c'est la chiantitude absolue, d'autres le mépris et la méchanceté gratuite, moi, j'ai choisi la sensiblerie. ô chienne de vie, pourquoi ne m'épargnes tu pas les posts plein de haine de mes congénères ?!!!???

dis-moi que tu le fais exprès steuplé

non, non, je suis extrêmement sérieux gross könass !

je connais un gus qui vend du second degré pour pas cher si ça t'intéresse

j'ai tout ce qui faut en stock. pour l'anecdote j'ai une copine qui est incapable de discerner le 1er du 2nd ou plus degré. ça rend la communication extrêmement compliquée.

Bro' a écrit:

denis quillard a écrit:

Bro' a écrit:

denis quillard a écrit:

Bro' a écrit:

carlos a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

Bro' a écrit:

P/Z a écrit:

Citation :

alors pourquoi aimes-tu les Soprano ?

Pas trop le temps aujourd'hui alors un peu rapidement.

1) le concept de "cinéma filmé" a été élaboré par Skorecki dans les années 80. Comme toujours chez ce critique c'est assez flou, but on pourrait traduire par un cinéma qui se regarde filmer (je ne fais pas vraiment de différence en cinéma et série mais il faudrait creuser ce point). C'est vraiment ce que je ressens en regardant 6FU. Au fond un truc de petit malin...

2) Les Soprano c'est pour moi, une sorte de quintessence de l'Amérique (les rapports entre la communauté et l'individu, thème que l'on retrouve de Ford à Gray) et ce que je trouve remarquable dans cette série c'est que l'on pourrait appeler un nonchalance mélancolique. Un étirement du tissu narratif au point de provoquer des déchirures dans lesquelles vient s'engoufrer la mélancolie (A l'inverse de 6FU qui est, qui me semble, vraiment du coté d'un dispositif complètement clos).

cher Poil au Zob, est ce qu'il t'es, techniquement possible, d'écrire un message sans utiliser 1) et 2). cette rigueur méthodique m'émeut au plus haut point.

ptdr

faut toujours que bro invente des prétextes pour faire sa pleureuse.

c'est pour ca qu'on l'aime

chacun son crédo : certain c'est la chiantitude absolue, d'autres le mépris et la méchanceté gratuite, moi, j'ai choisi la sensiblerie. ô chienne de vie, pourquoi ne m'épargnes tu pas les posts plein de haine de mes congénères ?!!!???

dis-moi que tu le fais exprès steuplé

non, non, je suis extrêmement sérieux gross könass !

je connais un gus qui vend du second degré pour pas cher si ça t'intéresse

j'ai tout ce qui faut en stock. pour l'anecdote j'ai une copine qui est incapable de discerner le 1er du 2nd ou plus degré. ça rend la communication extrêmement compliquée.

au contraire ca doit etre hyper simple, tu n'a pas besoin de réfléchir ou d'essayer d'etre drole, tu peux te contenter d'etre chiant et informatif

denis quillard a écrit:

je connais un gus qui vend du second degré pour pas cher si ça t'intéresse

je me demandais comment la pigne arrondissait ses fins de mois...

Bro' a écrit:

j'ai tout ce qui faut en stock. pour l'anecdote j'ai une copine qui est incapable de discerner le 1er du 2nd ou plus degré. ça rend la communication extrêmement compliquée.

parler en smileys c'est pas évident en effet

carlos a écrit:

denis quillard a écrit:

je connais un gus qui vend du second degré pour pas cher si ça t'intéresse

je me demandais comment la pigne arrondissait ses fins de mois...

je suis bénévole sa chatte !

denis quillard a écrit:

zufman a écrit:

toujours aussi bon

mouais... ça vaut pas Le vélo de Ghislain Lambert

d'autant qu'on y trouve le meilleur role de josé garcia.

carlos a écrit:

Bro' a écrit:

denis quillard a écrit:

Bro' a écrit:

denis quillard a écrit:

Bro' a écrit:

carlos a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

Bro' a écrit:

P/Z a écrit:

Citation :

alors pourquoi aimes-tu les Soprano ?

Pas trop le temps aujourd'hui alors un peu rapidement.

1) le concept de "cinéma filmé" a été élaboré par Skorecki dans les années 80. Comme toujours chez ce critique c'est assez flou, but on pourrait traduire par un cinéma qui se regarde filmer (je ne fais pas vraiment de différence en cinéma et série mais il faudrait creuser ce point). C'est vraiment ce que je ressens en regardant 6FU. Au fond un truc de petit malin...

2) Les Soprano c'est pour moi, une sorte de quintessence de l'Amérique (les rapports entre la communauté et l'individu, thème que l'on retrouve de Ford à Gray) et ce que je trouve remarquable dans cette série c'est que l'on pourrait appeler un nonchalance mélancolique. Un étirement du tissu narratif au point de provoquer des déchirures dans lesquelles vient s'engoufrer la mélancolie (A l'inverse de 6FU qui est, qui me semble, vraiment du coté d'un dispositif complètement clos).

cher Poil au Zob, est ce qu'il t'es, techniquement possible, d'écrire un message sans utiliser 1) et 2). cette rigueur méthodique m'émeut au plus haut point.

ptdr

faut toujours que bro invente des prétextes pour faire sa pleureuse.

c'est pour ca qu'on l'aime

chacun son crédo : certain c'est la chiantitude absolue, d'autres le mépris et la méchanceté gratuite, moi, j'ai choisi la sensiblerie. ô chienne de vie, pourquoi ne m'épargnes tu pas les posts plein de haine de mes congénères ?!!!???

dis-moi que tu le fais exprès steuplé

non, non, je suis extrêmement sérieux gross könass !

je connais un gus qui vend du second degré pour pas cher si ça t'intéresse

j'ai tout ce qui faut en stock. pour l'anecdote j'ai une copine qui est incapable de discerner le 1er du 2nd ou plus degré. ça rend la communication extrêmement compliquée.

au contraire ca doit etre hyper simple, tu n'a pas besoin de réfléchir ou d'essayer d'etre drole, tu peux te contenter d'etre chiant et informatif

j'ai pas compris le sens de ton raisonnement. je suis drôle de nature. subtilité, charme et charisme sont les mamelles de mon être aussi lumineux qu'une étoile qui brille dans la constellation de l'amour.

Bro' a écrit:

carlos a écrit:

Bro' a écrit:

denis quillard a écrit:

Bro' a écrit:

denis quillard a écrit:

Bro' a écrit:

carlos a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

Bro' a écrit:

P/Z a écrit:

Citation :

alors pourquoi aimes-tu les Soprano ?

Pas trop le temps aujourd'hui alors un peu rapidement.

1) le concept de "cinéma filmé" a été élaboré par Skorecki dans les années 80. Comme toujours chez ce critique c'est assez flou, but on pourrait traduire par un cinéma qui se regarde filmer (je ne fais pas vraiment de différence en cinéma et série mais il faudrait creuser ce point). C'est vraiment ce que je ressens en regardant 6FU. Au fond un truc de petit malin...

2) Les Soprano c'est pour moi, une sorte de quintessence de l'Amérique (les rapports entre la communauté et l'individu, thème que l'on retrouve de Ford à Gray) et ce que je trouve remarquable dans cette série c'est que l'on pourrait appeler un nonchalance mélancolique. Un étirement du tissu narratif au point de provoquer des déchirures dans lesquelles vient s'engoufrer la mélancolie (A l'inverse de 6FU qui est, qui me semble, vraiment du coté d'un dispositif complètement clos).

cher Poil au Zob, est ce qu'il t'es, techniquement possible, d'écrire un message sans utiliser 1) et 2). cette rigueur méthodique m'émeut au plus haut point.

ptdr

faut toujours que bro invente des prétextes pour faire sa pleureuse.

c'est pour ca qu'on l'aime

chacun son crédo : certain c'est la chiantitude absolue, d'autres le mépris et la méchanceté gratuite, moi, j'ai choisi la sensiblerie. ô chienne de vie, pourquoi ne m'épargnes tu pas les posts plein de haine de mes congénères ?!!!???

dis-moi que tu le fais exprès steuplé

non, non, je suis extrêmement sérieux gross könass !

je connais un gus qui vend du second degré pour pas cher si ça t'intéresse

j'ai tout ce qui faut en stock. pour l'anecdote j'ai une copine qui est incapable de discerner le 1er du 2nd ou plus degré. ça rend la communication extrêmement compliquée.

au contraire ca doit etre hyper simple, tu n'a pas besoin de réfléchir ou d'essayer d'etre drole, tu peux te contenter d'etre chiant et informatif

j'ai pas compris le sens de ton raisonnement. je suis drôle de nature. subtilité, charme et charisme sont les mamelles de mon être aussi lumineux qu'une étoile qui brille dans la constellation de l'amour.

je te (sergio) taquinait

Bro' a écrit:

j'ai tout ce qui faut en stock. pour l'anecdote j'ai une copine qui est incapable de discerner le 1er du 2nd ou plus degré. ça rend la communication extrêmement compliquée.

gageons qu'elle habite nice

Bro' a écrit:

carlos a écrit:

Bro' a écrit:

denis quillard a écrit:

Bro' a écrit:

denis quillard a écrit:

Bro' a écrit:

carlos a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

Bro' a écrit:

P/Z a écrit:

Citation :

alors pourquoi aimes-tu les Soprano ?

Pas trop le temps aujourd'hui alors un peu rapidement.

1) le concept de "cinéma filmé" a été élaboré par Skorecki dans les années 80. Comme toujours chez ce critique c'est assez flou, but on pourrait traduire par un cinéma qui se regarde filmer (je ne fais pas vraiment de différence en cinéma et série mais il faudrait creuser ce point). C'est vraiment ce que je ressens en regardant 6FU. Au fond un truc de petit malin...

2) Les Soprano c'est pour moi, une sorte de quintessence de l'Amérique (les rapports entre la communauté et l'individu, thème que l'on retrouve de Ford à Gray) et ce que je trouve remarquable dans cette série c'est que l'on pourrait appeler un nonchalance mélancolique. Un étirement du tissu narratif au point de provoquer des déchirures dans lesquelles vient s'engoufrer la mélancolie (A l'inverse de 6FU qui est, qui me semble, vraiment du coté d'un dispositif complètement clos).

cher Poil au Zob, est ce qu'il t'es, techniquement possible, d'écrire un message sans utiliser 1) et 2). cette rigueur méthodique m'émeut au plus haut point.

ptdr

faut toujours que bro invente des prétextes pour faire sa pleureuse.

c'est pour ca qu'on l'aime

chacun son crédo : certain c'est la chiantitude absolue, d'autres le mépris et la méchanceté gratuite, moi, j'ai choisi la sensiblerie. ô chienne de vie, pourquoi ne m'épargnes tu pas les posts plein de haine de mes congénères ?!!!???

dis-moi que tu le fais exprès steuplé

non, non, je suis extrêmement sérieux gross könass !

je connais un gus qui vend du second degré pour pas cher si ça t'intéresse

j'ai tout ce qui faut en stock. pour l'anecdote j'ai une copine qui est incapable de discerner le 1er du 2nd ou plus degré. ça rend la communication extrêmement compliquée.

au contraire ca doit etre hyper simple, tu n'a pas besoin de réfléchir ou d'essayer d'etre drole, tu peux te contenter d'etre chiant et informatif

j'ai pas compris le sens de ton raisonnement.

ptdr, bro' ne comprend pas non plus le second degré. J'en conclus que c'est sa bourgeoise qui est experte en la matière.