là, j\'écoute :

carlos a écrit:

zufman a écrit:

mazuf est comme qui dirait en mode maxinien

j'apprécie son gout

Figurines - Skeleton

zufman a écrit:

carlos a écrit:

zufman a écrit:

mazuf est comme qui dirait en mode maxinien

j'apprécie son gout

As-t-on le droit de dire que c'est terriblement ennuyeux et prétentieux, ennuyeux parce que prétentieux, prétentieux parce qu'ennuyeux.

zufman a écrit:

carlos a écrit:

zufman a écrit:

mazuf est comme qui dirait en mode maxinien

j'apprécie son gout

j'ai essayé récemment le skeud que tu portes en avatar, et CCC n'est pas loin d'être le terme le plus approprié pour le définir

P/Z a écrit:

zufman a écrit:

carlos a écrit:

zufman a écrit:

mazuf est comme qui dirait en mode maxinien

j'apprécie son gout

As-t-on le droit de dire que c'est terriblement ennuyeux et prétentieux, ennuyeux parce que prétentieux, prétentieux parce qu'ennuyeux.

c'est in the court of the crimson king ?

skip mccoy a écrit:

P/Z a écrit:

zufman a écrit:

carlos a écrit:

zufman a écrit:

mazuf est comme qui dirait en mode maxinien

j'apprécie son gout

As-t-on le droit de dire que c'est terriblement ennuyeux et prétentieux, ennuyeux parce que prétentieux, prétentieux parce qu'ennuyeux.

c'est in the court of the crimson king ?

nan c'est le cri de munch

P/Z a écrit:

As-t-on le droit de dire que c'est terriblement ennuyeux et prétentieux, ennuyeux parce que prétentieux, prétentieux parce qu'ennuyeux.

Tu as le droit, même si c'est un peu court.

Sonar Bongo a écrit:

skip mccoy a écrit:

P/Z a écrit:

zufman a écrit:

carlos a écrit:

zufman a écrit:

mazuf est comme qui dirait en mode maxinien

j'apprécie son gout

As-t-on le droit de dire que c'est terriblement ennuyeux et prétentieux, ennuyeux parce que prétentieux, prétentieux parce qu'ennuyeux.

c'est in the court of the crimson king ?

nan c'est le cri de munch

monster de son prénom ?

Sonar Bongo a écrit:

j'ai essayé récemment le skeud que tu portes en avatar, et CCC n'est pas loin d'être le terme le plus approprié pour le définir

Allons bon. Combien de fois l'as tu écouté ?

zufman a écrit:

Sonar Bongo a écrit:

j'ai essayé récemment le skeud que tu portes en avatar, et CCC n'est pas loin d'être le terme le plus approprié pour le définir

Allons bon. Combien de fois l'as tu écouté ?

2/3 fois, puis je l'ai rendu à la médiathèque

Sonar Bongo a écrit:

zufman a écrit:

Sonar Bongo a écrit:

j'ai essayé récemment le skeud que tu portes en avatar, et CCC n'est pas loin d'être le terme le plus approprié pour le définir

Allons bon. Combien de fois l'as tu écouté ?

2/3 fois, puis je l'ai rendu à la médiathèque

saluons ce geste

zufman a écrit:

P/Z a écrit:

As-t-on le droit de dire que c'est terriblement ennuyeux et prétentieux, ennuyeux parce que prétentieux, prétentieux parce qu'ennuyeux.

Tu as le droit, même si c'est un peu court.

Honnêtement tu es capable d'écouter Moonchild (12mn) sans t'emmerder ? Mais pour te rassurer, j'ai gueulé In the court of the Criiiiisooomm Kiiiing (le reste m'a toujours fais chier) en fumant des pétards et en prenant un air inspiré (les parties de pipeau sont désespérantes !)

Sonar Bongo a écrit:

2/3 fois, puis je l'ai rendu à la médiathèque

En première écoute j'avais trouvé l'ensemble bien, sans plus, avec l'impression que certains morceaux étaient inconsistants, qu'il manquait des éléments pour que ça tienne la route.
Assez vite après plusieurs écoutes, ce disque est devenu addictif. Sous une simplicité apparente chaque titre est finalement très évocateur. J'ai l'impression de ne pas pouvoir en faire le tour.
Pour le coup, la pochette me semble coller parfaitement à l'atmosphère générale de l'album: des motifs simples, dont l'agencement - en fait surement très étudié (je ne saurais pas me prononcer là dessus) - renvoie à une multitudes de sentiments ou d'atmosphères. Pour ma part j'éprouve un inexplicable sentiment de nostalgie en écoutant ce disque.

zufman a écrit:

Sonar Bongo a écrit:

2/3 fois, puis je l'ai rendu à la médiathèque

En première écoute j'avais trouvé l'ensemble bien, sans plus, avec l'impression que certains morceaux étaient inconsistants, qu'il manquait des éléments pour que ça tienne la route.
Assez vite après plusieurs écoutes, ce disque est devenu addictif. Sous une simplicité apparente chaque titre est finalement très évocateur. J'ai l'impression de ne pas pouvoir en faire le tour.
Pour le coup, la pochette me semble coller parfaitement à l'atmosphère générale de l'album: des motifs simples, dont l'agencement - en fait surement très étudié (je ne saurais pas me prononcer là dessus) - renvoie à une multitudes de sentiments ou d'atmosphères. Pour ma part j'éprouve un inexplicable sentiment de nostalgie en écoutant ce disque.

bel effort

P/Z a écrit:

Honnêtement tu es capable d'écouter Moonchild (12mn) sans t'emmerder ? Mais pour te rassurer, j'ai gueulé In the court of the Criiiiisooomm Kiiiing (le reste m'a toujours fais chier) en fumant des pétards et en prenant un air inspiré (les parties de pipeau sont désespérantes !)

Je comprends que la fin de Moonchild puisse rebuter, même si je ne qualifierais pas ce genre de plage de chiant. Je dirais plutôt opaque.

Sonar Bongo a écrit:

bel effort

merci

zufman a écrit:

jawohl !

Quant au crimson, cet album reste foutrement bon, que ce soit prétentieux ou non (et qu'est ce que cela peut bien foutre en plus) même si le fameux moonchild aurait en effet pu durer 2 minutes et que les bassons d'epitaph sont plutôt poilant. Toute leur discograpgie vaut le coup jusqu'à Red, allez Discipline même. Si tu trouves le "no pussyfooting" de Fripp+Eno mazuf ne rate pas l'occasion de poser une oreille dessus. La réédition de ce skeud faites l'an passée est pour cela vraiment excellente

Pour l'heure à nouveau cette excellente "anthologie" qu'en est pas une de the Units. Avec le 39 Clocked une des rééditions de l'année, bordel à cul

boub a écrit:

Si tu trouves le "no pussyfooting" de Fripp+Eno mazuf ne rate pas l'occasion de poser une oreille dessus. La réédition de ce skeud faites l'an passée est pour cela vraiment excellente

c'est noté

Album dédié à John Martyn et Davy Graham (Coxon, lol) + Danny Thompson à la contrebasse (oui, le Danny Thompson de Five leaves left), un premier titre (très beau) plus Nick Drake tu meurs (beaucoup plus convaincant que Beck dans le pastiche), bref un disque très "sous influence" mais néanmoins excellent. Pas prétentieux pour deux sous, belles mélodies, un ou deux titres sonnent très Blur, un ou deux autres qui braconnent sur les terres d'Elliott Smith... Recommandé, comme dirait Nick Kent.

denis quillard a écrit:

Album dédié à John Martyn et Davy Graham (Coxon, lol) + Danny Thompson à la contrebasse (oui, le Danny Thompson de Five leaves left), un premier titre (très beau) plus Nick Drake tu meurs (beaucoup plus convaincant que Beck dans le pastiche), bref un disque très "sous influence" mais néanmoins excellent. Pas prétentieux pour deux sous, belles mélodies, un ou deux titres sonnent très Blur, un ou deux autres qui braconnent sur les terres d'Elliott Smith... Recommandé, comme dirait Nick Kent.

alléchant sa chatte (notez l'allitération)

Sporting Club Rupijoie a écrit:

denis quillard a écrit:

Album dédié à John Martyn et Davy Graham (Coxon, lol) + Danny Thompson à la contrebasse (oui, le Danny Thompson de Five leaves left), un premier titre (très beau) plus Nick Drake tu meurs (beaucoup plus convaincant que Beck dans le pastiche), bref un disque très "sous influence" mais néanmoins excellent. Pas prétentieux pour deux sous, belles mélodies, un ou deux titres sonnent très Blur, un ou deux autres qui braconnent sur les terres d'Elliott Smith... Recommandé, comme dirait Nick Kent.

alléchant sa chatte (notez l'allitération)

à noter qu'il faut zapper le troisième titre qui dure 8 minutes

The Horrors, Primary colours

Un album produit de main de maître par Geoff Barrow (Portishead), qui louvoie dans les eaux troubles de la niou wèïve épico-gothique, avec de grandes chansons : l'écriture, la voix du chanteur, le lyrisme sulfureux et la noirceur rappelle surtout Psychedelic Furs, puis Jesus & Mary Chain pour le son mat de la batterie, My Bloody Valentine, de loin, pour ces murs de guitare qui s'écroulent à l'infini. Excellente surprise de la part d'un énième groupe potache de rock'n'roll grand-guignol qui semblait voué à l'oubli après un buzz éphémère.

Un peu comme si King Crimson période Red et Add N to X période on the wire of our nerves avaient décidé de partouzer ensemble. Pas mauvais mais pas franchement indispensable, comme tous les albums de Tortoise en fait

Sporting Club Rupijoie a écrit:

The Horrors, Primary colours

Un album produit de main de maître par Geoff Barrow (Portishead), qui louvoie dans les eaux troubles de la niou wèïve épico-gothique, avec de grandes chansons : l'écriture, la voix du chanteur, le lyrisme sulfureux et la noirceur rappelle surtout Psychedelic Furs, puis Jesus & Mary Chain pour le son mat de la batterie, My Bloody Valentine, de loin, pour ces murs de guitare qui s'écroulent à l'infini. Excellente surprise de la part d'un énième groupe potache de rock'n'roll grand-guignol qui semblait voué à l'oubli après un buzz éphémère.

je me souviens qu'à l'écoute de ce truc, j'ai trouvé quelques bonnes chansons
mais ça ne tient pas la route sur la longueur d'un album.