séries

skip mccoy a écrit:

Coverdale jr a écrit:

skip mccoy a écrit:

Coverdale jr a écrit:

denis quillard a écrit:

Coverdale jr a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

Raoulle a écrit:

denis quillard a écrit:

Raoulle a écrit:

Sauf que Six feet under est le meilleur, roman, film, disque tout ce qu'on veut, depuis dix ans et donc du 21eme siècle.

n'importe nawak...

Mais si

déjà un bon disque tu peux l'écouter à l'infini alors qu'une série comme ça s'use à la revision. C'est fait pour être vu une fois.

et paf, sur le nez de raoul !

Genre tu regardes tous les jours La prisonnière du désert...c'est complètement con comme raisonnement.

je parle de SERIES. Une série c'est de la consommation courante, du fast-food, alors qu'un livre ou un disque peut être une oeuvre d'art. J'en ai un peu ras le cul qu'on puisse considérer une série comme une oeuvre d'art car c'est faux.
Pour te répondre, certains films de cinéma peuvent être revus 30 fois alors qu'une série non, désolé.

Y a certains episodes de Chapeau melon et bottes de cuirs que j'ai du revoir une bonne trentaine de fois au fil des rediffusions télé.
La série télé amène un format différent et tout d'un coup ça n'est plus une oeuvre d'art ? Putain de génial les fétichistes !

dans mon message, je parlais des feuilletons tel que défini dans la première page de ce topic et qui consituent à peu près 90% de vos sujets de conversation ici.
les vraies séries comme Chapeau melon ou Les Simpsons, c'est autre chose, c'est beaucoup moins "facile" comme truc.

La structure feuilletonnante ne serait pas de l'art alors ? 1ère nouvelle. Qu'on m'explique pourquoi Alexandre Dumas est considéré comme un classique alors...

bon écoute l'art ou pas l'art je m'en branle je dis juste que les séries dont vous gargarisez ici c'est de la meb parce que ça se base sur des procédés très faciles et périssables pour capter l'attention du spectateur, captation de l'attention qui est l'essence du cinéma et de ses dérivés télévisuels. le style de Desperate housewives et compagnie, au fond, c'est les recettes des soap-operas (=trucs pour vendre de la lessive à la ménagère de moins de 50 ans) gonflés aux amphètes, dotées d'un budget un peu plus conséquent, ne reculant pas devant le cynisme et la violence et agrémentés d'un peu de signifiant social pour faire croire aux gens comme jeffarde qu'ils regardent un truc intelligent alors qu'au fond ça vaut pas mieux que Les feux de l'amour.
le livre n'étant pas un objet temporel, tu es hors-sujet avec ta comparaison avec Dumas d'autant que ça fait longtemps que plus personne ne lit plus Les trois mousquetaires comme un feuilleton.

Visiblement tu ne sais pas de quoi tu parles. Regarde The Shield, The Wire ou d'autres du même acabit, et tu comprendras tout de suite la différence avec des soap "améliorés " types Desperate housewifes.

P/Z a écrit:

denis quillard a écrit:

Coverdale jr a écrit:

denis quillard a écrit:

Coverdale jr a écrit:

comparer le cinéma contemporain et les séries télé actuelles me paraitrait déjà plus pertinent pour commencer.

c'est un faux débat.

le cinéma aussi est 90% du temps de l'usinage au kilomètre. Mais il y a des chefs-d'oeuvre dans les 10% qui restent.

Comme pour les séries télé...CQFD !

non, non et non. Lesquelles ? Et me ressort pas Chapeau melon ou je te fais bouffer le tien (de melon). Parle-moi des séries actuelles.

Mad Men !

Le débat tel qu'il a été entamé ici est complètement abscons. Il ne s'agit pas dire que le genre série est bon (ou mauvais) en soi, mais seulement de dire qu'à l'intérieur du genre il existe des œuvres remarquables (aussi rares soient-elles).
Comme disait le camarade Lourcelles, il n'existe pas de hiérarchie entre les genres, mais il existe une hiérarchie à l'intérieur des genres.
Sur ce je suis d'accord pour dire que 80% des séries ne sont pas bonnes (80% du cinéma qui se fait aussi d'ailleurs).

C'est du putain de bon sens !

P/Z a écrit:

Le débat tel qu'il a été entamé ici est complètement abscons. Il ne s'agit pas dire que le genre série est bon (ou mauvais) en soi, mais seulement de dire qu'à l'intérieur du genre il existe des œuvres remarquables (aussi rares soient-elles).
Comme disait le camarade Lourcelles, il n'existe pas de hiérarchie entre les genres, mais il existe une hiérarchie à l'intérieur des genres.
Sur ce je suis d'accord pour dire que 80% des séries ne sont pas bonnes (80% du cinéma qui se fait aussi d'ailleurs).

95% d'accord...

95% des séries ne sont pas bonnes (95% du cinéma qui se fait aussi d'ailleurs)

skip mccoy a écrit:

le livre n'étant pas un objet temporel, tu es hors-sujet avec ta comparaison avec Dumas d'autant que ça fait longtemps que plus personne ne lit plus Les trois mousquetaires comme un feuilleton.

De même que beaucoup de gens regardent les séries/feuilletons en plusieurs épisodes d'affilé, et non au rythme des diffusions tv.

zufman a écrit:

skip mccoy a écrit:

le livre n'étant pas un objet temporel, tu es hors-sujet avec ta comparaison avec Dumas d'autant que ça fait longtemps que plus personne ne lit plus Les trois mousquetaires comme un feuilleton.

De même que beaucoup de gens regardent les séries/feuilletons en plusieurs épisodes d'affilé, et non au rythme des diffusions tv.

Et bim !

maxine a écrit:

P/Z a écrit:

Le débat tel qu'il a été entamé ici est complètement abscons. Il ne s'agit pas dire que le genre série est bon (ou mauvais) en soi, mais seulement de dire qu'à l'intérieur du genre il existe des œuvres remarquables (aussi rares soient-elles).
Comme disait le camarade Lourcelles, il n'existe pas de hiérarchie entre les genres, mais il existe une hiérarchie à l'intérieur des genres.
Sur ce je suis d'accord pour dire que 80% des séries ne sont pas bonnes (80% du cinéma qui se fait aussi d'ailleurs).

95% d'accord...

95% des séries ne sont pas bonnes (95% du cinéma qui se fait aussi d'ailleurs)

c'est ce que j'ai écrit mot pour mot ci-dessus mais apparemment vous ne savez pas lire

zufman a écrit:

skip mccoy a écrit:

le livre n'étant pas un objet temporel, tu es hors-sujet avec ta comparaison avec Dumas d'autant que ça fait longtemps que plus personne ne lit plus Les trois mousquetaires comme un feuilleton.

De même que beaucoup de gens regardent les séries/feuilletons en plusieurs épisodes d'affilé, et non au rythme des diffusions tv.

cela ne change en rien les procédés d'écriture de ces séries.

skip mccoy a écrit:

zufman a écrit:

skip mccoy a écrit:

le livre n'étant pas un objet temporel, tu es hors-sujet avec ta comparaison avec Dumas d'autant que ça fait longtemps que plus personne ne lit plus Les trois mousquetaires comme un feuilleton.

De même que beaucoup de gens regardent les séries/feuilletons en plusieurs épisodes d'affilé, et non au rythme des diffusions tv.

cela ne change en rien les procédés d'écriture de ces séries.

la remarque de mazuf est débile à souhait. Personne ne va s'enfiler une saison entière d'une série en une journée

skip mccoy a écrit:

zufman a écrit:

skip mccoy a écrit:

le livre n'étant pas un objet temporel, tu es hors-sujet avec ta comparaison avec Dumas d'autant que ça fait longtemps que plus personne ne lit plus Les trois mousquetaires comme un feuilleton.

De même que beaucoup de gens regardent les séries/feuilletons en plusieurs épisodes d'affilé, et non au rythme des diffusions tv.

cela ne change en rien les procédés d'écriture de ces séries.

Pour Dumas non plus (le serpent qui se mord la queue).

denis quillard a écrit:

maxine a écrit:

P/Z a écrit:

Le débat tel qu'il a été entamé ici est complètement abscons. Il ne s'agit pas dire que le genre série est bon (ou mauvais) en soi, mais seulement de dire qu'à l'intérieur du genre il existe des œuvres remarquables (aussi rares soient-elles).
Comme disait le camarade Lourcelles, il n'existe pas de hiérarchie entre les genres, mais il existe une hiérarchie à l'intérieur des genres.
Sur ce je suis d'accord pour dire que 80% des séries ne sont pas bonnes (80% du cinéma qui se fait aussi d'ailleurs).

95% d'accord...

95% des séries ne sont pas bonnes (95% du cinéma qui se fait aussi d'ailleurs)

c'est ce que j'ai écrit mot pour mot ci-dessus mais apparemment vous ne savez pas lire

on a tous compris, mais puisque ta crédibilité frôle le degré zéro...

skip mccoy a écrit:

zufman a écrit:

skip mccoy a écrit:

le livre n'étant pas un objet temporel, tu es hors-sujet avec ta comparaison avec Dumas d'autant que ça fait longtemps que plus personne ne lit plus Les trois mousquetaires comme un feuilleton.

De même que beaucoup de gens regardent les séries/feuilletons en plusieurs épisodes d'affilé, et non au rythme des diffusions tv.

cela ne change en rien les procédés d'écriture de ces séries.

de même que le fait que maintenant on lise en un seul volume des œuvres conçues pour paraitre en feuilleton dans des périodiques, na change la façon dont elles ont été écrites.

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

zufman a écrit:

skip mccoy a écrit:

le livre n'étant pas un objet temporel, tu es hors-sujet avec ta comparaison avec Dumas d'autant que ça fait longtemps que plus personne ne lit plus Les trois mousquetaires comme un feuilleton.

De même que beaucoup de gens regardent les séries/feuilletons en plusieurs épisodes d'affilé, et non au rythme des diffusions tv.

cela ne change en rien les procédés d'écriture de ces séries.

la remarque de mazuf est débile à souhait. Personne ne va s'enfiler une saison entière d'une série en une journée

Une demie saison par contre...:oops:

denis quillard a écrit:

la remarque de mazuf est débile à souhait. Personne ne va s'enfiler une saison entière d'une série en une journée

Ça doit être aussi rare que de s'enfiler 500 pages d'un roman en une seule journée.
En revanche, regarder plusieurs épisodes d'affilés d'un feuilleton ou lire 50-100 pages d'un roman, ça arrive à pas mal de gens (Pignon qui travaille à l'INSEE a peut-être des chiffres sous la main).

denis quillard a écrit:

c'est ce que j'ai écrit mot pour mot ci-dessus mais apparemment vous ne savez pas lire

C'est ce que tu as dit pour le cinéma, mais tu as dis que ce n'étais pas le cas des séries.

zufman a écrit:

denis quillard a écrit:

la remarque de mazuf est débile à souhait. Personne ne va s'enfiler une saison entière d'une série en une journée

Ça doit être aussi rare que de s'enfiler 500 pages d'un roman en une seule journée.
En revanche, regarder plusieurs épisodes d'affilés d'un feuilleton ou lire 50-100 pages d'un roman, ça arrive à pas mal de gens (Pignon qui travaille à l'INSEE a peut-être des chiffres sous la main).

ce débat devient ridicule, je laisse tomber

zufman a écrit:

denis quillard a écrit:

c'est ce que j'ai écrit mot pour mot ci-dessus mais apparemment vous ne savez pas lire

C'est ce que tu as dit pour le cinéma, mais tu as dis que ce n'étais pas le cas des séries.

TAFT, pour moi PBLV et les Soprano c'est kif-kif mouscaille

vous etes casse-couilles, comparer des feuilletons télés avec Dumas c'est une fausse bonne idée, on parle de cinéma, d'objet temporel, pas de littérature. d'ailleurs, votre confusion tend à montrer que la série télé c'est un truc de scénariste et non de metteur en scène et donc à me donner raison.

denis quillard a écrit:

zufman a écrit:

denis quillard a écrit:

la remarque de mazuf est débile à souhait. Personne ne va s'enfiler une saison entière d'une série en une journée

Ça doit être aussi rare que de s'enfiler 500 pages d'un roman en une seule journée.
En revanche, regarder plusieurs épisodes d'affilés d'un feuilleton ou lire 50-100 pages d'un roman, ça arrive à pas mal de gens (Pignon qui travaille à l'INSEE a peut-être des chiffres sous la main).

ce débat devient ridicule, je laisse tomber

Nous t'avons collé une belle branlée oui. Tu n'as plus qu'à dégager, éteindre ton PC et aller mater le Tour de France.

Citation :

Un exemple entre mille. Plusieurs de ceux que j'aime et que j'estime
s'emportent contre les popularités actuelles, - Eugène Sue, Paul Féval,
- des logogriphes en action ; mais le talent de ces gens, pour frivole
qu'il soit, n'en existe pas moins, et la colère de mes amis n'existe
pas, ou plutôt elle existe en moins, - car elle est du temps
perdu, la chose du monde la moins précieuse. La question n'est pas de
savoir si la littérature du coeur ou de la forme est supérieure à celle
en vogue. Cela est trop vrai, pour moi du moins. Mais cela ne sera qu'à
moitié juste, tant que vous n'aurez pas dans le genre que vous voulez
installer autant de talent qu'Eugène Sue dans le sien.
Charles Baudelaire - Conseils aux jeunes littérateurs.

C'est votre dernier mot ?
C'est mon dernier mot.

skip mccoy a écrit:

vous etes casse-couilles, comparer des feuilletons télés avec Dumas c'est une fausse bonne idée, on parle de cinéma, d'objet temporel, pas de littérature. d'ailleurs, votre confusion tend à montrer que la série télé c'est un truc de scénariste et non de metteur en scène et donc à me donner raison.

Ajout.
Sur ce point tu as raison au détail près qu'il s'agit d'un truc de studio (de scénaristes, d'acteur, d'équipe technique etc...).
L'émergence des séries marque la fin d'une certaine cinéphilie telle qu'elle s'est constituée, pour faire simple, dans les années 50 (en gros la politique des auteurs). C'est d'ailleurs ce dont prend acte Skorecki quant il défend les productions Bochco.
Le débat porte alors sur le fait de savoir s'il s'agit d'une régression ou pas...

P/Z a écrit:

skip mccoy a écrit:

vous etes casse-couilles, comparer des feuilletons télés avec Dumas c'est une fausse bonne idée, on parle de cinéma, d'objet temporel, pas de littérature. d'ailleurs, votre confusion tend à montrer que la série télé c'est un truc de scénariste et non de metteur en scène et donc à me donner raison.

Ajout.
Sur ce point tu as raison au détail près qu'il s'agit d'un truc de studio (de scénaristes, d'acteur, d'équipe technique etc...).
L'émergence des séries marque la fin d'une certaine cinéphilie telle qu'elle s'est constituée, pour faire simple, dans les années 50 (en gros la politique des auteurs). C'est d'ailleurs ce dont prend acte Skorecki quant il défend les productions Bochco.
Le débat porte alors sur le fait de savoir s'il s'agit d'une régression ou pas...

pour moi, ça ne fait aucun doute parce que l'addiction c'est de la merde.

skip mccoy a écrit:

P/Z a écrit:

skip mccoy a écrit:

vous etes casse-couilles, comparer des feuilletons télés avec Dumas c'est une fausse bonne idée, on parle de cinéma, d'objet temporel, pas de littérature. d'ailleurs, votre confusion tend à montrer que la série télé c'est un truc de scénariste et non de metteur en scène et donc à me donner raison.

Ajout.
Sur ce point tu as raison au détail près qu'il s'agit d'un truc de studio (de scénaristes, d'acteur, d'équipe technique etc...).
L'émergence des séries marque la fin d'une certaine cinéphilie telle qu'elle s'est constituée, pour faire simple, dans les années 50 (en gros la politique des auteurs). C'est d'ailleurs ce dont prend acte Skorecki quant il défend les productions Bochco.
Le débat porte alors sur le fait de savoir s'il s'agit d'une régression ou pas...

pour moi, ça ne fait aucun doute parce que l'addiction c'est de la merde.

Génial ! Springsteen c’est quoi ? un placebo ?

zufman a écrit:

ok merci
je n'y suis pas tout de suite
j'en suis à la 2ème saison

elle devient passionnante à la 4ème, avec l'arrivée de Glenn Close. La saison 3 est faiblarde.

denis quillard a écrit:

Coverdale jr a écrit:

denis quillard a écrit:

Coverdale jr a écrit:

comparer le cinéma contemporain et les séries télé actuelles me paraitrait déjà plus pertinent pour commencer.

c'est un faux débat.

le cinéma aussi est 90% du temps de l'usinage au kilomètre. Mais il y a des chefs-d'oeuvre dans les 10% qui restent.

Comme pour les séries télé...CQFD !

non, non et non. Lesquelles ? Et me ressort pas Chapeau melon ou je te fais bouffer le tien (de melon). Parle-moi des séries actuelles.

Twin Peaks, The Sopranos, Mad men (dont je viens de démarrer les deux premiers épisodes impressionnants - et qui devraient plaire à skip, denise, pizède et consorts s'ils avaient la volonté d'y jeter un oeil)

skip mccoy a écrit:

Coverdale jr a écrit:

skip mccoy a écrit:

Coverdale jr a écrit:

denis quillard a écrit:

Coverdale jr a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

Raoulle a écrit:

denis quillard a écrit:

Raoulle a écrit:

Sauf que Six feet under est le meilleur, roman, film, disque tout ce qu'on veut, depuis dix ans et donc du 21eme siècle.

n'importe nawak...

Mais si

déjà un bon disque tu peux l'écouter à l'infini alors qu'une série comme ça s'use à la revision. C'est fait pour être vu une fois.

et paf, sur le nez de raoul !

Genre tu regardes tous les jours La prisonnière du désert...c'est complètement con comme raisonnement.

je parle de SERIES. Une série c'est de la consommation courante, du fast-food, alors qu'un livre ou un disque peut être une oeuvre d'art. J'en ai un peu ras le cul qu'on puisse considérer une série comme une oeuvre d'art car c'est faux.
Pour te répondre, certains films de cinéma peuvent être revus 30 fois alors qu'une série non, désolé.

Y a certains episodes de Chapeau melon et bottes de cuirs que j'ai du revoir une bonne trentaine de fois au fil des rediffusions télé.
La série télé amène un format différent et tout d'un coup ça n'est plus une oeuvre d'art ? Putain de génial les fétichistes !

dans mon message, je parlais des feuilletons tel que défini dans la première page de ce topic et qui consituent à peu près 90% de vos sujets de conversation ici.
les vraies séries comme Chapeau melon ou Les Simpsons, c'est autre chose, c'est beaucoup moins "facile" comme truc.

La structure feuilletonnante ne serait pas de l'art alors ? 1ère nouvelle. Qu'on m'explique pourquoi Alexandre Dumas est considéré comme un classique alors...

bon écoute l'art ou pas l'art je m'en branle je dis juste que les séries dont vous gargarisez ici c'est de la meb parce que ça se base sur des procédés très faciles et périssables pour capter l'attention du spectateur, captation de l'attention qui est l'essence du cinéma et de ses dérivés télévisuels. le style de Desperate housewives et compagnie, au fond, c'est les recettes des soap-operas (=trucs pour vendre de la lessive à la ménagère de moins de 50 ans) gonflés aux amphètes, dotées d'un budget un peu plus conséquent, ne reculant pas devant le cynisme et la violence et agrémentés d'un peu de signifiant social pour faire croire aux gens comme jeffarde qu'ils regardent un truc intelligent alors qu'au fond ça vaut pas mieux que Les feux de l'amour.
le livre n'étant pas un objet temporel, tu es hors-sujet avec ta comparaison avec Dumas d'autant que ça fait longtemps que plus personne ne lit plus Les trois mousquetaires comme un feuilleton.

Tu ne sais pas de quoi tu parles, face de chibre.