top 10 films SF

Baraque au bon mot a écrit:

maxine a écrit:

Baraque au bon mot a écrit:

koopa chups a écrit:

bro'fetimbi a écrit:

j'avais bien aimé Existenz sa touffe.

tu m'étonnes.

correct mais le meilleur film de Cronemberg c'est Spider.

faux, le meilleur cro', c'est dead ringer

dont acte (pas vu)

pas pris

Baraque au bon mot a écrit:

maxine a écrit:

Baraque au bon mot a écrit:

koopa chups a écrit:

bro'fetimbi a écrit:

j'avais bien aimé Existenz sa touffe.

tu m'étonnes.

correct mais le meilleur film de Cronemberg c'est Spider.

faux, le meilleur cro', c'est dead ringer

dont acte (pas vu)

peut-être le film le plus malsain, le plus froid et le plus pervers que j'ai jamais vu. quant à spider, j'ai pas pu terminer la séance sans m'endormir.

et la mouche ?? personne n'a pensé à la mouche ...

sinon de cronenberg, mes préférés restent : scanners, faux semblants (délicieusement malsain), le festin nu, videodrome bien sûr, dead zone & a history of violence

bubulle a écrit:

et la mouche ?? personne n'a pensé à la mouche ...

sinon de cronenberg, mes préférés restent : scanners, faux semblants (délicieusement malsain), le festin nu, videodrome bien sûr, dead zone & a history of violence

je l'ai vu il y a peu. j'ai un petit faible pour maria bello.

sinon, Festin Nu, c'est une adaptation du roman de Burroughs ? ça doit pas être triste...

bubulle a écrit:

et la mouche ?? personne n'a pensé à la mouche ...

sinon de cronenberg, mes préférés restent : scanners, faux semblants (délicieusement malsain), le festin nu, videodrome bien sûr, dead zone & a history of violence

son "crash" (pas l'autre vomissure oscarisée) est aussi à considérer parmi ses bons trucs.

bro'fetimbi a écrit:

bubulle a écrit:

et la mouche ?? personne n'a pensé à la mouche ...

sinon de cronenberg, mes préférés restent : scanners, faux semblants (délicieusement malsain), le festin nu, videodrome bien sûr, dead zone & a history of violence

je l'ai vu il y a peu. j'ai un petit faible pour maria bello.

sinon, Festin Nu, c'est une adaptation du roman de Burroughs ? ça doit pas être triste...

tafb, grosse hallu d'une heure quarante & des poussières que ce film ...

bro'fetimbi a écrit:

sinon, Festin Nu, c'est une adaptation du roman de Burroughs ? ça doit pas être triste...

pas triste ? chose certaine, c'est pas la joie

maxine a écrit:

bro'fetimbi a écrit:

sinon, Festin Nu, c'est une adaptation du roman de Burroughs ? ça doit pas être triste...

pas triste ? chose certaine, c'est pas la joie

j'entends par là que ça doit être animé. attendons le retour de skiprout, il nous donnera la définition exacte et précise de cette expression.

maxine a écrit:

bubulle a écrit:

et la mouche ?? personne n'a pensé à la mouche ...

sinon de cronenberg, mes préférés restent : scanners, faux semblants (délicieusement malsain), le festin nu, videodrome bien sûr, dead zone & a history of violence

son "crash" (pas l'autre vomissure oscarisée) est aussi à considérer parmi ses bons trucsé

j'ai eu un peu plus de mal avec crash et curieusement avec eXistenz aussi (bien trop répugnant pour moi mais bon au demeurant)

bro'fetimbi a écrit:

maxine a écrit:

bro'fetimbi a écrit:

sinon, Festin Nu, c'est une adaptation du roman de Burroughs ? ça doit pas être triste...

pas triste ? chose certaine, c'est pas la joie

j'entends par là que ça doit être animé. attendons le retour de skiprout, il nous donnera la définition exacte et précise de cette expression.

le hors sujet mérite la peine capitale, c'est bien connu !

koopa chups a écrit:

Baraque au bon mot a écrit:

koopa chups a écrit:

bro'fetimbi a écrit:

j'avais bien aimé Existenz sa touffe.

tu m'étonnes.

correct mais le meilleur film de Cronemberg c'est Spider.
je me sucerais bien une chupa chups ceci dit

Cette année ce sont les 50 ans de chupa chups en plus :

"Les célèbres sucettes Chupa Chups célèbrent leurs 50 ans cette année. A cette occasion, la marque sort des rééditions de ses parfums d'origine, emballés dans des papillotes vintage, à savoir cola, orange, citron, vanille, fraise, chocolat vanille et fraise lait. Ils sont vendus dans des paquets de 50 sucettes.

Les sucettes sont nées en 1958, lorsqu'un confiseur espagnol imagine un bonbon que les enfants n'auront pas à toucher avec leurs doigts, mais qu'ils pourront manger proprement, à l'aide d'un bâtonnet.

Si à l'origine, ces sucettes sont baptisées Gol, en référence au ballon de football, elles prennent vite le nom de Chups, dérivé du verbe "chupar" qui signifie "sucer" en espagnol. Quant au nom définitif de la marque, Chupa Chups, il vient des enfants qui reprenaient le slogan publicitaire "chupa Chups" pour réclamer leurs bonbons chez les marchands. En 1969, c'est l'artiste espagnol Salvador Dali qui se charge de créer le logo de Chupa Chups, une simple marguerite, qui entoure le nom de la marque.

Les sucettes Chupa Chups sont arrivées en France en 1964 et aux Etats-Unis en 1967. Aujourd'hui, la marque est vendue dans plus de 160 pays, et pas moins de 127 parfums ont été créés au fil du temps. Le succès des Chupa Chups reste également d'actualité : 54 millions d'unités ont été vendues en 2007 en France."

tu oublies la sucette à la viande chère à tonton dubarne :(

bubulle a écrit:

bro'fetimbi a écrit:

bubulle a écrit:

et la mouche ?? personne n'a pensé à la mouche ...

sinon de cronenberg, mes préférés restent : scanners, faux semblants (délicieusement malsain), le festin nu, videodrome bien sûr, dead zone & a history of violence

je l'ai vu il y a peu. j'ai un petit faible pour maria bello.

sinon, Festin Nu, c'est une adaptation du roman de Burroughs ? ça doit pas être triste...

tafb, grosse hallu d'une heure quarante & des poussières que ce film ...

ça doit mieux passer que le bouquin...hyper difficile à lire je trouve. trop décousu. mais paradoxalement, une fois terminé je me suis dit que c'était bien bon sa touffe.

pour dead ringer

attention, si vous avez l'intention de le voir... on y dévoile tout...
http://www.uneporte.net/DEAD-RINGERS-1988-,-DVD-15th-Anniversary-Special-Edition-de-CRITERION,-reedite-par-TVA-Films_a680.html

bubulle a écrit:

maxine a écrit:

bubulle a écrit:

et la mouche ?? personne n'a pensé à la mouche ...

sinon de cronenberg, mes préférés restent : scanners, faux semblants (délicieusement malsain), le festin nu, videodrome bien sûr, dead zone & a history of violence

son "crash" (pas l'autre vomissure oscarisée) est aussi à considérer parmi ses bons trucsé

j'ai eu un peu plus de mal avec crash et curieusement avec eXistenz aussi (bien trop répugnant pour moi mais bon au demeurant)

très déçu par Crash également ... le reste, par contre, rien à jeter, même si j'espère que son virage "classique" n'est qu'une parenthèse

maxine a écrit:

bubulle a écrit:

et la mouche ?? personne n'a pensé à la mouche ...

sinon de cronenberg, mes préférés restent : scanners, faux semblants (délicieusement malsain), le festin nu, videodrome bien sûr, dead zone & a history of violence

son "crash" (pas l'autre vomissure oscarisée) est aussi à considérer parmi ses bons trucs.

Le bouquin de Ballard est pas mal itou.

maxine a écrit:

Coverdale jr a écrit:

Malgré d'indéniables qualités plastiques, Metropolis reste un poil longuet, quasi CCC...

vrai de vrai

Coverdale jr a écrit:

Sinon mon top 10 :
-Planète interdite

kèsse ?

Un classique de la sf à papa

Citation :

FORBIDDEN PLANET (1956)

de Fred MacLeod Wilcox (mais c'est pas important)

En 2200 et des poussières, le croiseur spatial des planètes unies C57D est envoyé sur la planète Altair IV afin de rechercher les éventuels survivants d’une précédente expédition qui n’a plus donné signe de vie depuis 20 ans. Arrivés sur place, le commandant Adams et son équipage ne retrouveront que le Docteur Morbius et sa fille Altaïra, pas particulièrement ravis de cette intrusion. Parce que Altaïr IV cache dans ses entrailles un terrible secret qui risque de mener toute l’expédition à la catastrophe.


L'arrivée du C57D sur Altaïr



Ce pitch, comparable à celui de pas mal de séries B de SF de l’époque ne doit pas faire oublier à quel point, avant 2001, avant Star Wars, avant Blade Runner, « Forbidden Planet » est un film ambitieux.

Ambitieux par son scénario d’abord : le scénario de Cyril Hume (véritable maître d'oeuvre du film... bien plus en tout cas que le très anonyme Fred MacLeod Wilcox plus habitué aux aventures de Lassie) est en effet un décalque avoué de « la tempête » de Shakespeare, dont le sorcier Prospéro devient ici le savant Morbius, et le démon Caliban le fameux robot Robby.

Ambitieux par les thèmes abordés : l’exploration spatiale, bien sur, mais également, au détour d’un twist que je m’en voudrais de spoiler à ceux qui n’ont pas encore vu le film, l’exploration des recoins les plus sombres de la nature humaine.

Ambitieux enfin par son budget : loin des sommes riquiqui allouées jusqu’alors aux films de SF, « Forbidden Planet » est un film coûteux. Coûteux parce qu’il se propose de montrer tout ce que les films de SF ne pouvaient pas se payer à l’époque : un monde extra-terrestre réaliste, des décors cyclopéens, des scènes d’action dantesques… les producteurs n’hésiteront pas à débaucher des techniciens des studios Disney pour certaines scènes.

Et il faut bien avouer que sur le plan visuel, « Forbidden Planet » est un film qui en met encore aujourd’hui plein la vue. Attendez de découvrir les entrailles mécanisées de la planète Altaïr, ou de voir la première attaque du monstre de l’Id… on souhaite à quelques films récents de vieillir moitié aussi bien.


Réduction à 77% de la taille originale [ 663 x 335 ]

oui, ce plan date de 1956



Réduction à 75% de la taille originale [ 677 x 336 ]

EDIT : et je rajoute cette photo pour me faire pardonner ma foirade avec la photo précédente


Mais si « Forbidden Planet » est encore aujourd’hui l’objet d’un véritable culte, c’est avant tout parce que c’est un film des années 50. La décennie des Studebaker et des bouteilles de Coke designées par Raymond Loewi. Tout dans ce film témoigne de l’incroyable créativité esthétique (et aussi de la naïveté) de cette époque : les vaisseaux spatiaux sont d’authentiques ovni, les robots ressemblent à des juke-box Wurlitzer et les filles se baladent en mini-jupes alors que les hommes sont condamnés à porter le sempiternel uniforme spatial… 20 avant R2D2 et C3PO, Robby, le fameux robot multi-usages du docteur Morbius, deviendra la véritable star du film, et engendrera un culte encore vivace aujourd’hui (à noter que la production ne révèlera jamais les secrets de la fabrication du personnage, officiellement, Robby joue son propre rôle dans le film).

Réduction à 85% de la taille originale [ 600 x 303 ]

a droite, le célèbre Robby avec un autre acteur du film

Cerise sur le gâteau, passé l’exposition et la découverte de la planète Altaïr, le film se permet quelques jolis moments de frousse ; difficile d’oublier les évolutions du très lovecraftien monstre de l’Id, qu’il soit invisible et n’apparaisse que sous forme de traces dans le sol, où lorsqu’il surgit enfin à la lueur des lasers dans la mémorable scène d’attaque. Le score du film, uniquement composé à partir de bruitages électroniques par Louis et Bébé Baron, accentue encore le dépaysement.

Réduction à 80% de la taille originale [ 640 x 480 ]

hé oui, ce monstre est issu des studios Disney...


Au niveau du casting, outre le légendaire Leslie Nielsen, le vénérable Walter Pidgeon et la barzoomesque Ann Francis, le cinéphile observateur pourra reconnaître dans un coin du cadre le futur Oscar Goldman (Richard Anderson) et le futur shérif Roscoe P. Coltrane (James Best).

Le film sera bien évidemment la première source d’inspiration de Gene Roddenberry, à tel point que l’heure d’arrivée du C57D sur Altaïr (17h01) deviendra le numéro de série de l’Enterprise (si, si, regardez les chiffres sur le devant du vaisseau, ou demandez à Lord…).

Plusieurs éléments du film (morceaux de décors, stock shots, maquettes...) seront réutilisés dans des productions ultérieures, d’abord à des fins économiques, puis peu à peu à titre d’hommage. Robby lui-même fera des apparitions au détour de certains films plus ou moins fameux (regardez donc qui passe un coup de fil dans la cabine derrière le père du héros de Gremlins). Steve Forrest, initialement prévu pour le rôle du commandant Adams mais remplacé au dernier moment par Leslie Nielsen, réussira quand même à enfiler une des fameuses combinaisons spatiales du film dans le parodique « Amazon Women on the Moon », de Landis, Dante et plein d’autres.

bro'fetimbi a écrit:

ça doit mieux passer que le bouquin...hyper difficile à lire je trouve. trop décousu. mais paradoxalement, une fois terminé je me suis dit que c'était bien bon sa touffe.

J'étais assez déçu par ce film. Il y a quelques scènes marquantes. C'est plus désordonné que baroque.

zufman a écrit:

bro'fetimbi a écrit:

ça doit mieux passer que le bouquin...hyper difficile à lire je trouve. trop décousu. mais paradoxalement, une fois terminé je me suis dit que c'était bien bon sa touffe.

J'étais assez déçu par ce film. Il y a quelques scènes marquantes. C'est plus désordonné que baroque.

si c'est le même ouaille que dans le livre, forcément. je vois pas bien comment adapter ce bouquin à l'écran, mais si David C. l'a fait...

bro'fetimbi a écrit:

si c'est le même ouaille que dans le livre, forcément. je vois pas bien comment adapter ce bouquin à l'écran, mais si David C. l'a fait...

C'est plus une inspiration qu'une adaptation autant (soit, peu) que je me souvienne du livre et du film.

zufman a écrit:

bro'fetimbi a écrit:

si c'est le même ouaille que dans le livre, forcément. je vois pas bien comment adapter ce bouquin à l'écran, mais si David C. l'a fait...

C'est plus une inspiration qu'une adaptation.

arrêtez de tout raconter bordel ! y en a qui ne l'ont pas encore vu putain

Baraque au bon mot a écrit:

arrêtez de tout raconter bordel ! y en a qui ne l'ont pas encore vu putain

A la fin, Robocop se sacrifie pour sauver le monde.

Baraque au bon mot a écrit:

zufman a écrit:

bro'fetimbi a écrit:

si c'est le même ouaille que dans le livre, forcément. je vois pas bien comment adapter ce bouquin à l'écran, mais si David C. l'a fait...

C'est plus une inspiration qu'une adaptation.

arrêtez de tout raconter bordel ! y en a qui ne l'ont pas encore vu putain

à la fin il meurt.

Baraque au bon mot a écrit:

arrêtez de tout raconter bordel ! y en a qui ne l'ont pas encore vu putain

y'avait qu'à le voir avant... la chose est sorti en 91, il y a donc prescription.

jarabe de palo a écrit:

amusant ce topic, j'ai maté ceci aprés la nouvelle star :



Voilà vraiment ce que j'appelle de la science fiction ! C'est vrai que parfois ça date un peu, les gros micro-ordinateurs avec les bandes qui tournent, mais pour un film de 1966 ça reste assez percutant : la traversée de la zone du coeur aprés l'arrêt cardiaque, le ciseau qui tombe alors que les savants retrécis sont dans l'oreille, les globules blancs qui attaquent raquel welch et avalent donald pleasance (très bon lui dans son rôle... j'adore son visage perlé de sueur lors de l'immersion du sous-marin miniature dans la seringue, la tension qu'il fait passer dans sa volonté de sortir de l'engin " I can't breathe !" est palpable sa chatte... Finalement Richard Fleischer n'en fait pas trop dans les effets, d'ailleurs le film débute par au moins dix minutes sans dialogue (je sais pas s'il y a des précédents) et puis la mission prend corps, le processus de miniaturisation se dessine devant nos yeux avant l'injection qui précéde le voyage dans le corps humain jusqu'au final des larmes qui permet l'évacuation... Perso je me suis laissé emporter.

le remake est mieux

Raoul a écrit:

le remake est mieux

l'Aventure intérieure ?