les vingt meilleurs polars français DE TOUS LES TEMPS

Un top 10 pour moi

1280 âmes / Pouy
La position du tireur couché / Manchette
Garden of love / Marcus Malte
Total Khéops / Izzo
La mort n'oublie personne / Daeninckx
Citoyens clandestins / D.O.A.
La sirène rouge / Dantec
On y va tout droit / Dessaint
Le barre-y-va / Leblanc
Arrêtez le carrelage / Raynal

extra-ball francophone : L'horloger d'Everton / Simenon

Rupert Withglee a écrit:

skip mccoy a écrit:

ALLEZ!

1. Quai des orfèvres (Clouzot)
2. Le samouraï (Melville)
3. Touchez pas au grisbi (Becker)
4. Le doulos (Melville)
5. Casque d'or (Becker)
6. Le trou (Becker)
7. Le convoyeur (Boukhrief)
8. Police (Pialat)
9. Série noire (Corneau)
10. Tirez sur le pianiste! (Truffaut)
11. Fille du diable (Decoin)
12. Les grandes gueules (Enrico)
13. Rafles sur la ville (Chenal)
14. Pépé le moko (Duvivier)
15. Entre onze heures et minuit (Decoin)
16. Le boucher (Chabrol)
17. La tête d'un homme (Duvivier)
18. Poulet au vinaigre (Chabrol)
19. Poussière d'ange (Niermans)
20. Tendre poulet (de Broca)

Pas mal ta liste (en gras ceux que j'ai vus : pas bézef en fait...)

Sur les Melville je mettrai Le deuxième souffle plutôt que Le samouraï - voire Un flic que j'adore (désolé, traite-moi de fétichiste de merde si tu veux, mais c'est vrai... "On y va, et je vous rappelle après")

elle déchire cette intro...
tu me donnes envie de le revoir tiens même si je doute que la longueur ça tienne aussi bien la route.
Le deuxième souffle, j'ai toujours eu un problème MORAL avec ce film, c'est clairement une apologie du code d'honneur "des gangsters à l'ancienne", Gu le meurtrier de sang-froid joué par Ventura est clairement présenté comme un modèle de probité, et ça je peux pas. José Giovanni n'y est sans doute pas pour rien.

skip mccoy a écrit:

ALLEZ!

1. Quai des orfèvres (Clouzot)
2. Le samouraï (Melville)
3. Touchez pas au grisbi (Becker)
4. Le doulos (Melville)
5. Casque d'or (Becker)
6. Le trou (Becker)
7. Le convoyeur (Boukhrief)
8. Police (Pialat)
9. Série noire (Corneau)
10. Tirez sur le pianiste! (Truffaut)
11. Fille du diable (Decoin)
12. Les grandes gueules (Enrico)
13. Rafles sur la ville (Chenal)
14. Pépé le moko (Duvivier)
15. Entre onze heures et minuit (Decoin)
16. Le boucher (Chabrol)
17. La tête d'un homme (Duvivier)
18. Poulet au vinaigre (Chabrol)
19. Poussière d'ange (Niermans)
20. Tendre poulet (de Broca)

Merde, c'est du cinéma.

Raoulle a écrit:

skip mccoy a écrit:

ALLEZ!

1. Quai des orfèvres (Clouzot)
2. Le samouraï (Melville)
3. Touchez pas au grisbi (Becker)
4. Le doulos (Melville)
5. Casque d'or (Becker)
6. Le trou (Becker)
7. Le convoyeur (Boukhrief)
8. Police (Pialat)
9. Série noire (Corneau)
10. Tirez sur le pianiste! (Truffaut)
11. Fille du diable (Decoin)
12. Les grandes gueules (Enrico)
13. Rafles sur la ville (Chenal)
14. Pépé le moko (Duvivier)
15. Entre onze heures et minuit (Decoin)
16. Le boucher (Chabrol)
17. La tête d'un homme (Duvivier)
18. Poulet au vinaigre (Chabrol)
19. Poussière d'ange (Niermans)
20. Tendre poulet (de Broca)

Merde, c'est du cinéma.

Bon, en dehors de l’Enrico et du Boukhrief, ta liste est très bien. J’aime beaucoup tes deux derniers. Ton Nº 1 s’impose, c’est le chef-d'œuvre de Bernard Blier. Ah ! tout de même, une chose : j’ai des doutes sur le Samouraï du père Meville, je m’endors systématiquement au milieu et lorsque je me réveille j’ai toujours l’impression de me noyer dans le formol.

denis sigougou a écrit:

cricrib a écrit:

et moi qui pensait que vous causiez de bouquins.. Bon, je vous laisse à votre pignole, so 1.0..

des polars français en bouquin ????

là pour le coup ça me semble une blague

T’es vraiment une petite conasse. Tu devrais lire Siniac.

Raoulle a écrit:

Raoulle a écrit:

skip mccoy a écrit:

ALLEZ!

1. Quai des orfèvres (Clouzot)
2. Le samouraï (Melville)
3. Touchez pas au grisbi (Becker)
4. Le doulos (Melville)
5. Casque d'or (Becker)
6. Le trou (Becker)
7. Le convoyeur (Boukhrief)
8. Police (Pialat)
9. Série noire (Corneau)
10. Tirez sur le pianiste! (Truffaut)
11. Fille du diable (Decoin)
12. Les grandes gueules (Enrico)
13. Rafles sur la ville (Chenal)
14. Pépé le moko (Duvivier)
15. Entre onze heures et minuit (Decoin)
16. Le boucher (Chabrol)
17. La tête d'un homme (Duvivier)
18. Poulet au vinaigre (Chabrol)
19. Poussière d'ange (Niermans)
20. Tendre poulet (de Broca)

Merde, c'est du cinéma.

Ah ! tout de même, une chose : j’ai des doutes sur le Samouraï du père Meville, je m’endors systématiquement au milieu et lorsque je me réveille j’ai toujours l’impression de me noyer dans le formol.

Voilà. C'est pour ça que je préfère Un flic.

skip mccoy a écrit:

Rupert Withglee a écrit:

skip mccoy a écrit:

ALLEZ!

1. Quai des orfèvres (Clouzot)
2. Le samouraï (Melville)
3. Touchez pas au grisbi (Becker)
4. Le doulos (Melville)
5. Casque d'or (Becker)
6. Le trou (Becker)
7. Le convoyeur (Boukhrief)
8. Police (Pialat)
9. Série noire (Corneau)
10. Tirez sur le pianiste! (Truffaut)
11. Fille du diable (Decoin)
12. Les grandes gueules (Enrico)
13. Rafles sur la ville (Chenal)
14. Pépé le moko (Duvivier)
15. Entre onze heures et minuit (Decoin)
16. Le boucher (Chabrol)
17. La tête d'un homme (Duvivier)
18. Poulet au vinaigre (Chabrol)
19. Poussière d'ange (Niermans)
20. Tendre poulet (de Broca)

Pas mal ta liste (en gras ceux que j'ai vus : pas bézef en fait...)

Sur les Melville je mettrai Le deuxième souffle plutôt que Le samouraï - voire Un flic que j'adore (désolé, traite-moi de fétichiste de merde si tu veux, mais c'est vrai... "On y va, et je vous rappelle après")

elle déchire cette intro...
tu me donnes envie de le revoir tiens même si je doute que la longueur ça tienne aussi bien la route.
Le deuxième souffle, j'ai toujours eu un problème MORAL avec ce film, c'est clairement une apologie du code d'honneur "des gangsters à l'ancienne", Gu le meurtrier de sang-froid joué par Ventura est clairement présenté comme un modèle de probité, et ça je peux pas. José Giovanni n'y est sans doute pas pour rien.

la majorité des films que tu cites, s'ils ne font pas clairement l'apologie du code d'honneur de la truanderie, le mettent en valeur... De toute façon c'est rare de voir un bon polar totalement manichéen, fondé uniquement sur le rapport "bons flics/mauvais garçons" ; si les gangsters ne sont que des brutes épaisses sans aucune déontologie, ça ne marche pas, ou ça devient un slasher.

Rupert Withglee a écrit:

skip mccoy a écrit:

Rupert Withglee a écrit:

skip mccoy a écrit:

ALLEZ!

1. Quai des orfèvres (Clouzot)
2. Le samouraï (Melville)
3. Touchez pas au grisbi (Becker)
4. Le doulos (Melville)
5. Casque d'or (Becker)
6. Le trou (Becker)
7. Le convoyeur (Boukhrief)
8. Police (Pialat)
9. Série noire (Corneau)
10. Tirez sur le pianiste! (Truffaut)
11. Fille du diable (Decoin)
12. Les grandes gueules (Enrico)
13. Rafles sur la ville (Chenal)
14. Pépé le moko (Duvivier)
15. Entre onze heures et minuit (Decoin)
16. Le boucher (Chabrol)
17. La tête d'un homme (Duvivier)
18. Poulet au vinaigre (Chabrol)
19. Poussière d'ange (Niermans)
20. Tendre poulet (de Broca)

Pas mal ta liste (en gras ceux que j'ai vus : pas bézef en fait...)

Sur les Melville je mettrai Le deuxième souffle plutôt que Le samouraï - voire Un flic que j'adore (désolé, traite-moi de fétichiste de merde si tu veux, mais c'est vrai... "On y va, et je vous rappelle après")

elle déchire cette intro...
tu me donnes envie de le revoir tiens même si je doute que la longueur ça tienne aussi bien la route.
Le deuxième souffle, j'ai toujours eu un problème MORAL avec ce film, c'est clairement une apologie du code d'honneur "des gangsters à l'ancienne", Gu le meurtrier de sang-froid joué par Ventura est clairement présenté comme un modèle de probité, et ça je peux pas. José Giovanni n'y est sans doute pas pour rien.

la majorité des films que tu cites, s'ils ne font pas clairement l'apologie du code d'honneur de la truanderie, le mettent en valeur... De toute façon c'est rare de voir un bon polar totalement manichéen, fondé uniquement sur le rapport "bons flics/mauvais garçons" ; si les gangsters ne sont que des brutes épaisses sans aucune déontologie, ça ne marche pas, ou ça devient un slasher.

justement, il y a un pas non négligeable entre célébrer un personnage fut-il du mauvais côté de la barrière et célébrer la morale de gangsters. Ce pas est franchi dans Le deuxième souffle mais pas dans les autres films que je cite.

skip mccoy a écrit:

Rupert Withglee a écrit:

skip mccoy a écrit:

Rupert Withglee a écrit:

skip mccoy a écrit:

ALLEZ!

1. Quai des orfèvres (Clouzot)
2. Le samouraï (Melville)
3. Touchez pas au grisbi (Becker)
4. Le doulos (Melville)
5. Casque d'or (Becker)
6. Le trou (Becker)
7. Le convoyeur (Boukhrief)
8. Police (Pialat)
9. Série noire (Corneau)
10. Tirez sur le pianiste! (Truffaut)
11. Fille du diable (Decoin)
12. Les grandes gueules (Enrico)
13. Rafles sur la ville (Chenal)
14. Pépé le moko (Duvivier)
15. Entre onze heures et minuit (Decoin)
16. Le boucher (Chabrol)
17. La tête d'un homme (Duvivier)
18. Poulet au vinaigre (Chabrol)
19. Poussière d'ange (Niermans)
20. Tendre poulet (de Broca)

Pas mal ta liste (en gras ceux que j'ai vus : pas bézef en fait...)

Sur les Melville je mettrai Le deuxième souffle plutôt que Le samouraï - voire Un flic que j'adore (désolé, traite-moi de fétichiste de merde si tu veux, mais c'est vrai... "On y va, et je vous rappelle après")

elle déchire cette intro...
tu me donnes envie de le revoir tiens même si je doute que la longueur ça tienne aussi bien la route.
Le deuxième souffle, j'ai toujours eu un problème MORAL avec ce film, c'est clairement une apologie du code d'honneur "des gangsters à l'ancienne", Gu le meurtrier de sang-froid joué par Ventura est clairement présenté comme un modèle de probité, et ça je peux pas. José Giovanni n'y est sans doute pas pour rien.

la majorité des films que tu cites, s'ils ne font pas clairement l'apologie du code d'honneur de la truanderie, le mettent en valeur... De toute façon c'est rare de voir un bon polar totalement manichéen, fondé uniquement sur le rapport "bons flics/mauvais garçons" ; si les gangsters ne sont que des brutes épaisses sans aucune déontologie, ça ne marche pas, ou ça devient un slasher.

justement, il y a un pas non négligeable entre célébrer un personnage fut-il du mauvais côté de la barrière et célébrer la morale de gangsters. Ce pas est franchi dans Le deuxième souffle mais pas dans les autres films que je cite.

mouais...
En tous cas j'adore le personnage du commissaire interprété par Meurisse. Il est beaucoup mieux que Bourvil dans le Cercle rouge par exemple.

Sinon tu as vu l'Aîné des Ferchaux ?

Rupert Withglee a écrit:

skip mccoy a écrit:

Rupert Withglee a écrit:

skip mccoy a écrit:

Rupert Withglee a écrit:

skip mccoy a écrit:

ALLEZ!

1. Quai des orfèvres (Clouzot)
2. Le samouraï (Melville)
3. Touchez pas au grisbi (Becker)
4. Le doulos (Melville)
5. Casque d'or (Becker)
6. Le trou (Becker)
7. Le convoyeur (Boukhrief)
8. Police (Pialat)
9. Série noire (Corneau)
10. Tirez sur le pianiste! (Truffaut)
11. Fille du diable (Decoin)
12. Les grandes gueules (Enrico)
13. Rafles sur la ville (Chenal)
14. Pépé le moko (Duvivier)
15. Entre onze heures et minuit (Decoin)
16. Le boucher (Chabrol)
17. La tête d'un homme (Duvivier)
18. Poulet au vinaigre (Chabrol)
19. Poussière d'ange (Niermans)
20. Tendre poulet (de Broca)

Pas mal ta liste (en gras ceux que j'ai vus : pas bézef en fait...)

Sur les Melville je mettrai Le deuxième souffle plutôt que Le samouraï - voire Un flic que j'adore (désolé, traite-moi de fétichiste de merde si tu veux, mais c'est vrai... "On y va, et je vous rappelle après")

elle déchire cette intro...
tu me donnes envie de le revoir tiens même si je doute que la longueur ça tienne aussi bien la route.
Le deuxième souffle, j'ai toujours eu un problème MORAL avec ce film, c'est clairement une apologie du code d'honneur "des gangsters à l'ancienne", Gu le meurtrier de sang-froid joué par Ventura est clairement présenté comme un modèle de probité, et ça je peux pas. José Giovanni n'y est sans doute pas pour rien.

la majorité des films que tu cites, s'ils ne font pas clairement l'apologie du code d'honneur de la truanderie, le mettent en valeur... De toute façon c'est rare de voir un bon polar totalement manichéen, fondé uniquement sur le rapport "bons flics/mauvais garçons" ; si les gangsters ne sont que des brutes épaisses sans aucune déontologie, ça ne marche pas, ou ça devient un slasher.

justement, il y a un pas non négligeable entre célébrer un personnage fut-il du mauvais côté de la barrière et célébrer la morale de gangsters. Ce pas est franchi dans Le deuxième souffle mais pas dans les autres films que je cite.

mouais...
En tous cas j'adore le personnage du commissaire interprété par Meurisse. Il est beaucoup mieux que Bourvil dans le Cercle rouge par exemple.

Sinon tu as vu l'Aîné des Ferchaux ?

oui, j'adore Meurisse de toute façon...acteur peu melvillien, acteur délicieusement franchouille mais acteur excellent.
Par contre L'aîné des Ferchaux c'est non. Là pour le coup on est en plein dans le film d'Européen fan transi de culture américaine (big up à l'hommage à Sinatra). Mais ça tient pas la route. Comme Deux hommes dans Manhattan.

skip mccoy a écrit:

Rupert Withglee a écrit:

skip mccoy a écrit:

Rupert Withglee a écrit:

skip mccoy a écrit:

Rupert Withglee a écrit:

skip mccoy a écrit:

ALLEZ!

1. Quai des orfèvres (Clouzot)
2. Le samouraï (Melville)
3. Touchez pas au grisbi (Becker)
4. Le doulos (Melville)
5. Casque d'or (Becker)
6. Le trou (Becker)
7. Le convoyeur (Boukhrief)
8. Police (Pialat)
9. Série noire (Corneau)
10. Tirez sur le pianiste! (Truffaut)
11. Fille du diable (Decoin)
12. Les grandes gueules (Enrico)
13. Rafles sur la ville (Chenal)
14. Pépé le moko (Duvivier)
15. Entre onze heures et minuit (Decoin)
16. Le boucher (Chabrol)
17. La tête d'un homme (Duvivier)
18. Poulet au vinaigre (Chabrol)
19. Poussière d'ange (Niermans)
20. Tendre poulet (de Broca)

Pas mal ta liste (en gras ceux que j'ai vus : pas bézef en fait...)

Sur les Melville je mettrai Le deuxième souffle plutôt que Le samouraï - voire Un flic que j'adore (désolé, traite-moi de fétichiste de merde si tu veux, mais c'est vrai... "On y va, et je vous rappelle après")

elle déchire cette intro...
tu me donnes envie de le revoir tiens même si je doute que la longueur ça tienne aussi bien la route.
Le deuxième souffle, j'ai toujours eu un problème MORAL avec ce film, c'est clairement une apologie du code d'honneur "des gangsters à l'ancienne", Gu le meurtrier de sang-froid joué par Ventura est clairement présenté comme un modèle de probité, et ça je peux pas. José Giovanni n'y est sans doute pas pour rien.

la majorité des films que tu cites, s'ils ne font pas clairement l'apologie du code d'honneur de la truanderie, le mettent en valeur... De toute façon c'est rare de voir un bon polar totalement manichéen, fondé uniquement sur le rapport "bons flics/mauvais garçons" ; si les gangsters ne sont que des brutes épaisses sans aucune déontologie, ça ne marche pas, ou ça devient un slasher.

justement, il y a un pas non négligeable entre célébrer un personnage fut-il du mauvais côté de la barrière et célébrer la morale de gangsters. Ce pas est franchi dans Le deuxième souffle mais pas dans les autres films que je cite.

mouais...
En tous cas j'adore le personnage du commissaire interprété par Meurisse. Il est beaucoup mieux que Bourvil dans le Cercle rouge par exemple.

Sinon tu as vu l'Aîné des Ferchaux ?

oui, j'adore Meurisse de toute façon...acteur peu melvillien, acteur délicieusement franchouille mais acteur excellent.
Par contre L'aîné des Ferchaux c'est non. Là pour le coup on est en plein dans le film d'Européen fan transi de culture américaine (big up à l'hommage à Sinatra). Mais ça tient pas la route. Comme Deux hommes dans Manhattan.

OK

Meurisse même dans le Déjeuner sur l'herbe de Renoir (qui est une sacrée croûte quand même) il est fabuleux.

skip mccoy a écrit:

acteur peu melvillien, acteur délicieusement franchouille mais acteur excellent.

Ventura aussi est complètement franchouille si on va par là. Je vois pas ce que tu veux dire avec "acteur peu melvillien". Melville est français à la fin, tu commences à nous brouter.

denis sigougou a écrit:

skip mccoy a écrit:

acteur peu melvillien, acteur délicieusement franchouille mais acteur excellent.

Ventura aussi est complètement franchouille si on va par là. Je vois pas ce que tu veux dire avec "acteur peu melvillien". Melville est français à la fin, tu commences à nous brouter.

tu comprends vraiment rien à rien...mais c'est pas grave, c'était pas à toi que je causais.

Rupert Withglee a écrit:

skip mccoy a écrit:

Rupert Withglee a écrit:

skip mccoy a écrit:

Rupert Withglee a écrit:

skip mccoy a écrit:

Rupert Withglee a écrit:

skip mccoy a écrit:

ALLEZ!

1. Quai des orfèvres (Clouzot)
2. Le samouraï (Melville)
3. Touchez pas au grisbi (Becker)
4. Le doulos (Melville)
5. Casque d'or (Becker)
6. Le trou (Becker)
7. Le convoyeur (Boukhrief)
8. Police (Pialat)
9. Série noire (Corneau)
10. Tirez sur le pianiste! (Truffaut)
11. Fille du diable (Decoin)
12. Les grandes gueules (Enrico)
13. Rafles sur la ville (Chenal)
14. Pépé le moko (Duvivier)
15. Entre onze heures et minuit (Decoin)
16. Le boucher (Chabrol)
17. La tête d'un homme (Duvivier)
18. Poulet au vinaigre (Chabrol)
19. Poussière d'ange (Niermans)
20. Tendre poulet (de Broca)

Pas mal ta liste (en gras ceux que j'ai vus : pas bézef en fait...)

Sur les Melville je mettrai Le deuxième souffle plutôt que Le samouraï - voire Un flic que j'adore (désolé, traite-moi de fétichiste de merde si tu veux, mais c'est vrai... "On y va, et je vous rappelle après")

elle déchire cette intro...
tu me donnes envie de le revoir tiens même si je doute que la longueur ça tienne aussi bien la route.
Le deuxième souffle, j'ai toujours eu un problème MORAL avec ce film, c'est clairement une apologie du code d'honneur "des gangsters à l'ancienne", Gu le meurtrier de sang-froid joué par Ventura est clairement présenté comme un modèle de probité, et ça je peux pas. José Giovanni n'y est sans doute pas pour rien.

la majorité des films que tu cites, s'ils ne font pas clairement l'apologie du code d'honneur de la truanderie, le mettent en valeur... De toute façon c'est rare de voir un bon polar totalement manichéen, fondé uniquement sur le rapport "bons flics/mauvais garçons" ; si les gangsters ne sont que des brutes épaisses sans aucune déontologie, ça ne marche pas, ou ça devient un slasher.

justement, il y a un pas non négligeable entre célébrer un personnage fut-il du mauvais côté de la barrière et célébrer la morale de gangsters. Ce pas est franchi dans Le deuxième souffle mais pas dans les autres films que je cite.

mouais...
En tous cas j'adore le personnage du commissaire interprété par Meurisse. Il est beaucoup mieux que Bourvil dans le Cercle rouge par exemple.

Sinon tu as vu l'Aîné des Ferchaux ?

oui, j'adore Meurisse de toute façon...acteur peu melvillien, acteur délicieusement franchouille mais acteur excellent.
Par contre L'aîné des Ferchaux c'est non. Là pour le coup on est en plein dans le film d'Européen fan transi de culture américaine (big up à l'hommage à Sinatra). Mais ça tient pas la route. Comme Deux hommes dans Manhattan.

OK

Meurisse même dans le Déjeuner sur l'herbe de Renoir (qui est une sacrée croûte quand même) il est fabuleux.

je suis pas d'accord, ça déchire Le déjeuner sur l'herbe. C'est particulier mais bon, ça déchire.

denis sigougou a écrit:

skip mccoy a écrit:

acteur peu melvillien, acteur délicieusement franchouille mais acteur excellent.

Ventura aussi est complètement franchouille si on va par là. Je vois pas ce que tu veux dire avec "acteur peu melvillien". Melville est français à la fin, tu commences à nous brouter.

Melville est un putain d'atlantiste ouais !

Melville avait l'art du contrepied, en particulier pour ses personnages de flics : dans Le Doulos, Jean Desailly est un commissaire bourgeois à mèche rebelle, qui s'exprime avec une gestuelle maniérée. C'est du Jean Desailly en somme, mais Melville aurait pu le diriger de façon à ce que son jeu se conforme au rôle de flic traditionnel, taciturne, blasé, colérique... En fait il choisit le contre-jeu plutôt que le contre-emploi, c'est ça qu'est bon.

skip mccoy a écrit:

Rupert Withglee a écrit:

skip mccoy a écrit:

Rupert Withglee a écrit:

skip mccoy a écrit:

Rupert Withglee a écrit:

skip mccoy a écrit:

Rupert Withglee a écrit:

skip mccoy a écrit:

ALLEZ!

1. Quai des orfèvres (Clouzot)
2. Le samouraï (Melville)
3. Touchez pas au grisbi (Becker)
4. Le doulos (Melville)
5. Casque d'or (Becker)
6. Le trou (Becker)
7. Le convoyeur (Boukhrief)
8. Police (Pialat)
9. Série noire (Corneau)
10. Tirez sur le pianiste! (Truffaut)
11. Fille du diable (Decoin)
12. Les grandes gueules (Enrico)
13. Rafles sur la ville (Chenal)
14. Pépé le moko (Duvivier)
15. Entre onze heures et minuit (Decoin)
16. Le boucher (Chabrol)
17. La tête d'un homme (Duvivier)
18. Poulet au vinaigre (Chabrol)
19. Poussière d'ange (Niermans)
20. Tendre poulet (de Broca)

Pas mal ta liste (en gras ceux que j'ai vus : pas bézef en fait...)

Sur les Melville je mettrai Le deuxième souffle plutôt que Le samouraï - voire Un flic que j'adore (désolé, traite-moi de fétichiste de merde si tu veux, mais c'est vrai... "On y va, et je vous rappelle après")

elle déchire cette intro...
tu me donnes envie de le revoir tiens même si je doute que la longueur ça tienne aussi bien la route.
Le deuxième souffle, j'ai toujours eu un problème MORAL avec ce film, c'est clairement une apologie du code d'honneur "des gangsters à l'ancienne", Gu le meurtrier de sang-froid joué par Ventura est clairement présenté comme un modèle de probité, et ça je peux pas. José Giovanni n'y est sans doute pas pour rien.

la majorité des films que tu cites, s'ils ne font pas clairement l'apologie du code d'honneur de la truanderie, le mettent en valeur... De toute façon c'est rare de voir un bon polar totalement manichéen, fondé uniquement sur le rapport "bons flics/mauvais garçons" ; si les gangsters ne sont que des brutes épaisses sans aucune déontologie, ça ne marche pas, ou ça devient un slasher.

justement, il y a un pas non négligeable entre célébrer un personnage fut-il du mauvais côté de la barrière et célébrer la morale de gangsters. Ce pas est franchi dans Le deuxième souffle mais pas dans les autres films que je cite.

mouais...
En tous cas j'adore le personnage du commissaire interprété par Meurisse. Il est beaucoup mieux que Bourvil dans le Cercle rouge par exemple.

Sinon tu as vu l'Aîné des Ferchaux ?

oui, j'adore Meurisse de toute façon...acteur peu melvillien, acteur délicieusement franchouille mais acteur excellent.
Par contre L'aîné des Ferchaux c'est non. Là pour le coup on est en plein dans le film d'Européen fan transi de culture américaine (big up à l'hommage à Sinatra). Mais ça tient pas la route. Comme Deux hommes dans Manhattan.

OK

Meurisse même dans le Déjeuner sur l'herbe de Renoir (qui est une sacrée croûte quand même) il est fabuleux.

je suis pas d'accord, ça déchire Le déjeuner sur l'herbe. C'est particulier mais bon, ça déchire.

ouais faudrait que je le revoie de toute façon...

skip mccoy a écrit:

denis sigougou a écrit:

skip mccoy a écrit:

acteur peu melvillien, acteur délicieusement franchouille mais acteur excellent.

Ventura aussi est complètement franchouille si on va par là. Je vois pas ce que tu veux dire avec "acteur peu melvillien". Melville est français à la fin, tu commences à nous brouter.

tu comprends vraiment rien à rien...mais c'est pas grave, c'était pas à toi que je causais.

c'est quoi un acteur melvillien ? T'es con à bouffer du foin, les acteurs c'est de la pâte à modeler. Contrairement à Bresson et Rohmer, Melville utilise des acteurs qui ont une carrière en dehors de ses films. Ils ne sont pas marqués de l'estampille Melville et ont évolué dans d'autres univers, alors que les actrices rohmériennes (à part Dombasle) n'ont pas fait carrière, et que les modèles bressoniens ont eu un usage unique.

denis sigougou a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis sigougou a écrit:

skip mccoy a écrit:

acteur peu melvillien, acteur délicieusement franchouille mais acteur excellent.

Ventura aussi est complètement franchouille si on va par là. Je vois pas ce que tu veux dire avec "acteur peu melvillien". Melville est français à la fin, tu commences à nous brouter.

tu comprends vraiment rien à rien...mais c'est pas grave, c'était pas à toi que je causais.

c'est quoi un acteur melvillien ? T'es con à bouffer du foin, les acteurs c'est de la pâte à modeler. Contrairement à Bresson et Rohmer, Melville utilise des acteurs qui ont une carrière en dehors de ses films. Ils ne sont pas marqués de l'estampille Melville et ont évolué dans d'autres univers, alors que les actrices rohmériennes (à part Dombasle) n'ont pas fait carrière, et que les modèles bressoniens ont eu un usage unique.

skip mccoy a écrit:

denis sigougou a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis sigougou a écrit:

skip mccoy a écrit:

acteur peu melvillien, acteur délicieusement franchouille mais acteur excellent.

Ventura aussi est complètement franchouille si on va par là. Je vois pas ce que tu veux dire avec "acteur peu melvillien". Melville est français à la fin, tu commences à nous brouter.

tu comprends vraiment rien à rien...mais c'est pas grave, c'était pas à toi que je causais.

c'est quoi un acteur melvillien ? T'es con à bouffer du foin, les acteurs c'est de la pâte à modeler. Contrairement à Bresson et Rohmer, Melville utilise des acteurs qui ont une carrière en dehors de ses films. Ils ne sont pas marqués de l'estampille Melville et ont évolué dans d'autres univers, alors que les actrices rohmériennes (à part Dombasle) n'ont pas fait carrière, et que les modèles bressoniens ont eu un usage unique.

je vois que je t'ai (catherine) mouché