top 10 ciné rital

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

par contre, j'ai oublié Danger: Diabolik! dans mon top !
Danger: Diabolik!, ça, ça tue !
http://films.nonutc.fr/?p=245

Bresson n'est pas spécialement bondophile, tu écris n'importe quoi sur ton blog. Il aimait seulement Goldfinger, et encore, uniquement la scène d'ouverture je crois bien

je te renvoie à l'interview de Bresson donnée à la TSR en 1983 dans laquelle il encense Rien que pour vos yeux, le James Bond alors en salles, et j'attends tes excuses pour diffamation.

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

par contre, j'ai oublié Danger: Diabolik! dans mon top !
Danger: Diabolik!, ça, ça tue !
http://films.nonutc.fr/?p=245

Bresson n'est pas spécialement bondophile, tu écris n'importe quoi sur ton blog. Il aimait seulement Goldfinger, et encore, uniquement la scène d'ouverture je crois bien

je te renvoie à l'interview de Bresson pour la TSR en 1983 dans laquelle il encense Rien que pour vos yeux, le James Bond alors en salles, et j'attends tes excuses pour diffamation.

primo Rien que pour vos yeux est sorti en 1981, donc tu n'es pas crédible

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

par contre, j'ai oublié Danger: Diabolik! dans mon top !
Danger: Diabolik!, ça, ça tue !
http://films.nonutc.fr/?p=245

Bresson n'est pas spécialement bondophile, tu écris n'importe quoi sur ton blog. Il aimait seulement Goldfinger, et encore, uniquement la scène d'ouverture je crois bien

je te renvoie à l'interview de Bresson pour la TSR en 1983 dans laquelle il encense Rien que pour vos yeux, le James Bond alors en salles, et j'attends tes excuses pour diffamation.

primo Rien que pour vos yeux est sorti en 1981, donc tu n'es pas crédible

et secondo ?

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

par contre, j'ai oublié Danger: Diabolik! dans mon top !
Danger: Diabolik!, ça, ça tue !
http://films.nonutc.fr/?p=245

Bresson n'est pas spécialement bondophile, tu écris n'importe quoi sur ton blog. Il aimait seulement Goldfinger, et encore, uniquement la scène d'ouverture je crois bien

je te renvoie à l'interview de Bresson pour la TSR en 1983 dans laquelle il encense Rien que pour vos yeux, le James Bond alors en salles, et j'attends tes excuses pour diffamation.

primo Rien que pour vos yeux est sorti en 1981, donc tu n'es pas crédible

et secondo ?

secondo ça s'écrit secundo

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

par contre, j'ai oublié Danger: Diabolik! dans mon top !
Danger: Diabolik!, ça, ça tue !
http://films.nonutc.fr/?p=245

Bresson n'est pas spécialement bondophile, tu écris n'importe quoi sur ton blog. Il aimait seulement Goldfinger, et encore, uniquement la scène d'ouverture je crois bien

je te renvoie à l'interview de Bresson pour la TSR en 1983 dans laquelle il encense Rien que pour vos yeux, le James Bond alors en salles, et j'attends tes excuses pour diffamation.

primo Rien que pour vos yeux est sorti en 1981, donc tu n'es pas crédible

et secondo ?

secondo ça s'écrit secundo

ok.
je suis vaincu par la pertinence de tes arguments, je m'en vais de ce pas éditer mon blog.

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

par contre, j'ai oublié Danger: Diabolik! dans mon top !
Danger: Diabolik!, ça, ça tue !
http://films.nonutc.fr/?p=245

Bresson n'est pas spécialement bondophile, tu écris n'importe quoi sur ton blog. Il aimait seulement Goldfinger, et encore, uniquement la scène d'ouverture je crois bien

je te renvoie à l'interview de Bresson pour la TSR en 1983 dans laquelle il encense Rien que pour vos yeux, le James Bond alors en salles, et j'attends tes excuses pour diffamation.

primo Rien que pour vos yeux est sorti en 1981, donc tu n'es pas crédible

et secondo ?

secondo ça s'écrit secundo

ok.
je suis vaincu par la pertinence de tes arguments, je m'en vais de ce pas éditer mon blog.

cela dit si tu as le texte de cette interview ça m'intéresse

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

par contre, j'ai oublié Danger: Diabolik! dans mon top !
Danger: Diabolik!, ça, ça tue !
http://films.nonutc.fr/?p=245

Bresson n'est pas spécialement bondophile, tu écris n'importe quoi sur ton blog. Il aimait seulement Goldfinger, et encore, uniquement la scène d'ouverture je crois bien

je te renvoie à l'interview de Bresson pour la TSR en 1983 dans laquelle il encense Rien que pour vos yeux, le James Bond alors en salles, et j'attends tes excuses pour diffamation.

primo Rien que pour vos yeux est sorti en 1981, donc tu n'es pas crédible

et secondo ?

secondo ça s'écrit secundo

ok.
je suis vaincu par la pertinence de tes arguments, je m'en vais de ce pas éditer mon blog.

cela dit si tu as le texte de cette interview ça m'intéresse

si mes souvenirs sont exacts, elle est en supplément du DVD de L'argent.

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

par contre, j'ai oublié Danger: Diabolik! dans mon top !
Danger: Diabolik!, ça, ça tue !
http://films.nonutc.fr/?p=245

Bresson n'est pas spécialement bondophile, tu écris n'importe quoi sur ton blog. Il aimait seulement Goldfinger, et encore, uniquement la scène d'ouverture je crois bien

je te renvoie à l'interview de Bresson pour la TSR en 1983 dans laquelle il encense Rien que pour vos yeux, le James Bond alors en salles, et j'attends tes excuses pour diffamation.

primo Rien que pour vos yeux est sorti en 1981, donc tu n'es pas crédible

et secondo ?

secondo ça s'écrit secundo

ok.
je suis vaincu par la pertinence de tes arguments, je m'en vais de ce pas éditer mon blog.

cela dit si tu as le texte de cette interview ça m'intéresse

si mes souvenirs sont bons, elle est en supplément du DVD de L'argent.

il est putain de raide ce film

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

par contre, j'ai oublié Danger: Diabolik! dans mon top !
Danger: Diabolik!, ça, ça tue !
http://films.nonutc.fr/?p=245

Bresson n'est pas spécialement bondophile, tu écris n'importe quoi sur ton blog. Il aimait seulement Goldfinger, et encore, uniquement la scène d'ouverture je crois bien

je te renvoie à l'interview de Bresson pour la TSR en 1983 dans laquelle il encense Rien que pour vos yeux, le James Bond alors en salles, et j'attends tes excuses pour diffamation.

primo Rien que pour vos yeux est sorti en 1981, donc tu n'es pas crédible

et secondo ?

secondo ça s'écrit secundo

ok.
je suis vaincu par la pertinence de tes arguments, je m'en vais de ce pas éditer mon blog.

cela dit si tu as le texte de cette interview ça m'intéresse

si mes souvenirs sont bons, elle est en supplément du DVD de L'argent.

il est putain de raide ce film

ouaip

Sporting Club Rupijoie a écrit:

skip mccoy a écrit:

c'est quoi le film d'Emmer?

c'est une sorte de film choral sur des Romains de différents milieux sociaux en week-end à la plage - sans doute à Ostie. Vu il y a pas mal de temps, mais j'en garde un excellent souvenir, il a un côté léger et primesautier qui fait parfois songer aux Vacances de M. Hulot, et les intrigues anodines se croisent avec fluidité. Je ne connais pas d'autres films de Luciano Emmer, j'ignore s'il a beaucoup tourné d'ailleurs.

merci. c'est quelle époque, y a des acteurs connus ?

skip mccoy a écrit:

Sporting Club Rupijoie a écrit:

skip mccoy a écrit:

c'est quoi le film d'Emmer?

c'est une sorte de film choral sur des Romains de différents milieux sociaux en week-end à la plage - sans doute à Ostie. Vu il y a pas mal de temps, mais j'en garde un excellent souvenir, il a un côté léger et primesautier qui fait parfois songer aux Vacances de M. Hulot, et les intrigues anodines se croisent avec fluidité. Je ne connais pas d'autres films de Luciano Emmer, j'ignore s'il a beaucoup tourné d'ailleurs.

merci. c'est quelle époque, y a des acteurs connus ?

y a Aldo Maccione

skip mccoy a écrit:

Sporting Club Rupijoie a écrit:

skip mccoy a écrit:

c'est quoi le film d'Emmer?

c'est une sorte de film choral sur des Romains de différents milieux sociaux en week-end à la plage - sans doute à Ostie. Vu il y a pas mal de temps, mais j'en garde un excellent souvenir, il a un côté léger et primesautier qui fait parfois songer aux Vacances de M. Hulot, et les intrigues anodines se croisent avec fluidité. Je ne connais pas d'autres films de Luciano Emmer, j'ignore s'il a beaucoup tourné d'ailleurs.

merci. c'est quelle époque, y a des acteurs connus ?

non. C'est un parti pris néo-réaliste, mais sans le pathos inhérent. Pas d'acteurs connus donc, pour peu que je me souvienne. Ca doit dater de 1959, ou 1960.

Sporting Club Rupijoie a écrit:

skip mccoy a écrit:

Sporting Club Rupijoie a écrit:

skip mccoy a écrit:

c'est quoi le film d'Emmer?

c'est une sorte de film choral sur des Romains de différents milieux sociaux en week-end à la plage - sans doute à Ostie. Vu il y a pas mal de temps, mais j'en garde un excellent souvenir, il a un côté léger et primesautier qui fait parfois songer aux Vacances de M. Hulot, et les intrigues anodines se croisent avec fluidité. Je ne connais pas d'autres films de Luciano Emmer, j'ignore s'il a beaucoup tourné d'ailleurs.

merci. c'est quelle époque, y a des acteurs connus ?

non. C'est un parti pris néo-réaliste, mais sans le pathos inhérent. Pas d'acteurs connus donc, pour peu que je me souvienne. Ca doit dater de 1959, ou 1960.

pourquoi inhérent ? y a pas de pathos chez Rossellini ou Visconti
tu confonds néoréalisme avec Zavattini

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

par contre, j'ai oublié Danger: Diabolik! dans mon top !
Danger: Diabolik!, ça, ça tue !
http://films.nonutc.fr/?p=245

Bresson n'est pas spécialement bondophile, tu écris n'importe quoi sur ton blog. Il aimait seulement Goldfinger, et encore, uniquement la scène d'ouverture je crois bien

je te renvoie à l'interview de Bresson pour la TSR en 1983 dans laquelle il encense Rien que pour vos yeux, le James Bond alors en salles, et j'attends tes excuses pour diffamation.

primo Rien que pour vos yeux est sorti en 1981, donc tu n'es pas crédible

et secondo ?

secondo ça s'écrit secundo

ok.
je suis vaincu par la pertinence de tes arguments, je m'en vais de ce pas éditer mon blog.

cela dit si tu as le texte de cette interview ça m'intéresse

si mes souvenirs sont bons, elle est en supplément du DVD de L'argent.

il est putain de raide ce film

ouaip

ca me fait mal au cul mais je suis d'accord avec vous tiens

carlos bueno white a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

denis quillard a écrit:

skip mccoy a écrit:

par contre, j'ai oublié Danger: Diabolik! dans mon top !
Danger: Diabolik!, ça, ça tue !
http://films.nonutc.fr/?p=245

Bresson n'est pas spécialement bondophile, tu écris n'importe quoi sur ton blog. Il aimait seulement Goldfinger, et encore, uniquement la scène d'ouverture je crois bien

je te renvoie à l'interview de Bresson pour la TSR en 1983 dans laquelle il encense Rien que pour vos yeux, le James Bond alors en salles, et j'attends tes excuses pour diffamation.

primo Rien que pour vos yeux est sorti en 1981, donc tu n'es pas crédible

et secondo ?

secondo ça s'écrit secundo

ok.
je suis vaincu par la pertinence de tes arguments, je m'en vais de ce pas éditer mon blog.

cela dit si tu as le texte de cette interview ça m'intéresse

si mes souvenirs sont bons, elle est en supplément du DVD de L'argent.

il est putain de raide ce film

ouaip

ca me fait mal au cul mais je suis d'accord avec vous tiens

deux fois en une journée, fais gaffe, tu vas avoir bon gout

skip mccoy a écrit:

Sporting Club Rupijoie a écrit:

skip mccoy a écrit:

Sporting Club Rupijoie a écrit:

skip mccoy a écrit:

c'est quoi le film d'Emmer?

c'est une sorte de film choral sur des Romains de différents milieux sociaux en week-end à la plage - sans doute à Ostie. Vu il y a pas mal de temps, mais j'en garde un excellent souvenir, il a un côté léger et primesautier qui fait parfois songer aux Vacances de M. Hulot, et les intrigues anodines se croisent avec fluidité. Je ne connais pas d'autres films de Luciano Emmer, j'ignore s'il a beaucoup tourné d'ailleurs.

merci. c'est quelle époque, y a des acteurs connus ?

non. C'est un parti pris néo-réaliste, mais sans le pathos inhérent. Pas d'acteurs connus donc, pour peu que je me souvienne. Ca doit dater de 1959, ou 1960.

pourquoi inhérent ? y a pas de pathos chez Rossellini ou Visconti
tu confonds néoréalisme avec Zavattini

ben si, quand même, Ingrid Bergman chez Rossellini, elle est grave pathétique. Et la Magnani dans Rome ville ouverte ? Mais attention : ça veut pas dire que c'est naze. Remets-toi à la définition antique du pathos, les coryphées des tragédies eschyliennes qui soulignent l'intensité du drame ; ils me semble que des actrices comme Bergman ou Magnani avaient un peu le même rôle, en outre par contraste dans des films où le reste de la distribution était amateuriste (cf. Stromboli), et par conséquent montrait un jeu beaucoup plus naturaliste. Aujourd'hui "pathos" a une valeur péjorative presque inéluctable, mais avant tout le pathétique c'est une tonalité, comme le comique, l'épique, etc., alors y a pas de pas quoi pousser les hauts cris mon bon skipi.

Sporting Club Rupijoie a écrit:

skip mccoy a écrit:

Sporting Club Rupijoie a écrit:

skip mccoy a écrit:

Sporting Club Rupijoie a écrit:

skip mccoy a écrit:

c'est quoi le film d'Emmer?

c'est une sorte de film choral sur des Romains de différents milieux sociaux en week-end à la plage - sans doute à Ostie. Vu il y a pas mal de temps, mais j'en garde un excellent souvenir, il a un côté léger et primesautier qui fait parfois songer aux Vacances de M. Hulot, et les intrigues anodines se croisent avec fluidité. Je ne connais pas d'autres films de Luciano Emmer, j'ignore s'il a beaucoup tourné d'ailleurs.

merci. c'est quelle époque, y a des acteurs connus ?

non. C'est un parti pris néo-réaliste, mais sans le pathos inhérent. Pas d'acteurs connus donc, pour peu que je me souvienne. Ca doit dater de 1959, ou 1960.

pourquoi inhérent ? y a pas de pathos chez Rossellini ou Visconti
tu confonds néoréalisme avec Zavattini

ben si, quand même, Ingrid Bergman chez Rossellini, elle est grave pathétique. Et la Magnani dans Rome ville ouverte ? Mais attention : ça veut pas dire que c'est naze. Remets-toi à la définition antique du pathos, les coryphées des tragédies eschyliennes qui soulignent l'intensité du drame ; ils me semble que des actrices comme Bergman ou Magnani avaient un peu le même rôle, en outre par contraste dans des films où le reste de la distribution était amateuriste (cf. Stromboli), et par conséquent montrait un jeu beaucoup plus naturaliste. Aujourd'hui "pathos" a une valeur péjorative presque inéluctable, mais avant tout le pathétique c'est une tonalité, comme le comique, l'épique, etc., alors y a pas de pas quoi pousser les hauts cris mon bon skipi.

je ne m'indigne pas, j'adore le mélo donc bon.
mais voilà, la Bergman dans Stromboli par exemple, elle est digne, très sobre, en pantalon !
Magnani dans Rome, ville ouverte ok évidemment mais Rossellini en général, c'est ultra-méfiant par rapport aux effets larmoyants.
par ailleurs, maintenant que j'y repense, un des trucs les plus magnifiquement pathétiques que j'ai vus, c'est la dostoïevskienne fin de Rocco et ses frères donc y a bien du pathos chez Visconti, mais pas dans les deux films néoréalistes que j'ai vus de lui. et sans oublier Senso...

Le Fanfaron (Risi)
Amacord (Fellini)
La grande bouffe (Ferreri)
Le bon la brute et le truand (Léone)
Le dernier face à face (Solima)

Les vampires (Freda & Bava)
Nous nous sommes tant aimés (Scola)
Danger diabolik (Bava)
Mon nom est personne (Valerii)
Les damnés (Visconti)

Dewey Coverdale jr a écrit:

Le Fanfaron (Risi)
Amacord (Fellini)
La grande bouffe (Ferreri)
Le bon la brute et le truand (Léone)
Le dernier face à face (Solima)

Les vampires (Freda & Bava)
Nous nous sommes tant aimés (Scola)
Danger diabolik (Bava)
Mon nom est personne (Valerii)
Les damnés (Visconti)

Dans le top 5 des films à l'esthétique la plus laide, et je ne m'étend pas sur les coups de zoom...

P/Z a écrit:

Dewey Coverdale jr a écrit:

Le Fanfaron (Risi)
Amacord (Fellini)
La grande bouffe (Ferreri)
Le bon la brute et le truand (Léone)
Le dernier face à face (Solima)

Les vampires (Freda & Bava)
Nous nous sommes tant aimés (Scola)
Danger diabolik (Bava)
Mon nom est personne (Valerii)
Les damnés (Visconti)

Dans le top 5 des films à l'esthétique la plus laide, et je ne m'étend pas sur les coups de zoom...

gna gna gna

Dewey Coverdale jr a écrit:

P/Z a écrit:

Dewey Coverdale jr a écrit:

Le Fanfaron (Risi)
Amacord (Fellini)
La grande bouffe (Ferreri)
Le bon la brute et le truand (Léone)
Le dernier face à face (Solima)

Les vampires (Freda & Bava)
Nous nous sommes tant aimés (Scola)
Danger diabolik (Bava)
Mon nom est personne (Valerii)
Les damnés (Visconti)

Dans le top 5 des films à l'esthétique la plus laide, et je ne m'étend pas sur les coups de zoom...

gna gna gna

Beurk, beurk, beurk.

P/Z a écrit:

Dewey Coverdale jr a écrit:

Le Fanfaron (Risi)
Amacord (Fellini)
La grande bouffe (Ferreri)
Le bon la brute et le truand (Léone)
Le dernier face à face (Solima)

Les vampires (Freda & Bava)
Nous nous sommes tant aimés (Scola)
Danger diabolik (Bava)
Mon nom est personne (Valerii)
Les damnés (Visconti)

Dans le top 5 des films à l'esthétique la plus laide, et je ne m'étend pas sur les coups de zoom...

mais c'est normal !!
il filme la décadence nazie avec une outrance qui frise le grotesque et c'est pour ça que le film est génial !

skip mccoy a écrit:

P/Z a écrit:

Dewey Coverdale jr a écrit:

Le Fanfaron (Risi)
Amacord (Fellini)
La grande bouffe (Ferreri)
Le bon la brute et le truand (Léone)
Le dernier face à face (Solima)

Les vampires (Freda & Bava)
Nous nous sommes tant aimés (Scola)
Danger diabolik (Bava)
Mon nom est personne (Valerii)
Les damnés (Visconti)

Dans le top 5 des films à l'esthétique la plus laide, et je ne m'étend pas sur les coups de zoom...

mais c'est normal !!
il filme la décadence nazie avec une outrance qui frise le grotesque et c'est pour ça que le film est génial !

sauf qu'il fait la même chose dans La mort à Venise, Ludwig (une horreur) et dans quasiment tous ses films et qu'on nous le présente comme un grand esthète! (et les cadrages de traviole dans le Guépard

P/Z a écrit:

skip mccoy a écrit:

P/Z a écrit:

Dewey Coverdale jr a écrit:

Le Fanfaron (Risi)
Amacord (Fellini)
La grande bouffe (Ferreri)
Le bon la brute et le truand (Léone)
Le dernier face à face (Solima)

Les vampires (Freda & Bava)
Nous nous sommes tant aimés (Scola)
Danger diabolik (Bava)
Mon nom est personne (Valerii)
Les damnés (Visconti)

Dans le top 5 des films à l'esthétique la plus laide, et je ne m'étend pas sur les coups de zoom...

mais c'est normal !!
il filme la décadence nazie avec une outrance qui frise le grotesque et c'est pour ça que le film est génial !

sauf qu'il fait la même chose dans La mort à Venise, Ludwig (une horreur) et dans quasiment tous ses films et qu'on nous le présente comme un grand esthète! (et les cadrages de traviole dans le Guépard

tu exagères ta race !
Visconti est comme Renoir, il est au-delà du style, il s'adapte à chacun de ses sujets. Sans parler de ses débuts néo-réalistes, je ne vois pas de zoom dans des films aussi variés que: Senso, Nuits blanches, Rocco et ses frères, Sandra (enfin si peut-être un peu dans celui là). Tous magistraux. Le zoom arrive après lorsqu'il filme le pourrissement, de sociétés (Les damnés) ou de corps (Mort à Venise). Et puis cette fixette sur le zoom, c'est assez basique, ça a été théorisé par des amateurs de Visconti très intelligents, je suis sur que tu connais mieux que moi les arguments des défenseurs du travelling optique dans Mort à Venise, je vais pas aller les rechercher mais je suis d'accord avec eux.
pour les cadrages de traviole Le guépard, c'est un de mes films préférés, je l'ai vu plusieurs fois mais ça ne m'a jamais marqué. tu as des exemples précis ? ça reste de l'anecdotique à mon avis.

skip mccoy a écrit:

P/Z a écrit:

Dewey Coverdale jr a écrit:

Le Fanfaron (Risi)
Amacord (Fellini)
La grande bouffe (Ferreri)
Le bon la brute et le truand (Léone)
Le dernier face à face (Solima)

Les vampires (Freda & Bava)
Nous nous sommes tant aimés (Scola)
Danger diabolik (Bava)
Mon nom est personne (Valerii)
Les damnés (Visconti)

Dans le top 5 des films à l'esthétique la plus laide, et je ne m'étend pas sur les coups de zoom...

mais c'est normal !!
il filme la décadence nazie avec une outrance qui frise le grotesque et c'est pour ça que le film est génial !

+ 1, j'aurais pas dit mieux.