là, j'écoute :

Robbie.net a écrit:

Je le vois après-demain, je passe lui faire un coucou à Tübingen

Tu lui claqueras la bise de ma part. Kikoo Friedrich !

Bob a écrit:

Robbie.net a écrit:

Je le vois après-demain, je passe lui faire un coucou à Tübingen

Tu lui claqueras la bise de ma part. Kikoo Friedrich !

Tu m'étonnes !

shazeb nedved a écrit:

The Gene Clark Demos 1983 - 1990

Un Gene Clark édenté à la diction cotonneuse, seul avec sa guitare et sa bouteille. Un harmonica fatigué, une guitare lointaine et cette voix bouleversante en avant qui occupe tout l'espace pour chanter les dernières balades d'un homme au bout du rouleau. Cette voix sublime et ces mélodies traînantes d'un homme brisé par la mélancolie, l'alcool et le deséspoir. La moindre note et la moindre parole baigne dans un halo de classe définitive et sépulcrale. Poignant comme peu de disques.
A posséder absolument

Ca fait envie. Est-ce que c'est un disque qui peu s'apprécier sans connaître les oeuvres antérieures de Clark, ou est-ce qu'il ne prend son sens que comme conclusion (tragique) d'une trajectoire ?

Par exemple, je trouve que le volume V des Americans Recordings de Cash est bouleversant - les dernières forces brulées, avant la fin. Chanter à hauteur de mort. Cependant je ne le conseillerais pas à quelqu'un qui veut découvrir Cash. D'ailleurs à propos Rubin va sortir un volume VI en octobre.

shazeb nedved a écrit:

The Gene Clark Demos 1983 - 1990

Un Gene Clark édenté à la diction cotonneuse, seul avec sa guitare et sa bouteille. Un harmonica fatigué, une guitare lointaine et cette voix bouleversante en avant qui occupe tout l'espace pour chanter les dernières balades d'un homme au bout du rouleau. Cette voix sublime et ces mélodies traînantes d'un homme brisé par la mélancolie, l'alcool et le deséspoir. La moindre note et la moindre parole baigne dans un halo de classe définitive et sépulcrale. Poignant comme peu de disques.
A posséder absolument

c'est bien beau Shazoo :(

Bob a écrit:

shazeb nedved a écrit:

The Gene Clark Demos 1983 - 1990

Un Gene Clark édenté à la diction cotonneuse, seul avec sa guitare et sa bouteille. Un harmonica fatigué, une guitare lointaine et cette voix bouleversante en avant qui occupe tout l'espace pour chanter les dernières balades d'un homme au bout du rouleau. Cette voix sublime et ces mélodies traînantes d'un homme brisé par la mélancolie, l'alcool et le deséspoir. La moindre note et la moindre parole baigne dans un halo de classe définitive et sépulcrale. Poignant comme peu de disques.
A posséder absolument

Ca fait envie. Est-ce que c'est un disque qui peu s'apprécier sans connaître les oeuvres antérieures de Clark, ou est-ce qu'il ne prend son sens que comme conclusion (tragique) d'une trajectoire ?

Par exemple, je trouve que le volume V des Americans Recordings de Cash est bouleversant - les dernières forces brulées, avant la fin. Chanter à hauteur de mort. Cependant je ne le conseillerais pas à quelqu'un qui veut découvrir Cash. D'ailleurs à propos Rubin va sortir un volume VI en octobre.

j'aurais tendance à dire que c'est "for fans only" en raison de l'absence de prod et de la prise de son chichiteuse (sauf la voix)... ça sonne comme des démos quoi. Cela dit c'est pas bien dur d'être fan de Gene Clark puisque sa classe et son talent s'imposent super naturellement à quiconque possède un petit coeur qui bat.

il paraît que le mieux c'est son travail avec les Gosdin Bros. Qu'en penses-tu, tout shazeb que tu sois ?

denis quillard a écrit:

il paraît que le mieux c'est son travail avec les Gosdin Bros. Qu'en penses-tu, tout shazeb que tu sois ?

c'est super bon mais c'est pas mon préféré. C'est un disque qui vient tôt dans sa carrière, juste après les Byrds en fait. Sa maîtrise des harmonies vocales, sons talent mélodique et les arrangements sont sublimes mais ça n'a pas encore la profondeur et la mélancolie dévastatrice d'un No Other ou d'un White Light. J'ajoute que je mets également au-dessus le premier album issu de sa collaboration avec Dillard,the Fantastic expedition of Dillard & Clark, qui explore le versant plus country de Clark et qui offre des balades à tomber en syncope devant la beauté, l'évidence et la simplicité.

... Jusqu'à "Dancing in the Moonlight", au moins. (par contre, le CD2 avec l'infâme Gary Moore et le son début 80's est quasi-inécoutable)

Raneud a écrit:

... Jusqu'à "Dancing in the Moonlight", au moins. (par contre, le CD2 avec l'infâme Gary Moore et le son début 80's est quasi-inécoutable)

si coverdale était là il approuverait.

le morceau que tu cites je connais juste la reprise qu'avaient faite les Smashing Pumpkins lors de leur Black session acoustique, à une époque que les moins de 25 ans ne peuvent pas connaître

denis quillard a écrit:

le morceau que tu cites je connais juste la reprise qu'avaient faite les Smashing Pumpkins lors de leur Black session acoustique, à une époque que les moins de 25 ans ne peuvent pas connaître

Je soupçonne fortement Johnny Marr de s'être inspiré de ce morceau sur le "Rubber Ring" des Smiths.

Sinon Pulp a repris "Whiskey in a Jar" en Black Session en 1995, chose que l'on trouve sur l'excellente réédition de Different Class parue l'an dernier, et que je m'en vais du coup illico écouter sur mon teppaz portatif :

COSC

raoulle a écrit:

COSC

raoulle, merdre !

durian a écrit:

t'as pas plus gros qu'on y voit mieux ?

maxine a écrit:

durian a écrit:

t'as pas plus gros qu'on y voit mieux ?

ben, c'est la bonne taille, je trouve. On y voit bien.

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