là, j\'écoute :

denis sigougou a écrit:

808 a écrit:

denis sigougou a écrit:

808 a écrit:

denis sigougou a écrit:

808 je sais pas si tu as vu mais le nouveau Strokes est en écoute intégrale :


http://pitchfork.com/advance/48-comedown-machine/

guénial merci !

j'espère que le truc est "digne" (comme on dit à propos du dernier Bowie)

voilà où on en est rendu, c'est pas jojo

en effet c'est pas jojo c'est juju

haha

carlos a écrit:

"i'm gone" compte parmi mes chansons préférées des 2000's...

si j'en crois les échos glanés sur facebook, le Strokes est plutôt bon...

denis sigougou a écrit:

si j'en crois les échos glanés sur facebook, le Strokes est plutôt bon...

ça commence mal, le premier titre est à chier (du mauvais Phoenix).

Et hop, je me remets un coup de "Is This It" pou me laver les oreilles.
Ce groupe a vraiment perdu le fil.

c'est en effet pas l'extase aux premières écoutes
mais la 1 n'est pas le pire truc je trouve... les refrains sont globalement assez rudimentaires voire grossiers (le single "all the time" est vraiment triste de ce point de vue).

outre a-ha (one way trigger, qui passe pas trop mal) y a des bribes des red hot (welcome to japan) et de phil collins (chances).
et la dernière chanson est une jolie torch-song. bon ben bye bye les strokes.

j'ai "entendu" le dépèche mode au titre similaire sinon... RAS.

808 a écrit:

c'est en effet pas l'extase aux premières écoutes
mais la 1 n'est pas le pire truc je trouve... les refrains sont globalement assez rudimentaires voire grossiers (le single "all the time" est vraiment triste de ce point de vue).

outre a-ha (one way trigger, qui passe pas trop mal) y a des bribes des red hot (welcome to japan) et de phil collins (chances).
et la dernière chanson est une jolie torch-song. bon ben bye bye les strokes.

j'ai "entendu" le dépèche mode au titre similaire sinon... RAS.

La 2ème partie du disque a l'air mieux. J'aime bien 80s Comeback Machine même si c'est trop long.
En fait, à la réécoute de Is this It, je me dis que ce son crade faisait leur force. Là, en essayant de jouer sur le terrain clinique de Phoenix, ils sont devenus un peu ridicules et les limites vocales de Casablancas finissent par agacer. Quant à One Way trigger, je continue à penser que c'est un single indigne. Bien sûr qu'il y a un côté accrocheur mais chez Début de Soirée aussi. S'il y a bien un truc galvaudé, c'est ça.

Vous mériteriez une putain de révolution PUNK tas de trentenaires de mes deux !

Raoulle a écrit:

Vous mériteriez une putain de révolution PUNK tas de trentenaires de mes deux !

Ah non merci, une seule était bien suffisante.

Robert, le Gluon a écrit:

Raoulle a écrit:

Vous mériteriez une putain de révolution PUNK tas de trentenaires de mes deux !

Ah non merci, une seule était bien suffisante.

Visiblement, non

Robert, le Gluon a écrit:

En fait, à la réécoute de Is this It, je me dis que ce son crade faisait leur force.

PTDR !

808 a écrit:

y a des bribes des red hot (welcome to japan)

TAFT ! excellent titre

denis sigougou a écrit:

Robert, le Gluon a écrit:

En fait, à la réécoute de Is this It, je me dis que ce son crade faisait leur force.

PTDR !

Warum?

Robert, le Gluon a écrit:

denis sigougou a écrit:

Robert, le Gluon a écrit:

En fait, à la réécoute de Is this It, je me dis que ce son crade faisait leur force.

PTDR !

Warum?

les Strokes dès le début c'est un son très travaillé voire clinique, c'est la génération Pro Tools. OK Casablancas met un filtre dégueu sur sa voix pour faire genre mais c'est quand même ultra léché.

au fait est-ce que qqun peut me retrouver le lien du super live de la précédente tournée qu'on pouvait voir in extenso avec un super son ? (on avait posté le lien ici)

denis sigougou a écrit:

Robert, le Gluon a écrit:

denis sigougou a écrit:

Robert, le Gluon a écrit:

En fait, à la réécoute de Is this It, je me dis que ce son crade faisait leur force.

PTDR !

Warum?

les Strokes dès le début c'est un son très travaillé voire clinique, c'est la génération Pro Tools. OK Casablancas met un filtre dégueu sur sa voix pour faire genre mais c'est quand même ultra léché.

Crade est peut-être exagéré mais le son du premier album n'a vraiment pas grand chose de clinique. Et surtout en comparaison du dernier, c'est infiniment plus roots.

denis sigougou a écrit:

au fait est-ce que qqun peut me retrouver le lien du super live de la précédente tournée qu'on pouvait voir in extenso avec un super son ? (on avait posté le lien ici)

c'était ça non ?
https://www.youtube.com/watch?v=t4lW8d2V5bQ&list=PLCE50F6FEBF0F73A9
au paléo festival en chuiche.

(pour me faire pardonner de vous avoir laissés tomber ce midi)

après deux trois écoutes y a vraiment pas grand chose à sauver dans ce nouvel album... je suis triste.

808 a écrit:

denis sigougou a écrit:

au fait est-ce que qqun peut me retrouver le lien du super live de la précédente tournée qu'on pouvait voir in extenso avec un super son ? (on avait posté le lien ici)

c'était ça non ?
https://www.youtube.com/watch?v=t4lW8d2V5bQ&list=PLCE50F6FEBF0F73A9
au paléo festival en chuiche.

(pour me faire pardonner de vous avoir laissés tomber ce midi)

après deux trois écoutes y a vraiment pas grand chose à sauver dans ce nouvel album... je suis triste.

comme d'hab faut jamais parler trop vite... je crois que je vais encore l'écouter un peu.

tap out : le solo est moche. mais sinon c'est bien ; à noter que c'est super bien produit, il se passe plein de trucs mais c'est quand même aéré ; en terme de composition ça annonce la couleur de l'album : des beaux couplets, des refrains moins bien, un bon-mauvais goût de prime abord repoussant, puis assez réjouissant.
all the time : le refrain est abusé ; mais au bout de la xème écoute on a tendance à l'oublier et retenir l'énergie communicative du morceau.
one way trigger : j'aime bien finalement. c'est à la fois putassier et bizarre.
welcome to japan : aux premières écoutes le refrain très anthony kiedis me donnait un haut-le-cœur, mais finalement cette confiserie funko-discoïde est un sommet du disque, et en tous cas le morceau le plus "retenu"...
80s comedown machine : comme all the time, une sorte de vrai-faux retour aux sources qui paraît au début un peu téléphoné puis on s'y fait ; il y a une certaine maestria instrumentale.
50 50 : ballade électronico-bizarre, avec modulation assez ringarde à la fin ; je suis sûr que c'est fait exprès...
slow animals : chouette mélodie vocale du couplet, tortueuse à souhait, suivie d'un refrain qui parait d'abord lourdaud, puis on s'y fait...
partners in crime : un peu comme one way trigger, c'est horrible à la première écoute... mais suffisamment bizarre (le pont final par exemple) pour qu'on veuille y revenir.
changes : d'une intro grinçante surgit soudain une mélodie pompée sur another day in paradise, qui se transforme quasi pornographiquement pour se suicider en une vocodisation dégueulasse ; que font les avocats de phil collins ?
happy ending : j'aime bien le pont... l'outro est vulgaire mais c'est raccord.
call it fate call it karma : c'est joli, c'est la fin du disque ; ça ne vaut pas "life is simple in the moonlight" comme conclusion.

cet album, dont je ne sais pas encore dire s'il me plaît vraiment ou non, parachève la transformation des strokes en une sorte de steely dan des temps modernes : grimaces et jeux à tous les étages.

808 a écrit:

tap out : le solo est moche. mais sinon c'est bien ; à noter que c'est super bien produit, il se passe plein de trucs mais c'est quand même aéré ; en terme de composition ça annonce la couleur de l'album : des beaux couplets, des refrains moins bien, un bon-mauvais goût de prime abord repoussant, puis assez réjouissant.
all the time : le refrain est abusé ; mais au bout de la xème écoute on a tendance à l'oublier et retenir l'énergie communicative du morceau.
one way trigger : j'aime bien finalement. c'est à la fois putassier et bizarre.
welcome to japan : aux premières écoutes le refrain très anthony kiedis me donnait un haut-le-cœur, mais finalement cette confiserie funko-discoïde est un sommet du disque, et en tous cas le morceau le plus "retenu"...
80s comedown machine : comme all the time, une sorte de vrai-faux retour aux sources qui paraît au début un peu téléphoné puis on s'y fait ; il y a une certaine maestria instrumentale.
50 50 : ballade électronico-bizarre, avec modulation assez ringarde à la fin ; je suis sûr que c'est fait exprès...
slow animals : chouette mélodie vocale du couplet, tortueuse à souhait, suivie d'un refrain qui parait d'abord lourdaud, puis on s'y fait...
partners in crime : un peu comme one way trigger, c'est horrible à la première écoute... mais suffisamment bizarre (le pont final par exemple) pour qu'on veuille y revenir.
changes : d'une intro grinçante surgit soudain une mélodie pompée sur another day in paradise, qui se transforme quasi pornographiquement pour se suicider en une vocodisation dégueulasse ; que font les avocats de phil collins ?
happy ending : j'aime bien le pont... l'outro est vulgaire mais c'est raccord.
call it fate call it karma : c'est joli, c'est la fin du disque ; ça ne vaut pas "life is simple in the moonlight" comme conclusion.

cet album, dont je ne sais pas encore dire s'il me plaît vraiment ou non, parachève la transformation des strokes en une sorte de steely dan des temps modernes : grimaces et jeux à tous les étages.

bel effort...

Citation :

une mélodie pompée sur another day in paradise, qui se transforme quasi pornographiquement pour se suicider en une vocodisation dégueulasse ; que font les avocats de phil collins ?

ça a l'air redoutable....

denis sigougou a écrit:

808 a écrit:

tap out : le solo est moche. mais sinon c'est bien ; à noter que c'est super bien produit, il se passe plein de trucs mais c'est quand même aéré ; en terme de composition ça annonce la couleur de l'album : des beaux couplets, des refrains moins bien, un bon-mauvais goût de prime abord repoussant, puis assez réjouissant.
all the time : le refrain est abusé ; mais au bout de la xème écoute on a tendance à l'oublier et retenir l'énergie communicative du morceau.
one way trigger : j'aime bien finalement. c'est à la fois putassier et bizarre.
welcome to japan : aux premières écoutes le refrain très anthony kiedis me donnait un haut-le-cœur, mais finalement cette confiserie funko-discoïde est un sommet du disque, et en tous cas le morceau le plus "retenu"...
80s comedown machine : comme all the time, une sorte de vrai-faux retour aux sources qui paraît au début un peu téléphoné puis on s'y fait ; il y a une certaine maestria instrumentale.
50 50 : ballade électronico-bizarre, avec modulation assez ringarde à la fin ; je suis sûr que c'est fait exprès...
slow animals : chouette mélodie vocale du couplet, tortueuse à souhait, suivie d'un refrain qui parait d'abord lourdaud, puis on s'y fait...
partners in crime : un peu comme one way trigger, c'est horrible à la première écoute... mais suffisamment bizarre (le pont final par exemple) pour qu'on veuille y revenir.
changes : d'une intro grinçante surgit soudain une mélodie pompée sur another day in paradise, qui se transforme quasi pornographiquement pour se suicider en une vocodisation dégueulasse ; que font les avocats de phil collins ?
happy ending : j'aime bien le pont... l'outro est vulgaire mais c'est raccord.
call it fate call it karma : c'est joli, c'est la fin du disque ; ça ne vaut pas "life is simple in the moonlight" comme conclusion.

cet album, dont je ne sais pas encore dire s'il me plaît vraiment ou non, parachève la transformation des strokes en une sorte de steely dan des temps modernes : grimaces et jeux à tous les étages.

bel effort...

Citation :

une mélodie pompée sur another day in paradise, qui se transforme quasi pornographiquement pour se suicider en une vocodisation dégueulasse ; que font les avocats de phil collins ?

ça a l'air redoutable....

tu m'étonnes. j'imagine avec angoisse des types cocaïnés jusqu'au trognon en train de rigoler comme des ânes en enregistrant la chose.

Raoulle a écrit:

la pochette est chouettos, quid de ce qu'il y a à l'intérieur ?




force est de constater que j'ai sous-estimé ce disque, certes pas un CO mains néanmoins très plaisant (a fortiori à l'aune de la production actuelle comme dirait burtie). Le titre "general hospital" est guénial, avec son refrain où Richard Davies implore l'infirmière de façon aussi sobre que déchirante : "nurse... nurse !" Pourquoi personne n'y avait pensé avant ? Rien que ça justifie le disque.