Cinema, Cinémaaaaaaaaaaaaaaaa

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

c'est un western au sens Penn du terme.

si tu le dis...

Pour moi c'est un film sur la destinée individuelle d'un mec, de façon un peu picaresque. La toile de fond est vaguement western, mais ce n'est qu'une toile de fond, et non pas le sujet du film.

je ne vois pas ce qui empêcherait le western d'être picaresque...
Little big man c'est quand même -entre autres- un film sur le massacre des Indiens et sur la confrontation de deux cultures, thématiques westerniennes s'il en est...

ce n'est qu'une toile de fond. Le film est centré sur Jack Crab, personnage complètement improbable et comique, donc anti-western pour moi

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

c'est un western au sens Penn du terme.

si tu le dis...

Pour moi c'est un film sur la destinée individuelle d'un mec, de façon un peu picaresque. La toile de fond est vaguement western, mais ce n'est qu'une toile de fond, et non pas le sujet du film.

je ne vois pas ce qui empêcherait le western d'être picaresque...
Little big man c'est quand même -entre autres- un film sur le massacre des Indiens et sur la confrontation de deux cultures, thématiques westerniennes s'il en est...

ce n'est qu'une toile de fond. Le film est centré sur Jack Crab, personnage complètement improbable et comique, donc anti-western pour moi

c'est justement le propre de bon nombre de westerns des années 60/70 que de mettre en scène des personnages improbables dans des films qui se veulent démystificateurs.

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

c'est un western au sens Penn du terme.

si tu le dis...

Pour moi c'est un film sur la destinée individuelle d'un mec, de façon un peu picaresque. La toile de fond est vaguement western, mais ce n'est qu'une toile de fond, et non pas le sujet du film.

je ne vois pas ce qui empêcherait le western d'être picaresque...
Little big man c'est quand même -entre autres- un film sur le massacre des Indiens et sur la confrontation de deux cultures, thématiques westerniennes s'il en est...

ce n'est qu'une toile de fond. Le film est centré sur Jack Crab, personnage complètement improbable et comique, donc anti-western pour moi

c'est justement le propre de bon nombre de westerns des années 60/70 que de mettre en scène des personnages improbables dans des films qui se veulent démystificateurs.

OK, dans ce cas pour moi le western est mort à la fin des années 50

Once upon a pigne a écrit:

hpg a écrit:

quels sont les morceaux de Pulp qui apparaissent dans le film, Pigne ?

Common people... putain de grand morceau que je n'avais pas écouté depuis trop longtemps

Même si je préfère des albums comme His'n'hers ou This is hardcore, Common people est probablement le plus important morceau de Pulp. Il a des allures de single pop ultime.

hpg a écrit:

Once upon a pigne a écrit:

hpg a écrit:

quels sont les morceaux de Pulp qui apparaissent dans le film, Pigne ?

Common people... putain de grand morceau que je n'avais pas écouté depuis trop longtemps

Même si je préfère des albums comme His'n'hers ou This is hardcore, Common people est probablement le plus important morceau de Pulp. Il a des allures de single pop ultime.

TAFH_P_G...

le film préféré de jeffard

hpg a écrit:

Once upon a pigne a écrit:

hpg a écrit:

quels sont les morceaux de Pulp qui apparaissent dans le film, Pigne ?

Common people... putain de grand morceau que je n'avais pas écouté depuis trop longtemps

Même si je préfère des albums comme His'n'hers ou This is hardcore, Common people est probablement le plus important morceau de Pulp. Il a des allures de single pop ultime.

C'est très très loin d'être leur meilleur titre (Babies, Something Changed, This Is Hardcore etc). A croire que tu n'as jamais pris la peine d'écouter leurs disques

Jouissif sa chatte.
trop bon le scénario à tiroirs de Jean-Claude Carrière.

Pascale Ferran - les dix chattes hurlaient

Les arbres y sont hyper bien filmés.

TAFT a écrit:

hpg a écrit:

Once upon a pigne a écrit:

hpg a écrit:

quels sont les morceaux de Pulp qui apparaissent dans le film, Pigne ?

Common people... putain de grand morceau que je n'avais pas écouté depuis trop longtemps

Même si je préfère des albums comme His'n'hers ou This is hardcore, Common people est probablement le plus important morceau de Pulp. Il a des allures de single pop ultime.

C'est très très loin d'être leur meilleur titre (Babies, Something Changed, This Is Hardcore etc). A croire que tu n'as jamais pris la peine d'écouter leurs disques

T'es pas loin d'être un gros con, toi ! Je connais la discographie de Pulp sur le bout de mes ongles. Si Different Class n'est pas l'album que je préfère, common people est un de leurs meilleurs singles. Babies est loin derrière, vois-tu. J'adore The Fear également, single terrifiant en ouverture de l'album This is Hardcore. Et Death II également.

hpg a écrit:

TAFT a écrit:

hpg a écrit:

Once upon a pigne a écrit:

hpg a écrit:

quels sont les morceaux de Pulp qui apparaissent dans le film, Pigne ?

Common people... putain de grand morceau que je n'avais pas écouté depuis trop longtemps

Même si je préfère des albums comme His'n'hers ou This is hardcore, Common people est probablement le plus important morceau de Pulp. Il a des allures de single pop ultime.

C'est très très loin d'être leur meilleur titre (Babies, Something Changed, This Is Hardcore etc). A croire que tu n'as jamais pris la peine d'écouter leurs disques

T'es pas loin d'être un gros con, toi ! Je connais la discographie de Pulp sur le bout de mes ongles. Si Different Class n'est pas l'album que je préfère, common people est un de leurs meilleurs singles. Babies est loin derrière, vois-tu. J'adore The Fear également, single terrifiant en ouverture de l'album This is Hardcore. Et Death II également.

J-Claude a déconné sur ce coup, c'est un fait

Once upon a pigne a écrit:

hpg a écrit:

TAFT a écrit:

hpg a écrit:

Once upon a pigne a écrit:

hpg a écrit:

quels sont les morceaux de Pulp qui apparaissent dans le film, Pigne ?

Common people... putain de grand morceau que je n'avais pas écouté depuis trop longtemps

Même si je préfère des albums comme His'n'hers ou This is hardcore, Common people est probablement le plus important morceau de Pulp. Il a des allures de single pop ultime.

C'est très très loin d'être leur meilleur titre (Babies, Something Changed, This Is Hardcore etc). A croire que tu n'as jamais pris la peine d'écouter leurs disques

T'es pas loin d'être un gros con, toi ! Je connais la discographie de Pulp sur le bout de mes ongles. Si Different Class n'est pas l'album que je préfère, common people est un de leurs meilleurs singles. Babies est loin derrière, vois-tu. J'adore The Fear également, single terrifiant en ouverture de l'album This is Hardcore. Et Death II également.

J-Claude a déconné sur ce coup, c'est un fait

Je crois plutôt qu'il déconne à pleins tubes, et sur bien des points.

hpg a écrit:

Je crois plutôt qu'il déconne à pleins tubes, et sur bien des points.

poste-moi tes tofs au lieu de déblatérer ces propos pleins d'amertume et d'aigreur

putain j'ai adoré

skip mccoy a écrit:

putain j'ai adoré

m'a pas laissé un souvenir mémorable cet atame.

ça a vieilli quand même, niveau humour

excellent.
pour comprendre la supériorité du cinéma américain contemporain sur le cinéma français, il n'y qu'à comparer les films de Woody Allen et cetx d'Arnaud Desplechin.

skip mccoy a écrit:

excellent.
pour comprendre la supériorité du cinéma américain contemporain sur le cinéma français, il n'y qu'à comparer les films de Woody Allen et ceux d'Arnaud Desplechin.

c'est un peu con comme raccourci

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

excellent.
pour comprendre la supériorité du cinéma américain contemporain sur le cinéma français, il n'y qu'à comparer les films de Woody Allen et ceux d'Arnaud Desplechin.

c'est un peu con comme raccourci

mais malheureusement vrai.

Herbert Léonard jr a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

excellent.
pour comprendre la supériorité du cinéma américain contemporain sur le cinéma français, il n'y qu'à comparer les films de Woody Allen et ceux d'Arnaud Desplechin.

c'est un peu con comme raccourci

mais malheureusement vrai.

prendre deux individualités pour comparer le cinéma de deux pays ça n'a pas de sens.

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

excellent.
pour comprendre la supériorité du cinéma américain contemporain sur le cinéma français, il n'y qu'à comparer les films de Woody Allen et ceux d'Arnaud Desplechin.

c'est un peu con comme raccourci

on peut voir ça comme ça

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

excellent.
pour comprendre la supériorité du cinéma américain contemporain sur le cinéma français, il n'y qu'à comparer les films de Woody Allen et ceux d'Arnaud Desplechin.

c'est un peu con comme raccourci

TAFDQ
C'est con sur plusieurs points:
- englober dans un même jugement de valeur des films dont le point commun est la nationalité
- choisir arbitrairement parmis la multitudes de cinéastes un seul qui représenterait tous ceux de son pays
- comparer deux cinéastes d'époques différentes
- comparer deux ciénastes aux démarches aussi différentes

Ca fait beaucoup pour une seule phrase. Skip nous avait habitué à des sorties plus avisées sur le cinéma.

denis quillard a écrit:

Herbert Léonard jr a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

excellent.
pour comprendre la supériorité du cinéma américain contemporain sur le cinéma français, il n'y qu'à comparer les films de Woody Allen et ceux d'Arnaud Desplechin.

c'est un peu con comme raccourci

mais malheureusement vrai.

prendre deux individualités pour comparer le cinéma de deux pays ça n'a pas de sens.

c'est allégorique sa chatte.

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

Herbert Léonard jr a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

excellent.
pour comprendre la supériorité du cinéma américain contemporain sur le cinéma français, il n'y qu'à comparer les films de Woody Allen et ceux d'Arnaud Desplechin.

c'est un peu con comme raccourci

mais malheureusement vrai.

prendre deux individualités pour comparer le cinéma de deux pays ça n'a pas de sens.

c'est allégorique sa chatte.

en l'occurrence c'est plutôt synecdotique mais je ne t'en veux pas

denis quillard a écrit:

Herbert Léonard jr a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

excellent.
pour comprendre la supériorité du cinéma américain contemporain sur le cinéma français, il n'y qu'à comparer les films de Woody Allen et ceux d'Arnaud Desplechin.

c'est un peu con comme raccourci

mais malheureusement vrai.

prendre deux individualités pour comparer le cinéma de deux pays ça n'a pas de sens.

le procédé est douteux, n'empèche, Skippy a raison : le cinoche phrançais pue de la glotte entre les hommagesCCC à la nouvelle vague, les comedies avec les copains d'Arthur et les prod' Cul Besson, on est proche du degré zero.