Cinema, Cinémaaaaaaaaaaaaaaaa

skip mccoy a écrit:

très bon film.
la nécrologie de de Baecque il y a un an était vraiment infâme.

Tu m’étonne ! Je kiff grave les rodes mous vies de Oury , même la Carapate avec Lanoux , Richard et l’immense Jean-Pierre Darras , c’est vous dire.

skip mccoy a écrit:

très bon film.
la nécrologie de de Baecque il y a un an était vraiment infâme.

y avait Le Cercle Rouge sur la 2, que j'ai trouvé chiant cette fois

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

très bon film.
la nécrologie de de Baecque il y a un an était vraiment infâme.

y avait Le Cercle Rouge sur la 2, que j'ai trouvé chiant cette fois

le début de la fin pour Melville. la séquence du casse est franchement trop longue.

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

très bon film.
la nécrologie de de Baecque il y a un an était vraiment infâme.

y avait Le Cercle Rouge sur la 2, que j'ai trouvé chiant cette fois

le début de la fin pour Melville. la séquence du casse est franchement trop longue.

sinon il disait quoi de Baecque ? C'est marrant, là dans le dernier inroque y a un papier sur la mort de Serrault où l'auteur dit que ce dernier ne vaut pas mieux que "ce connard de De Funès". Je ne comprends pas ce mépris absolu pour tout ce qui est populaire, je trouve ça même à gerber, en plus de la part de gens qui se veulent "de gauche" et ont un discours culturel élitiste, c'est n'importe quoi.

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

très bon film.
la nécrologie de de Baecque il y a un an était vraiment infâme.

y avait Le Cercle Rouge sur la 2, que j'ai trouvé chiant cette fois

le début de la fin pour Melville. la séquence du casse est franchement trop longue.

sinon il disait quoi de Baecque ? C'est marrant, là dans le dernier inroque y a un papier sur la mort de Serrault où l'auteur dit que ce dernier ne vaut pas mieux que "ce connard de De Funès". Je ne comprends pas ce mépris absolu pour tout ce qui est populaire, je trouve ça même à gerber, en plus de la part de gens qui se veulent "de gauche" et ont un discours culturel élitiste, c'est n'importe quoi.

Dans les dictionnaires du cinéma, il arrive juste devant Ozu. C'est le seul titre de gloire de Gérard Oury qui, disons-le tout net, comme cinéaste, n'a pas grand-chose pour lui. Pas même le culte du mauvais goût. Quand un comique finit à l'Académie des beaux-arts, ce n'est jamais bon signe. Oury a tourné quelques films du dimanche soir en exploitant une identique recette ­ et l'oeil rivé sur les recettes : un scénario fondé sur le quiproquo et la poursuite, quelques allusions à l'actualité récente, en évitant surtout de prendre position, et un casting reposant non pas sur une mais deux vedettes comiques tout en contraste : Bourvil et de Funès dans le Corniaud puis la Grande Vadrouille, Belmondo et Bourvil dans le Cerveau, Montand et de Funès dans la Folie des grandeurs .
Contrairement à ce qu'on lui concède parfois, Oury n'est pas un très bon technicien, rendant une copie tout juste passable sur le petit écran de la télé, où il a fait les beaux jours des week-ends cathodiques. En salle, ce ne fut pas mal non plus, du moins un temps : avec plus de 17 millions d'entrées, la Grande Vadrouille (1966), a occupé la tête du box-office pendant trente ans, détrôné en 1998 par le Titanic de James Cameron. Au total, ses six films les plus populaires ont attiré plus de 50 millions de spectateurs.
Né en 1919 dans le seizième arrondissement parisien, d'un père violoniste et d'une mère critique d'art, Gérard Oury, de son vrai nom Max Gérard Tannenbaum, a d'abord voulu être acteur. Et plutôt tragédien : entré au conservatoire en 1938, il obtient un an plus tard son premier rôle à la Comédie-Française, dans Britannicus. Juif, l'occupation allemande le contraint à fuir Paris, d'abord en zone libre, puis à Monaco et enfin à Genève. C'est dans la principauté que naît, en 1942, sa fille unique, Danièle Thompson, coscénariste avec son père, puis réalisatrice.
En 1946, Oury fait sa première apparition à l'écran, dans Antoine et Antoinette de Becker, mais il ne parvient pas à percer comme comédien. C'est alors qu'il se tourne, à 40 ans, vers la réalisation. Ses premiers films sont des polars, ni mauvais ni fameux : la Main chaude (1960), la Menace (1961), le Crime ne paie pas (1962). Ensuite, c'est la révélation de sa veine comique, sur les conseils de Louis de Funès. Il connaît le triomphe avec le Corniaud , en 1965, et ses douze millions de spectateurs. S'enchaînent alors la Grande Vadrouille , le Cerveau (1969), la Folie des grandeurs (1971), les Aventures de Rabbi Jacob (1973). Puis ça se gâte, puisque ni la Carapate (1978), ni le Coup du parapluie (1980), et encore moins Levy et Goliath (1986), Vanille fraise (1989), la Soif de l'or (1993) ou le Schpountz (1998), ne rencontrent le succès.
Gérard Oury était le compagnon de Michèle Morgan. Il est mort hier à 87 ans. La télévision va lui rendre hommage. Elle lui doit bien ça.

tu noteras le "ce n'est pas un très bon technicien", petite pique honteuse Libé style pour se démarquer des confrères qui reconnaissent généralement son savoir-faire. d'autant plus honteux quand tu vois un film comme Le corniaud, une des rares comédies françaises dont le Scope est pleinement exploité, une comédie à la mécanique scénaristique parfaitement huilée, un film où Oury s'entoure d'Henri Decae et Georges Delerue, pas vraiment des manchots dans leurs domaines.

Raisons d'Etat, de De Niro : une demi-heure en trop, dommage c'était presque ça !

denis quillard a écrit:

sinon il disait quoi de Baecque ? C'est marrant, là dans le dernier inroque y a un papier sur la mort de Serrault où l'auteur dit que ce dernier ne vaut pas mieux que "ce connard de De Funès". Je ne comprends pas ce mépris absolu pour tout ce qui est populaire, je trouve ça même à gerber, en plus de la part de gens qui se veulent "de gauche" et ont un discours culturel élitiste, c'est n'importe quoi.

Je ne pense pas que ce soit une question de succès populaire ou de position politique.
C'est tout simplement de bon ton de préférer par exemple un Bourvil au jeu "si fin et sous exploité" à un de Funès que recycle toujours les mêmes grimaces.
C'est un point de vue qui se tient.

Once upon a pigne a écrit:

Raisons d'Etat, de De Niro : une demi-heure en trop, dommage c'était presque ça !

Je l'ai trouvé plutôt réussi, même si Matt Damon est un peu limité.
Quelle partie aurais tu enlevée?

zufman a écrit:

denis quillard a écrit:

sinon il disait quoi de Baecque ? C'est marrant, là dans le dernier inroque y a un papier sur la mort de Serrault où l'auteur dit que ce dernier ne vaut pas mieux que "ce connard de De Funès". Je ne comprends pas ce mépris absolu pour tout ce qui est populaire, je trouve ça même à gerber, en plus de la part de gens qui se veulent "de gauche" et ont un discours culturel élitiste, c'est n'importe quoi.

Je ne pense pas que ce soit une question de succès populaire ou de position politique.
C'est tout simplement de bon ton de préférer par exemple un Bourvil au jeu "si fin et sous exploité" à un de Funès que recycle toujours les mêmes grimaces.
C'est un point de vue qui se tient.

tu plaisantes ou quoi ? La formule "ce connard de De Funès" n'est pas un jugement esthétique, c'est une insulte pure et simple, qui désigne l'homme au-delà de l'acteur. Ce n'est même pas argumenté. Il est évident que ce mépris ostentatoire vise le caractère populaire de l'acteur.

denis quillard a écrit:

tu plaisantes ou quoi ? La formule "ce connard de De Funès" n'est pas un jugement esthétique, c'est une insulte pure et simple, qui désigne l'homme au-delà de l'acteur. Ce n'est même pas argumenté. Il est évident que ce mépris ostentatoire vise le caractère populaire de l'acteur.

C'est un procès d'intention grotesque de ta part.
Si cela fait référence à l'homme, peut-être que cela fait simplement allusion aux idées moisies de De Funes. Lui-même a dit que le fait de participer à Rabbi Jacob lui avait permis de changer certains de ses préjugés racistes, soit assez tard dans sa vie.

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

très bon film.
la nécrologie de de Baecque il y a un an était vraiment infâme.

y avait Le Cercle Rouge sur la 2, que j'ai trouvé chiant cette fois

le début de la fin pour Melville. la séquence du casse est franchement trop longue.

sinon il disait quoi de Baecque ? C'est marrant, là dans le dernier inroque y a un papier sur la mort de Serrault où l'auteur dit que ce dernier ne vaut pas mieux que "ce connard de De Funès". Je ne comprends pas ce mépris absolu pour tout ce qui est populaire, je trouve ça même à gerber, en plus de la part de gens qui se veulent "de gauche" et ont un discours culturel élitiste, c'est n'importe quoi.

Dans les dictionnaires du cinéma, il arrive juste devant Ozu. C'est le seul titre de gloire de Gérard Oury qui, disons-le tout net, comme cinéaste, n'a pas grand-chose pour lui. Pas même le culte du mauvais goût. Quand un comique finit à l'Académie des beaux-arts, ce n'est jamais bon signe. Oury a tourné quelques films du dimanche soir en exploitant une identique recette ­ et l'oeil rivé sur les recettes : un scénario fondé sur le quiproquo et la poursuite, quelques allusions à l'actualité récente, en évitant surtout de prendre position, et un casting reposant non pas sur une mais deux vedettes comiques tout en contraste : Bourvil et de Funès dans le Corniaud puis la Grande Vadrouille, Belmondo et Bourvil dans le Cerveau, Montand et de Funès dans la Folie des grandeurs .
Contrairement à ce qu'on lui concède parfois, Oury n'est pas un très bon technicien, rendant une copie tout juste passable sur le petit écran de la télé, où il a fait les beaux jours des week-ends cathodiques. En salle, ce ne fut pas mal non plus, du moins un temps : avec plus de 17 millions d'entrées, la Grande Vadrouille (1966), a occupé la tête du box-office pendant trente ans, détrôné en 1998 par le Titanic de James Cameron. Au total, ses six films les plus populaires ont attiré plus de 50 millions de spectateurs.
Né en 1919 dans le seizième arrondissement parisien, d'un père violoniste et d'une mère critique d'art, Gérard Oury, de son vrai nom Max Gérard Tannenbaum, a d'abord voulu être acteur. Et plutôt tragédien : entré au conservatoire en 1938, il obtient un an plus tard son premier rôle à la Comédie-Française, dans Britannicus. Juif, l'occupation allemande le contraint à fuir Paris, d'abord en zone libre, puis à Monaco et enfin à Genève. C'est dans la principauté que naît, en 1942, sa fille unique, Danièle Thompson, coscénariste avec son père, puis réalisatrice.
En 1946, Oury fait sa première apparition à l'écran, dans Antoine et Antoinette de Becker, mais il ne parvient pas à percer comme comédien. C'est alors qu'il se tourne, à 40 ans, vers la réalisation. Ses premiers films sont des polars, ni mauvais ni fameux : la Main chaude (1960), la Menace (1961), le Crime ne paie pas (1962). Ensuite, c'est la révélation de sa veine comique, sur les conseils de Louis de Funès. Il connaît le triomphe avec le Corniaud , en 1965, et ses douze millions de spectateurs. S'enchaînent alors la Grande Vadrouille , le Cerveau (1969), la Folie des grandeurs (1971), les Aventures de Rabbi Jacob (1973). Puis ça se gâte, puisque ni la Carapate (1978), ni le Coup du parapluie (1980), et encore moins Levy et Goliath (1986), Vanille fraise (1989), la Soif de l'or (1993) ou le Schpountz (1998), ne rencontrent le succès.
Gérard Oury était le compagnon de Michèle Morgan. Il est mort hier à 87 ans. La télévision va lui rendre hommage. Elle lui doit bien ça.

tu noteras le "ce n'est pas un très bon technicien", petite pique honteuse Libé style pour se démarquer des confrères qui reconnaissent généralement son savoir-faire. d'autant plus honteux quand tu vois un film comme Le corniaud, une des rares comédies françaises dont le Scope est pleinement exploité, une comédie à la mécanique scénaristique parfaitement huilée, un film où Oury s'entoure d'Henri Decae et Georges Delerue, pas vraiment des manchots dans leurs domaines.

on notera le professionnalisme de De Baecque en se souvenant de la notule de Tulard dans son dictonnaire des réalisateurs:
L'oeil rivé sur la recette, il sait ce qui plaira au public du samedi soir : des allusions à l'actualité récente ou encore proche (la Palestine, Mai 68, etc.) en évitant de prendre position, un scénario fondé sur la poursuite ou le subterfuge, une technique parfaite servie par de gros moyens, et une distribution reposant non pas sur une mais deux vedettes, du type Bourvil-De Funès (Le Corniaud, La Grande vadrouille), Belmondo-Bourvil (Le Cerveau), Montand-De Funès (La Folie des grandeurs), etc.

zufman a écrit:

Once upon a pigne a écrit:

Raisons d'Etat, de De Niro : une demi-heure en trop, dommage c'était presque ça !

Je l'ai trouvé plutôt réussi, même si Matt Damon est un peu limité.
Quelle partie aurais tu enlevée?

le scénar part en couilles à la fin, à partir du congo... dommage car les 2/3 du film sont passionnants

zufman a écrit:

denis quillard a écrit:

tu plaisantes ou quoi ? La formule "ce connard de De Funès" n'est pas un jugement esthétique, c'est une insulte pure et simple, qui désigne l'homme au-delà de l'acteur. Ce n'est même pas argumenté. Il est évident que ce mépris ostentatoire vise le caractère populaire de l'acteur.

C'est procès d'intention grotesque de ta part.
Si cela fait référence à l'homme, peut-être que cela fait simplement allusion aux idées moisies de De Funes. Lui-même a dit que le fait de participer à Rabbi Jacob lui avait permis de changer certains de ses préjugés racistes, soit assez tard dans sa vie.

procès d'intention ????????????????

si tu trouves que l'expression "connard de De Funès" est ambiguë et nécessite une exégèse, grand bien te fasse. Je te répète que ce n'est pas argumenté : dans cette mesure l'affirmation se veut absolue : de Funès est un connard irrécupérable, il n'y a rien à sauver chez lui.

zufman a écrit:

denis quillard a écrit:

tu plaisantes ou quoi ? La formule "ce connard de De Funès" n'est pas un jugement esthétique, c'est une insulte pure et simple, qui désigne l'homme au-delà de l'acteur. Ce n'est même pas argumenté. Il est évident que ce mépris ostentatoire vise le caractère populaire de l'acteur.

C'est un procès d'intention grotesque de ta part.
Si cela fait référence à l'homme, peut-être que cela fait simplement allusion aux idées moisies de De Funes. Lui-même a dit que le fait de participer à Rabbi Jacob lui avait permis de changer certains de ses préjugés racistes, soit assez tard dans sa vie.

je trouve ça au contraire louable quelqu'un qui reconnaît ses erreurs.

denis quillard a écrit:

zufman a écrit:

denis quillard a écrit:

tu plaisantes ou quoi ? La formule "ce connard de De Funès" n'est pas un jugement esthétique, c'est une insulte pure et simple, qui désigne l'homme au-delà de l'acteur. Ce n'est même pas argumenté. Il est évident que ce mépris ostentatoire vise le caractère populaire de l'acteur.

C'est procès d'intention grotesque de ta part.
Si cela fait référence à l'homme, peut-être que cela fait simplement allusion aux idées moisies de De Funes. Lui-même a dit que le fait de participer à Rabbi Jacob lui avait permis de changer certains de ses préjugés racistes, soit assez tard dans sa vie.

procès d'intention ????????????????

si tu trouves que l'expression "connard de De Funès" est ambiguë et nécessite une exégèse, grand bien te fasse. Je te répète que ce n'est pas argumenté : dans cette mesure l'affirmation se veut absolue : de Funès est un connard irrécupérable, il n'y a rien à sauver chez lui.

Le procès d'intention est surligné en gras.

skip mccoy a écrit:

je trouve ça au contraire louable quelqu'un qui reconnaît ses erreurs.

TAFSM
Le mieux ce serait de savoir ce que reproche le rédacteur des inrocks à cette salope de De Funes.
En attendant, laisson Quillard fantasmer dessus.

zufman a écrit:

denis quillard a écrit:

zufman a écrit:

denis quillard a écrit:

tu plaisantes ou quoi ? La formule "ce connard de De Funès" n'est pas un jugement esthétique, c'est une insulte pure et simple, qui désigne l'homme au-delà de l'acteur. Ce n'est même pas argumenté. Il est évident que ce mépris ostentatoire vise le caractère populaire de l'acteur.

C'est procès d'intention grotesque de ta part.
Si cela fait référence à l'homme, peut-être que cela fait simplement allusion aux idées moisies de De Funes. Lui-même a dit que le fait de participer à Rabbi Jacob lui avait permis de changer certains de ses préjugés racistes, soit assez tard dans sa vie.

procès d'intention ????????????????

si tu trouves que l'expression "connard de De Funès" est ambiguë et nécessite une exégèse, grand bien te fasse. Je te répète que ce n'est pas argumenté : dans cette mesure l'affirmation se veut absolue : de Funès est un connard irrécupérable, il n'y a rien à sauver chez lui.

Le procès d'intention est surligné en gras.

merci de me prendre pour un con en plus. Tu n'as qu'à lire l'article des inroques. Il repose sur l'idée que la France est un pays de merde qui célèbre la mort d'acteurs comme Serrault ou De Funès alors qu'elle ferait mieux de pleurer à chaudes larmes la disparition de Bergman.
L'opposition cinéma d'auteur exigeant/acteur populaire est hyper explicite.

denis quillard a écrit:

zufman a écrit:

denis quillard a écrit:

zufman a écrit:

denis quillard a écrit:

tu plaisantes ou quoi ? La formule "ce connard de De Funès" n'est pas un jugement esthétique, c'est une insulte pure et simple, qui désigne l'homme au-delà de l'acteur. Ce n'est même pas argumenté. Il est évident que ce mépris ostentatoire vise le caractère populaire de l'acteur.

C'est procès d'intention grotesque de ta part.
Si cela fait référence à l'homme, peut-être que cela fait simplement allusion aux idées moisies de De Funes. Lui-même a dit que le fait de participer à Rabbi Jacob lui avait permis de changer certains de ses préjugés racistes, soit assez tard dans sa vie.

procès d'intention ????????????????

si tu trouves que l'expression "connard de De Funès" est ambiguë et nécessite une exégèse, grand bien te fasse. Je te répète que ce n'est pas argumenté : dans cette mesure l'affirmation se veut absolue : de Funès est un connard irrécupérable, il n'y a rien à sauver chez lui.

Le procès d'intention est surligné en gras.

merci de me prendre pour un con en plus. Tu n'as qu'à lire l'article des inroques. Il repose sur l'idée que la France est un pays de merde qui célèbre la mort d'acteurs comme Serrault ou De Funès alors qu'elle ferait mieux de pleurer à chaudes larmes la disparition de Bergman.
L'opposition cinéma d'auteur exigeant/acteur populaire est hyper explicite.

tu peux pas le poster ??

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

zufman a écrit:

denis quillard a écrit:

zufman a écrit:

denis quillard a écrit:

tu plaisantes ou quoi ? La formule "ce connard de De Funès" n'est pas un jugement esthétique, c'est une insulte pure et simple, qui désigne l'homme au-delà de l'acteur. Ce n'est même pas argumenté. Il est évident que ce mépris ostentatoire vise le caractère populaire de l'acteur.

C'est procès d'intention grotesque de ta part.
Si cela fait référence à l'homme, peut-être que cela fait simplement allusion aux idées moisies de De Funes. Lui-même a dit que le fait de participer à Rabbi Jacob lui avait permis de changer certains de ses préjugés racistes, soit assez tard dans sa vie.

procès d'intention ????????????????

si tu trouves que l'expression "connard de De Funès" est ambiguë et nécessite une exégèse, grand bien te fasse. Je te répète que ce n'est pas argumenté : dans cette mesure l'affirmation se veut absolue : de Funès est un connard irrécupérable, il n'y a rien à sauver chez lui.

Le procès d'intention est surligné en gras.

merci de me prendre pour un con en plus. Tu n'as qu'à lire l'article des inroques. Il repose sur l'idée que la France est un pays de merde qui célèbre la mort d'acteurs comme Serrault ou De Funès alors qu'elle ferait mieux de pleurer à chaudes larmes la disparition de Bergman.
L'opposition cinéma d'auteur exigeant/acteur populaire est hyper explicite.

tu peux pas le poster ??

non, c'est sur les inroques en papier (chiottes)

Alors que De Funes était très bon chez Bergman, c’est qui l’auteur de l’article des zinrockes en papier chiottes ?

raoulle a écrit:

Alors que De Funes était très bon chez Bergman, c’est qui l’auteur de l’article des zinrockes en papier chiottes ?

je crois que c'est Azoury, un journaliste de Libé par ailleurs

apparemment vous vous êtes donnés le mot pour être CCC au possible aujourd'hui ! ce sera sans moi, j'ai une alerte enlèvement à régler

denis quillard a écrit:

raoulle a écrit:

Alors que De Funes était très bon chez Bergman, c’est qui l’auteur de l’article des zinrockes en papier chiottes ?

je crois que c'est Azoury, un journaliste de Libé par ailleurs

M’étonne pas il est plus snob qu’Aldo

Once upon a pigne a écrit:

apparemment vous vous êtes donnés le mot pour être CCC au possible aujourd'hui ! ce sera sans moi, j'ai une alerte enlèvement à régler

Ton avatar est splendide

Once upon a pigne a écrit:

apparemment vous vous êtes donnés le mot pour être CCC au possible aujourd'hui ! ce sera sans moi

c'est la faute à mazuf, cette raclure crypto tiers-mondiste