avec AIR (c'est facile, je sais) :
JBD : "notre musique a quelque chose d'universel, nous pouvons la jouer aussi bien en europe, qu'en amérique, qu'en asie, et susciter le même genre d'émotion dans tout ces endroits"
JBD : "il m'arrive de penser que AIR est une forme de yoga sonore... la musique en général joue sur plusieurs stimulations humaines, le rock est lié au sexe, à la fierté, à la confiance en soi ; le funk joue sur la séduction, la décontraction... AIR procure un sentiment de sécurité"
NG : "avec le temps je me suis rendu compte que ce qui m'intéressait ce n'étaient pas les compositions ou la sophistication de notre musique mais l'énergie et les sensations qu'elle pouvait procurer chez les gens ; s'il n'y avait pas cette finalité je resterais chez moi à jouer les variations goldberg de bach, parce que c'est de toute façon cent fois mieux que tout ce que je pourrais écrire et composer"
propos recueillis par l'ineffable christophe conte, le tout extrait de la feuille de chou éditée par la cité de la musique, qui perd pas mal de points avec ces conneries (plus le festival days off cet été, featuring cocoon, vincent gallo, pete doherty et autres people à la con)