Cinema, Cinémaaaaaaaaaaaaaaaa

chewbi a écrit:

Rüpert Dü a écrit:

chewbi a écrit:

Rüpert Dü a écrit:

que signifie "anouch abour" à propos ? ça a une consonance sessuelle, sauf ton respect...

c'est un dessert arménien déguelasse à base de riz et de fruits secs, je ne te le conseille pas

OK merci du conseil, je vais éviter. En même tps ça doit pas se trouver dans toutes les boulanges, ton queen amane du pauvre...

heureusement pour les palais français

c'est si dégeulasse que ca ? ca avait l'air ok sur la recette

carlos a écrit:

chewbi a écrit:

Rüpert Dü a écrit:

chewbi a écrit:

Rüpert Dü a écrit:

que signifie "anouch abour" à propos ? ça a une consonance sessuelle, sauf ton respect...

c'est un dessert arménien déguelasse à base de riz et de fruits secs, je ne te le conseille pas

OK merci du conseil, je vais éviter. En même tps ça doit pas se trouver dans toutes les boulanges, ton queen amane du pauvre...

heureusement pour les palais français

c'est si dégeulasse que ca ? ca avait l'air ok sur la recette

faut aimer les desserts qui ressemblent à de la bouillie

perso j'évite la bouffe des pays du tiers monde.

shazeb ? a écrit:

perso j'évite la bouffe des pays du tiers monde.

tu fais bien shasha, on ne sait jamais ce qu'il peut y avoir dans un beurek, ton estomac de fier clermontois pourrait être tout retourné

chewbi a écrit:

shazeb ? a écrit:

perso j'évite la bouffe des pays du tiers monde.

tu fais bien shasha, on ne sait jamais ce qu'il peut y avoir dans un beurek, ton estomac de fier clermontois pourrait être tout retourné

pas comme la chatte de lalleza, le fin des fins pour tout gourmet qui se respecte...

dubarne a écrit:

chewbi a écrit:

shazeb ? a écrit:

perso j'évite la bouffe des pays du tiers monde.

tu fais bien shasha, on ne sait jamais ce qu'il peut y avoir dans un beurek, ton estomac de fier clermontois pourrait être tout retourné

pas comme la chatte de lalleza, le fin des fins pour tout gourmet qui se respecte...

merci ma petite caille

Skip, je te suggère la lecture du nouveau magazine de cinéma "Brazil #2", refonte du "brazil" qui avait pas marché. Un peu à contre-pied des mags ciné classiques...

Ils ont sorti un dossier sur leurs 50 western favoris. y'a une jolie sélection, avec beaucoup de non-classiques.

jeffarde a écrit:

Skip, je te suggère la lecture du nouveau magazine de cinéma "Brazil #2", refonte du "brazil" qui avait pas marché. Un peu à contre-pied des mags ciné classiques...

Ils ont sorti un dossier sur leurs 50 western favoris. y'a une jolie sélection, avec beaucoup de non-classiques.

je me souviens d'un éditorial assez puant et crétin vis-à-vis de Besson.

paye la liste !

le souvenir du bonheur, c'est toujours le bonheur ?

skip mccoy a écrit:

jeffarde a écrit:

Skip, je te suggère la lecture du nouveau magazine de cinéma "Brazil #2", refonte du "brazil" qui avait pas marché. Un peu à contre-pied des mags ciné classiques...

Ils ont sorti un dossier sur leurs 50 western favoris. y'a une jolie sélection, avec beaucoup de non-classiques.

je me souviens d'un éditorial assez puant et crétin vis-à-vis de Besson.

paye la liste !

et un merci, ça mange pas de pain non plus.
Je paierai ma liste dès que j'ai deux minutes, ce qui n'est absolument pas le cas présentement.
Et c'est justement à cause du papier sur Besson que je les aime bien. Papier crétin pour mec crétin, ils se mettent au niveau. C'est à cette époque que je m'étais fait radier du forum "Premiere" pour mes propos sur besson et son film pédophile "léon".

jeffarde a écrit:

C'est à cette époque que je m'étais fait radier du forum "Premiere" pour mes propos sur besson et son film pédophile "léon".

quel rebelle...

Programmation alléchante ce vendredi à la Cinémathèque, jugez plutôt :
http://www.cinematheque.fr/fr/nosactivites/projections/rendez-vous-cinema/cinemabis/manifestation/V7849-cinema-bis-poursuites-automobiles.htm

aujourd'hui, j'ai fait un petit voyage dans les années 30 avec la découverte de quatre raretés de Frank Borzage...

Amis pour toujours (Shipmates Forever)
Regarder un film comme ça, c'est goûter un plaisir précieux, celui d'effleurer un univers oublié, un univers naïf et pétri de valeurs aussi désuètes que le courage sacrificiel ou la foi en ses camarades. Borzage a excellé dans ce cinéma édifiant et révolu, il filme ici avec autant de pudeur que de sensibilité les trémolos dans la voix d'une orpheline, les chants de marins en soirée, les discussions houleuses d'un père amiral avec son fils chanteur ou les funérailles d'un jeune héros. C'est pourquoi en dépit de quelques ficelles scénaristiques grossières, Amis pour toujours est un très bon film, un produit pour jeune premier (le crooner Dick Powell, impeccable dans un rôle un peu plus complexe qu'à l'accoutumée) transcendé par la sensibilité unique de son réalisateur qui est peut-être avant tout un grand directeur d'acteurs.

Mademoiselle général (Flirtation Walk)
Film musical à la gloire de West Point avec défilés militaires qui n'en finissent pas. Niais, longuet et franchement chiant je défie quiconque d'y retrouver le style de Borzage. Reste les numéros de Dick Powell qui n'intéressent d'ailleurs plus grand-monde en dehors de vieux cons comme Skorecki. La différence entre ce film et le précédent, c'est la différence entre la ringardise et la désuétude.

Le bureau des épaves (Stranded)
Histoire d'amour entre un patron confronté à un syndicat mafieux et une travailleuse sociale. Comme dans d'autres films de l'auteur, la rencontre de la femme aimée sera l'occasion d'une évolution morale pour l'homme. Dans Le bureau des épaves, cette rédemption ne prend pas de tournure métaphysique (Liliom), l'importance du contexte social évite les envolées lyrico-poétiques. Le déroulement du film reste prosaïque. Si l'histoire d'amour peine au début à être crédible, la description du milieu ouvrier et des immigrants par ce grand chrétien qu'était Borzage est intéressante.

Betsy (Hearts divided)
Rocambolesque histoire d'amour à la sauce hollywoodienne entre le frère de Napoléon et une jeune fille sudiste. Si toute la première partie du film, pleine de clichés complètement niais laissait augurer un véritable navet, la suite s'avère plus personnelle, l'amour borzagien ne devant plus braver la mort ou la crise économique mais rien moins que Napoléon. Ce qui revient finalement au même, c'est à dire, larmes, sacrifice puis retrouvailles inespérées. La scène avec la maman de Napoléon qui réconcilie les deux frères vaut son pesant de cacahuètes; c'est en filmant avec foi ce genre de séquence apparemment saugrenue mais indéniablement singulière que Borzage sauve son film de l'oubli.

Sur le velours (Living on velvet)
c'est bien.

mouaif

Grand film du genre Noir avec un Humphrey et une Lauren qui écrasent tout.



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