tiens skipi

Citation :

Jadis, Bruce Springsteen mettait un temps fou à achever ses disques. Des mois et des mois pour mener à bien Born to run, d’interminables semaines d’attente pour entendre enfin couler The River. Mais ces longs et difficiles labeurs accouchaient de chefs-d’oeuvre. Aujourd’hui, sa Bossitude enchaine les albums presqu’aussi vite que Chabrol les films ou Max Gallo les bouquins, mais le résultat est nettement moins fort. Working on a dream ressemble à Magic : une dose de pur Bruce pour quatre mesures de flotte FM. Du Boss Canada Dry : ça y ressemble, ça en a le goût, l’odeur, mais ça n’est pas de l’alcool. C’est du Springsteen générique comme ses imitateurs pourraient en pondre au kilomètre et ça s’écoute avec indifférence. A deux ou trois exceptions. L’ouverture, Outlaw Pete, majestueux western sonore de 8 minutes. Et les deux ballades de clôture : l’une dédiée à son défunt organiste Danny Federici (The Last carnival), bouleversante, et l’autre composée pour le film de Darren Aronovsky avec Mickey Rourke, The Wrestler.

denis quillard a écrit:

Citation :

Jadis, Bruce Springsteen mettait un temps fou à achever ses disques. Des mois et des mois pour mener à bien Born to run, d’interminables semaines d’attente pour entendre enfin couler The River. Mais ces longs et difficiles labeurs accouchaient de chefs-d’oeuvre. Aujourd’hui, sa Bossitude enchaine les albums presqu’aussi vite que Chabrol les films ou Max Gallo les bouquins, mais le résultat est nettement moins fort. Working on a dream ressemble à Magic : une dose de pur Bruce pour quatre mesures de flotte FM. Du Boss Canada Dry : ça y ressemble, ça en a le goût, l’odeur, mais ça n’est pas de l’alcool. C’est du Springsteen générique comme ses imitateurs pourraient en pondre au kilomètre et ça s’écoute avec indifférence. A deux ou trois exceptions. L’ouverture, Outlaw Pete, majestueux western sonore de 8 minutes. Et les deux ballades de clôture : l’une dédiée à son défunt organiste Danny Federici (The Last carnival), bouleversante, et l’autre composée pour le film de Darren Aronovsky avec Mickey Rourke, The Wrestler.

Kaganski ?

baraque au bain Marie a écrit:

denis quillard a écrit:

Citation :

Jadis, Bruce Springsteen mettait un temps fou à achever ses disques. Des mois et des mois pour mener à bien Born to run, d’interminables semaines d’attente pour entendre enfin couler The River. Mais ces longs et difficiles labeurs accouchaient de chefs-d’oeuvre. Aujourd’hui, sa Bossitude enchaine les albums presqu’aussi vite que Chabrol les films ou Max Gallo les bouquins, mais le résultat est nettement moins fort. Working on a dream ressemble à Magic : une dose de pur Bruce pour quatre mesures de flotte FM. Du Boss Canada Dry : ça y ressemble, ça en a le goût, l’odeur, mais ça n’est pas de l’alcool. C’est du Springsteen générique comme ses imitateurs pourraient en pondre au kilomètre et ça s’écoute avec indifférence. A deux ou trois exceptions. L’ouverture, Outlaw Pete, majestueux western sonore de 8 minutes. Et les deux ballades de clôture : l’une dédiée à son défunt organiste Danny Federici (The Last carnival), bouleversante, et l’autre composée pour le film de Darren Aronovsky avec Mickey Rourke, The Wrestler.

SK ?

TAFT, au moins aussi fan que toi

denis quillard a écrit:

baraque au bain Marie a écrit:

denis quillard a écrit:

Citation :

Jadis, Bruce Springsteen mettait un temps fou à achever ses disques. Des mois et des mois pour mener à bien Born to run, d’interminables semaines d’attente pour entendre enfin couler The River. Mais ces longs et difficiles labeurs accouchaient de chefs-d’oeuvre. Aujourd’hui, sa Bossitude enchaine les albums presqu’aussi vite que Chabrol les films ou Max Gallo les bouquins, mais le résultat est nettement moins fort. Working on a dream ressemble à Magic : une dose de pur Bruce pour quatre mesures de flotte FM. Du Boss Canada Dry : ça y ressemble, ça en a le goût, l’odeur, mais ça n’est pas de l’alcool. C’est du Springsteen générique comme ses imitateurs pourraient en pondre au kilomètre et ça s’écoute avec indifférence. A deux ou trois exceptions. L’ouverture, Outlaw Pete, majestueux western sonore de 8 minutes. Et les deux ballades de clôture : l’une dédiée à son défunt organiste Danny Federici (The Last carnival), bouleversante, et l’autre composée pour le film de Darren Aronovsky avec Mickey Rourke, The Wrestler.

SK ?

TAFT, au moins aussi fan que toi

je déteste vraiment son écriture.

baraque au bain Marie a écrit:

denis quillard a écrit:

baraque au bain Marie a écrit:

denis quillard a écrit:

Citation :

Jadis, Bruce Springsteen mettait un temps fou à achever ses disques. Des mois et des mois pour mener à bien Born to run, d’interminables semaines d’attente pour entendre enfin couler The River. Mais ces longs et difficiles labeurs accouchaient de chefs-d’oeuvre. Aujourd’hui, sa Bossitude enchaine les albums presqu’aussi vite que Chabrol les films ou Max Gallo les bouquins, mais le résultat est nettement moins fort. Working on a dream ressemble à Magic : une dose de pur Bruce pour quatre mesures de flotte FM. Du Boss Canada Dry : ça y ressemble, ça en a le goût, l’odeur, mais ça n’est pas de l’alcool. C’est du Springsteen générique comme ses imitateurs pourraient en pondre au kilomètre et ça s’écoute avec indifférence. A deux ou trois exceptions. L’ouverture, Outlaw Pete, majestueux western sonore de 8 minutes. Et les deux ballades de clôture : l’une dédiée à son défunt organiste Danny Federici (The Last carnival), bouleversante, et l’autre composée pour le film de Darren Aronovsky avec Mickey Rourke, The Wrestler.

SK ?

TAFT, au moins aussi fan que toi

je déteste vraiment son écriture.

tu dis ça parce qu'il écorche le BOSS

denis quillard a écrit:

baraque au bain Marie a écrit:

denis quillard a écrit:

baraque au bain Marie a écrit:

denis quillard a écrit:

Citation :

Jadis, Bruce Springsteen mettait un temps fou à achever ses disques. Des mois et des mois pour mener à bien Born to run, d’interminables semaines d’attente pour entendre enfin couler The River. Mais ces longs et difficiles labeurs accouchaient de chefs-d’oeuvre. Aujourd’hui, sa Bossitude enchaine les albums presqu’aussi vite que Chabrol les films ou Max Gallo les bouquins, mais le résultat est nettement moins fort. Working on a dream ressemble à Magic : une dose de pur Bruce pour quatre mesures de flotte FM. Du Boss Canada Dry : ça y ressemble, ça en a le goût, l’odeur, mais ça n’est pas de l’alcool. C’est du Springsteen générique comme ses imitateurs pourraient en pondre au kilomètre et ça s’écoute avec indifférence. A deux ou trois exceptions. L’ouverture, Outlaw Pete, majestueux western sonore de 8 minutes. Et les deux ballades de clôture : l’une dédiée à son défunt organiste Danny Federici (The Last carnival), bouleversante, et l’autre composée pour le film de Darren Aronovsky avec Mickey Rourke, The Wrestler.

SK ?

TAFT, au moins aussi fan que toi

je déteste vraiment son écriture.

tu dis ça parce qu'il écorche le BOSS

non, j'ai été voir la suite sur son blog. c'est pire.
le passage où il s'esbaudit sur la rencontre entre les jeunes de la MJC du 93 et le musée du Louvre est à se taper la tête contre les murs.

vraiment, comment peux tu accorder une once de crédit à ce parangon du journalisme bobo, gentil mais complètement vaniteux et superficiel.

baraque au bain Marie a écrit:

denis quillard a écrit:

baraque au bain Marie a écrit:

denis quillard a écrit:

baraque au bain Marie a écrit:

denis quillard a écrit:

Citation :

Jadis, Bruce Springsteen mettait un temps fou à achever ses disques. Des mois et des mois pour mener à bien Born to run, d’interminables semaines d’attente pour entendre enfin couler The River. Mais ces longs et difficiles labeurs accouchaient de chefs-d’oeuvre. Aujourd’hui, sa Bossitude enchaine les albums presqu’aussi vite que Chabrol les films ou Max Gallo les bouquins, mais le résultat est nettement moins fort. Working on a dream ressemble à Magic : une dose de pur Bruce pour quatre mesures de flotte FM. Du Boss Canada Dry : ça y ressemble, ça en a le goût, l’odeur, mais ça n’est pas de l’alcool. C’est du Springsteen générique comme ses imitateurs pourraient en pondre au kilomètre et ça s’écoute avec indifférence. A deux ou trois exceptions. L’ouverture, Outlaw Pete, majestueux western sonore de 8 minutes. Et les deux ballades de clôture : l’une dédiée à son défunt organiste Danny Federici (The Last carnival), bouleversante, et l’autre composée pour le film de Darren Aronovsky avec Mickey Rourke, The Wrestler.

SK ?

TAFT, au moins aussi fan que toi

je déteste vraiment son écriture.

tu dis ça parce qu'il écorche le BOSS

non, j'ai été voir la suite sur son blog. c'est pire.
le passage où il s'esbaudit sur la rencontre entre les jeunes de la MJC du 93 et le musée du Louvre est à se taper la tête contre les murs.

vraiment, comment peux tu accorder une once de crédit à ce parangon du journalisme bobo, gentil mais complètement vaniteux et superficiel.

tu confonds le fond et la forme. Evidemment que c'est un bobo bien pensant et qu'il aligne des poncifs à longueur de blog. Je voulais juste te signaler qu'il évoquait le dernier Springsteen

denis quillard a écrit:

baraque au bain Marie a écrit:

denis quillard a écrit:

baraque au bain Marie a écrit:

denis quillard a écrit:

baraque au bain Marie a écrit:

denis quillard a écrit:

Citation :

Jadis, Bruce Springsteen mettait un temps fou à achever ses disques. Des mois et des mois pour mener à bien Born to run, d’interminables semaines d’attente pour entendre enfin couler The River. Mais ces longs et difficiles labeurs accouchaient de chefs-d’oeuvre. Aujourd’hui, sa Bossitude enchaine les albums presqu’aussi vite que Chabrol les films ou Max Gallo les bouquins, mais le résultat est nettement moins fort. Working on a dream ressemble à Magic : une dose de pur Bruce pour quatre mesures de flotte FM. Du Boss Canada Dry : ça y ressemble, ça en a le goût, l’odeur, mais ça n’est pas de l’alcool. C’est du Springsteen générique comme ses imitateurs pourraient en pondre au kilomètre et ça s’écoute avec indifférence. A deux ou trois exceptions. L’ouverture, Outlaw Pete, majestueux western sonore de 8 minutes. Et les deux ballades de clôture : l’une dédiée à son défunt organiste Danny Federici (The Last carnival), bouleversante, et l’autre composée pour le film de Darren Aronovsky avec Mickey Rourke, The Wrestler.

SK ?

TAFT, au moins aussi fan que toi

je déteste vraiment son écriture.

tu dis ça parce qu'il écorche le BOSS

non, j'ai été voir la suite sur son blog. c'est pire.
le passage où il s'esbaudit sur la rencontre entre les jeunes de la MJC du 93 et le musée du Louvre est à se taper la tête contre les murs.

vraiment, comment peux tu accorder une once de crédit à ce parangon du journalisme bobo, gentil mais complètement vaniteux et superficiel.

tu confonds le fond et la forme. Evidemment que c'est un bobo bien pensant et qu'il aligne des poncifs à longueur de blog. Je voulais juste te signaler qu'il évoquait le dernier Springsteen

la forme est à l'image du fond, des petites formules à la con...

baraque au bain Marie a écrit:

denis quillard a écrit:

baraque au bain Marie a écrit:

denis quillard a écrit:

baraque au bain Marie a écrit:

denis quillard a écrit:

baraque au bain Marie a écrit:

denis quillard a écrit:

Citation :

Jadis, Bruce Springsteen mettait un temps fou à achever ses disques. Des mois et des mois pour mener à bien Born to run, d’interminables semaines d’attente pour entendre enfin couler The River. Mais ces longs et difficiles labeurs accouchaient de chefs-d’oeuvre. Aujourd’hui, sa Bossitude enchaine les albums presqu’aussi vite que Chabrol les films ou Max Gallo les bouquins, mais le résultat est nettement moins fort. Working on a dream ressemble à Magic : une dose de pur Bruce pour quatre mesures de flotte FM. Du Boss Canada Dry : ça y ressemble, ça en a le goût, l’odeur, mais ça n’est pas de l’alcool. C’est du Springsteen générique comme ses imitateurs pourraient en pondre au kilomètre et ça s’écoute avec indifférence. A deux ou trois exceptions. L’ouverture, Outlaw Pete, majestueux western sonore de 8 minutes. Et les deux ballades de clôture : l’une dédiée à son défunt organiste Danny Federici (The Last carnival), bouleversante, et l’autre composée pour le film de Darren Aronovsky avec Mickey Rourke, The Wrestler.

SK ?

TAFT, au moins aussi fan que toi

je déteste vraiment son écriture.

tu dis ça parce qu'il écorche le BOSS

non, j'ai été voir la suite sur son blog. c'est pire.
le passage où il s'esbaudit sur la rencontre entre les jeunes de la MJC du 93 et le musée du Louvre est à se taper la tête contre les murs.

vraiment, comment peux tu accorder une once de crédit à ce parangon du journalisme bobo, gentil mais complètement vaniteux et superficiel.

tu confonds le fond et la forme. Evidemment que c'est un bobo bien pensant et qu'il aligne des poncifs à longueur de blog. Je voulais juste te signaler qu'il évoquait le dernier Springsteen

la forme est à l'image du fond, des petites formules à la con...

c'est un journaleux quoi

baraque au bain Marie a écrit:

denis quillard a écrit:

baraque au bain Marie a écrit:

denis quillard a écrit:

Citation :

Jadis, Bruce Springsteen mettait un temps fou à achever ses disques. Des mois et des mois pour mener à bien Born to run, d’interminables semaines d’attente pour entendre enfin couler The River. Mais ces longs et difficiles labeurs accouchaient de chefs-d’oeuvre. Aujourd’hui, sa Bossitude enchaine les albums presqu’aussi vite que Chabrol les films ou Max Gallo les bouquins, mais le résultat est nettement moins fort. Working on a dream ressemble à Magic : une dose de pur Bruce pour quatre mesures de flotte FM. Du Boss Canada Dry : ça y ressemble, ça en a le goût, l’odeur, mais ça n’est pas de l’alcool. C’est du Springsteen générique comme ses imitateurs pourraient en pondre au kilomètre et ça s’écoute avec indifférence. A deux ou trois exceptions. L’ouverture, Outlaw Pete, majestueux western sonore de 8 minutes. Et les deux ballades de clôture : l’une dédiée à son défunt organiste Danny Federici (The Last carnival), bouleversante, et l’autre composée pour le film de Darren Aronovsky avec Mickey Rourke, The Wrestler.

SK ?

TAFT, au moins aussi fan que toi

je déteste vraiment son écriture.

La ponctuation est bien

Je l'avais remarquée, en effet : elle est très travaillée je trouve.