là, j\'écoute :

John Kaltenbrunner a écrit:

Sporting Club Rupijoie a écrit:

The Horrors, Primary colours

Un album produit de main de maître par Geoff Barrow (Portishead), qui louvoie dans les eaux troubles de la niou wèïve épico-gothique, avec de grandes chansons : l'écriture, la voix du chanteur, le lyrisme sulfureux et la noirceur rappelle surtout Psychedelic Furs, puis Jesus & Mary Chain pour le son mat de la batterie, My Bloody Valentine, de loin, pour ces murs de guitare qui s'écroulent à l'infini. Excellente surprise de la part d'un énième groupe potache de rock'n'roll grand-guignol qui semblait voué à l'oubli après un buzz éphémère.

je me souviens qu'à l'écoute de ce truc, j'ai trouvé quelques bonnes chansons
mais ça ne tient pas la route sur la longueur d'un album.

pas d'accord. L'album est assez court et il n'y a pas de temps faibles.

Sporting Club Rupijoie a écrit:

John Kaltenbrunner a écrit:

Sporting Club Rupijoie a écrit:

The Horrors, Primary colours

Un album produit de main de maître par Geoff Barrow (Portishead), qui louvoie dans les eaux troubles de la niou wèïve épico-gothique, avec de grandes chansons : l'écriture, la voix du chanteur, le lyrisme sulfureux et la noirceur rappelle surtout Psychedelic Furs, puis Jesus & Mary Chain pour le son mat de la batterie, My Bloody Valentine, de loin, pour ces murs de guitare qui s'écroulent à l'infini. Excellente surprise de la part d'un énième groupe potache de rock'n'roll grand-guignol qui semblait voué à l'oubli après un buzz éphémère.

je me souviens qu'à l'écoute de ce truc, j'ai trouvé quelques bonnes chansons
mais ça ne tient pas la route sur la longueur d'un album.

pas d'accord. L'album est assez court et il n'y a pas de temps faibles.

trop de chansons qui ne me plaisaient pas.

John Kaltenbrunner a écrit:

Sporting Club Rupijoie a écrit:

John Kaltenbrunner a écrit:

Sporting Club Rupijoie a écrit:

The Horrors, Primary colours

Un album produit de main de maître par Geoff Barrow (Portishead), qui louvoie dans les eaux troubles de la niou wèïve épico-gothique, avec de grandes chansons : l'écriture, la voix du chanteur, le lyrisme sulfureux et la noirceur rappelle surtout Psychedelic Furs, puis Jesus & Mary Chain pour le son mat de la batterie, My Bloody Valentine, de loin, pour ces murs de guitare qui s'écroulent à l'infini. Excellente surprise de la part d'un énième groupe potache de rock'n'roll grand-guignol qui semblait voué à l'oubli après un buzz éphémère.

je me souviens qu'à l'écoute de ce truc, j'ai trouvé quelques bonnes chansons
mais ça ne tient pas la route sur la longueur d'un album.

pas d'accord. L'album est assez court et il n'y a pas de temps faibles.

trop de chansons qui ne me plaisaient pas.

il y a une ambiance à la fois malsaine et épique, de bonnes chansons, ça me donne envie de réécouter les Psy Furs, bref : sans être un sérénissime chef-d'oeuvre c'est une excellent album de rauque décadent sorti cette année.

boub a écrit:

Un peu comme si King Crimson période Red et Add N to X période on the wire of our nerves avaient décidé de partouzer ensemble. Pas mauvais mais pas franchement indispensable, comme tous les albums de Tortoise en fait

Il faut être honnête Tortoise c'est souvent un peu chiant sur les bords.

Sporting Club Rupijoie a écrit:

The Horrors, Primary colours

Un album produit de main de maître par Geoff Barrow (Portishead), qui louvoie dans les eaux troubles de la niou wèïve épico-gothique, avec de grandes chansons : l'écriture, la voix du chanteur, le lyrisme sulfureux et la noirceur rappelle surtout Psychedelic Furs, puis Jesus & Mary Chain pour le son mat de la batterie, My Bloody Valentine, de loin, pour ces murs de guitare qui s'écroulent à l'infini. Excellente surprise de la part d'un énième groupe potache de rock'n'roll grand-guignol qui semblait voué à l'oubli après un buzz éphémère.

Tout à fait d'accord avec toi rupi , ce disque est une très bonne surprise du premier semestre , le groupe réusiit à mélanger cold wave et shoegaze pour faire un tout hyper cohérent .

denis quillard a écrit:

Qqun a écouté ? Poupouye ? Je crains le pire....

non pas écouté , je devais : casting intriguant , belle pochette ... et puis j'ai lu et entendu un peu partout que c'était à cagar donc j'ai passé mon tour . Par contre le Gaham Coxon est en prévision .

poupouye a écrit:

Par contre le Gaham Coxon est en prévision .

il est pas dégueu

Alban Ceray a écrit:

c'est le single ça, ça donne quoi ? Je voulais acheter l'album hier mais il est pas sorti

denis quillard a écrit:

Alban Ceray a écrit:

c'est le single ça, ça donne quoi ? Je voulais acheter l'album hier mais il est pas sorti

Oui c’est le single. Comme j’ai téléchargé bassement l’album je me suis également bassement trompé de pochette. Pour le reste c’est catchy comme d’hab et pour qui aime le sucre c’est un vrai régal.

Magnifique (as usual)

Citation :

The Huddle House nous apporte d'excellentes nouvelles d'un musicien qui en donne peu, et même, le plus souvent, pas du tout. Stuart Moxham est un cas à peu près unique dans l'histoire du rock indépendant britannique. Le trio qu'il a créé à Cardiff, dans son pays de Galles natal, avec son frère Phil et Alison, une voisine, a enregistré un album unique, sorte de démo améliorée, Colossal Youth, en 1980. Pas de batterie, des amplis réglés à 1 plutôt qu'à 10, une boîte à rythmes bricolée. Des chansons d'apparence impassible, aussi discrètes qu'intenses, qui ont bouleversé tous ceux qui les ont écoutées, notamment Kurt Cobain, qui en parle plusieurs fois dans son Journal. En trente ans, Stuart n'a jamais cessé de faire des chansons et de les enregistrer. Mais son goût pour la solitude, voire l'isolement extrême, sa mauvaise habitude de disparaître régulièrement, de ne pas répondre aux sollicitations, ont fatigué à peu près tous ceux qui ont essayé de travailler avec lui depuis. Il a fallu l'opiniâtreté de mon ami Louis Philippe pour faire sortir Stuart de sa tanière. Français émigré à Londres depuis plus de vingt ans, sorte de légende vivante de la pop easy-listening , compositeur et arrangeur parmi les plus raffinés de notre temps, Philippe est lui-même auteur d'une quinzaine d'albums qui font l'objet d'un culte mondial, de Tokyo à Seattle .Il a travaillé Stuart au corps pour le faire accoucher d'un album qui, dans son dépouillement spartiate et son intensité minutieuse, fait d'une certaine façon penser aux American Recordings de Johnny Cash enregistrés par Rick Rubin. Il y a dans ce disque certaines des plus belles compositions de Stuart, dont la voix grave et détachée, mais poignante, donne à un titre comme Save It, une des plus bouleversantes déclarations de rupture à une femme, la puissance d'un classique. Et son jeu de guitare, à la richesse discrète, a la même précision orchestrale que celui d'un Nick Drake. Il y a des musiciens qui collent à leur époque et font des chansons qui s'oublient aussitôt écoutées. Stuart, cinquante-cinq ans aujourd'hui, n'appartient à aucune époque et The Huddle House pourrait aussi bien être un disque miraculé enregistré il y a trente ans et oublié dans un tiroir. Michka Assayas

L'ecoute de The black rider il y a quelques années m'avait plutôt dégouté du zigue...et puis là, je (re)decouvre et je dois dire que c'est plutôt pas dégueu en fait, et en plus y a Keith Riff Hard qui se démène assez bien sur deux titres, alors...

Raoulle a écrit:

Magnifique (as usual)

elle est tirée d'où la chronique de Michka ?

denis quillard a écrit:

Raoulle a écrit:

Magnifique (as usual)

elle est tirée d'où la chronique de Michka ?

http://www.maquismusic.com/store/fr/catalog/80/stuartmoxhamwithlouisphilippethehuddlehouse

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